Nouvelle Événement après 2014

bebe-vendu-quebecpngOn a pas finit en parler des Orphelins (es) de Duplessis en 2015

Un reportage de Johanne Faucher et de Jo-Ann Demers

Qui paie pour les péchés de l’Église?

Qui paie pour les péchés de l’Église?

Pour l’avocat Alain Arsenault, qui représente des victimes dans le recours contre les Sainte-Croix, ce ne serait que la pointe de l’iceberg Qui paie pour les péchés de l’Église?

 D’orphelins… à malades mentaux

Au Québec, plus de 600 personnes se sont manifestées dans le cadre de recours collectifs contre des religieux. De jeunes garçons, pour la plupart, qui allèguent avoir été agressés sexuellement lorsque il  étaient enfants par des religieux qui devaient s’occuper d’eux. C’est sans compter les orphelins de Duplessis. Quelque 5000 enfants, orphelins ou abandonnés par leurs parents, ont été déclarés fous et traités comme des fous pour une question d’argent. C’est le cardinal Paul-Emile Léger qui a accepté l’offre de Maurice Duplessis, premier ministre du Québec de l’époque. Ensemble, les deux hommes se sont entendus pour transformer les orphelinats en asiles afin d’obtenir des subventions du fédéral. Les communautés religieuses recevaient 0,70 $ pour un orphelin. Elles recevront 2,50 $ pour un fou. En une nuit, le 12 août 1954, les orphelins sont devenus des malades mentaux, avec la collaboration des médecins, qui signaient de faux diagnostics ICI Radio-Canada irlandais. Un véritable séisme dans ce pays aux racines catholiques profondes comme le Québec. Quelque 15 000 victimes ont reçu en moyenne 100 000 $ en indemnisation. Une facture de 2 milliards pour l’Irlande. « Personne n’a contesté le montant », raconte le journaliste du Irish Times Patsy McGarry, qui a suivi les commissions d’enquête. « Mais les Irlandais tiennent à ce que les institutions religieuses paient la moitié du montant, comme le recommande la Commission Ryan. Mais les Congrégations n’ont pas versé la totalité de la somme, elles doivent encore 300 millions d’euros ». ICI Radio-Canada  Belgique  En 2010, l’évêque de Bruges a admis avoir agressé son neveu. Le gouvernement a par la suite tenu plusieurs commissions d’enquête pour connaître l’ampleur du problème. Cette enquête a entre autres permis de savoir que le cardinal belge avait fait des pressions auprès du neveu pour qu’il se taise. Au total, 475 victimes se sont manifestées dans le cadre de ces enquêtes. Les deux tiers sont des garçons qui avaient en moyenne 12 ans au moment des agressions. Les enquêtes ont révélé qu’il n’y avait pas d’opération de camouflage systématique de la part de l’Église catholique. Néanmoins, ces enquêtes ont condamné le peu d’aide apportée aux victimes par l’Église catholique. ICI Radio-Canada Angleterre. À la suite d’allégations d’abus, le cardinal Cormac Murphy-O’Connor demande au juge Lord Nolan de faire enquête sur la nature et l’ampleur du problème au Royaume-Uni. Le rapport Nolan a été publié en 2001. Cinquante religieux ont été blâmés et ont été défroqués. Des mesures ont été prises pour protéger les enfants. ICI Radio-Canada Allemagne  Une enquête indépendante a débuté en 2011 à la suite du dévoilement, un an plus tôt, de nombreux cas d’agressions sexuelles commis par des religieux sur des mineurs. Les 27 diocèses avaient d’abord promis la transparence, mais ils ont finalement refusé de remettre leurs documents, craignant que l’anonymat des religieux mis en cause ne soit pas respecté ICI Radio-Canada Autriche  Le cardinal de Vienne a démissionné en 1995 lorsque des allégations d’inconduites sexuelles ont été mises au jour. Une enquête est actuellement en cours sur tous les sévices sexuels commis par des religieux. Ils ont reçu les témoignages de 448 victimes à ce jour. ICI Radio-Canada Australie  À la suite de scandales de pédophilie au sein de l’Église, le premier ministre a lancé en 2012 une Commission royale d’enquête sur les sévices sexuels perpétrés sur des enfants en institutions : orphelinats, écoles, églises, paroisses, associations sportives, garderies ou centres de détention pour mineurs. L’enquête est toujours en cours ICI Radio-Canada   États-Unis C’est aux États- États-Unis qu’a éclaté le premier scandale d’agressions sexuelles par un religieux. Le prêtre du diocèse de Lafayette en Louisiane, Gilbert Gauthe, a été arrêté en 1984 pour avoir agressé des dizaines de garçons.L’Église catholique américaine estime que plus de 4000 religieux américains ont été accusés de sévices sexuels. Ils auraient fait des dizaines de milliers de victimes. En 2003, l’archidiocèse de Boston a notamment accepté de verser 85 millions de dollars dans 500 dossiers devant les tribunaux. En 2007, l’archidiocèse de Los Angeles a payé 660 millions de dollars. La Conférence des Évêques américains a mis sur pied des enquêtes internes, dont le National Review Board, pour comprendre les causes et les circonstances des abus, mais ces enquêtes n’avaient pas pour but
Organisme contre l’Église le SNAP
Survivors Network of those Abused by Priests
Survivors Network of those Abused by Priests

November 06, 2015Childhood sex abuse victim from Ludlow wins $250,000 civil verdict in US District Court

By Stephanie Barry, sbarry@repub.com, on November 06, MassLive.com SPRINGFIELD — A jury on Thursday awarded $250,000 to a 53-year-old Ludlow woman who sued her stepfather for raping her as a child after a three-day trial in U.S. District Court. An eight-member panel found in favor of plaintiff Kathy Picard, who was at the forefront of pushing new legislation in 2014 to extend the statute of limitations to allow victims of sexual abuse more time to sue their alleged abusers. READ MORE

ICI Radio-Canada Le Canada
Après la Commission Royale d’enquête sur les agressions sexuelles commis par les Frères des écoles chrétiennes à l’Orphelinat de Mont Cashel, à Terre-Neuve, quelque 300 garçons ont reçu en moyenne 65 000 $ en indemnisation.
En 2015 continue au Québec des abus fait par des prêtres et dans des enquête avec radio canada.
Ils brisent le silence

Trois frères dénoncent les agressions sexuelles qu’aurait commises un abbé il y a 60 ans

mardi 10 novembre 2015 10 h28

Impliqués auprès des jeunes

Cinq nouvelles présumées victimes  

lundi 9 novembre 2015 19 h 58

Les frères maristes, qui comptent 125 membres au Québec, sont aussi connus sous le nom de Petits frères de Jésus. Grandement impliquée auprès des jeunes, cette communauté religieuse a fondé une trentaine d’écoles dans la province.

Rappelons que la semaine dernière, quelque 150 personnes sourdes qui affirment avoir été agressées sexuellement par les Clercs de Saint-Viateur, de 1940 à 1982, alors qu’ils étaient enfants, ont signé une entente de 20 millions $ dans le cadre du recours collectif intenté contre les religieux.

Catherine Bouchard

Mardi, 10 novembre 2015 00:00 MISE à JOUR Mardi, 10 novembre 2015 08:50

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Le diocèse de Québec est éclaboussé par des allégations d’agressions sexuelles formulées par trois frères originaires de la Beauce, qui disent avoir subi des sévices infligés par l’abbé Rosaire Giguère il y a une soixantaine d’années à Saint-Ludger, en Beauce.

«Ce n’est pas au diocèse d’assumer la responsabilité»

Au fait des allégations d’agressions sexuelles avancées par les trois frères de la Beauce depuis 2006, le diocèse de Québec rejette toute responsabilité au sujet des gestes reprochés à l’abbé Rosaire Giguère. «C’est aux personnes qui ont commis ces actes d’assumer leur responsabilité et non à pas l’archevêque ou au diocèse de Québec», fait valoir le prêtre Marc Pelchat, vicaire général.

Les Clercs de St-Viateur verseront 20 M$ à des victimes alléguées

Des membres auraient agressé sexuellement des enfants sourds

Marie-Christine Noël

Jeudi, 5 novembre 2015 19:21 MISE à JOUR

Coup d’oeil sur cet article

Des sourds alléguant avoir été agressés sexuellement entre 1940 et 1982, alors qu’ils étaient enfants, signent une entente de 20 millions $ dans le cadre du recours collectif contre les Clercs de Saint-Viateur.

«C’est une victoire qui va au-delà de l’argent. Ce recours a pour but d’aider des victimes vulnérables […] Elles seront aussi écoutées et j’espère que ça pourra permettre une guérison», a lancé hier Me Robert Kugler, procureur du recours collectif.

Après de longues négociations «difficiles et complexes», aux dires de Me Kugler, les Clercs de Saint-Viateur du Canada et le Centre de la communauté sourde du Montréal métropolitain ont conclu une entente de principe de 20 millions $.

Les victimes réclamaient devant les tribunaux depuis 2012 – année où le dossier a été autorisé – des compensations financières pour les sévices sexuels qu’elles auraient subis de la part de membres et d’employés des Clercs de Saint-Viateur

Orphelins de Duplessis

Trois millions $ ont été versés l’an dernier

Paru le vendredi 19 juin 2015 | Catégorie: Justice

|||Quel improvisation dans ce dossier pas finit encore miettes par miettes durant les victimes se meurs.

Gangstérisme des deux gouvernements ont gagné les autochtones aussi   nous les Orphelins (es) écraser par des gens sans scrupules Comme Lucien Bouchard

Orphelins de Duplessis

Trois millions $ ont été versés l’an dernier

Paru le vendredi 19 juin 2015 | Catégorie: Justice

||

|Quel improvisation dans ce dossier pas finit encore miettes par miettes durant les victimes se meurs.

Gangstérisme des deux gouvernements ont gagné les autochtones aussi   nous les Orphelins (es) écraser par des gens sans scrupules Comme Lucien Bouchard

Pour un total de 200 demandes, un montant de trois millions $ a été versé en 2014-2015 dans le cadre du Programme national de réconciliation avec les orphelins et orphelines de Duplessis ayant fréquenté certaines institutions. C’est environ 1,7 million $ de moins que l’année précédente, selon les données du ministère de la Solidarité sociale.

Ce programme a été mis en place en 2007 «pour accorder une aide financière individuelle de 15 000 $ aux personnes communément désignées comme orphelins et orphelines de Duplessis qui ont fréquenté certaines institutions non psychiatriques».

Rappelons qu’une personne qui en fait la demande doit avoir été admise dans l’une ou l’autre des neuf institutions désignées par le gouvernement entre le 1er  janvier 1935 et le 31 décembre 1964. Plus de 80 demandes sont venues de la région de la Capitale-Nationale l’année dernière pour un montant de 1,2 million $.

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La parades des millions qui se distribue en improvisation se tienne solidairement avec les religieuses et le groupe du Gouvernement du Québec, Il n’y a jamais eu d’enquête véritable un contrôle absolue de Lucien Bouchard contrôle incestueuses, mené par ce  Gouvernement du Québec est au banc des accusé la suite et la continuité entre l’église et les Gouvernements.

Qui paie pour les péchés de l’Église

In this Dec. 1, 2012 photo, a statue with a crucifix and a stained glass window is seen inside a Catholic Church in New Orleans. Catholic groups are decrying a recent Louisiana Supreme Court decision that reaches into the most sanctified of Catholic places, the confessional booth. The high court has revived a sex abuse lawsuit in which parents are suing a priest and a local diocese for not reporting the alleged abuse when the teenager told the priest about it, and the ruling could have a priest asked to testify about what was said in a private confession. The Catholic League for Religious and Civil Rights says the ruling leaves the priest choosing between prison and excommunication, in a case that has grabbed attention in heavily Catholic south Louisiana. (AP Photo/Gerald Herbert)
In this Dec. 1, 2012 photo, a statue with a crucifix and a stained glass window is seen inside a Catholic Church in New Orleans. Catholic groups are decrying a recent Louisiana Supreme Court decision that reaches into the most sanctified of Catholic places, the confessional booth. The high court has revived a sex abuse lawsuit in which parents are suing a priest and a local diocese for not reporting the alleged abuse when the teenager told the priest about it, and the ruling could have a priest asked to testify about what was said in a private confession. The Catholic League for Religious and Civil Rights says the ruling leaves the priest choosing between prison and excommunication, in a case that has grabbed attention in heavily Catholic south Louisiana. (AP Photo/Gerald Herbert)

Éclaboussées par des scandales sexuels depuis trois décennies, l’Église catholique et les communautés religieuses prennent tous les moyens pour indemniser le moins possible les victimes. Contestations judiciaires, assurance responsabilité et même transfert d’argent à l’étranger.

Au Québec, les recours collectifs se multiplient devant les tribunaux.
Le gouvernement refuse toujours de tenir une enquête publique sur les abus sexuels commis par des religieux et sur la gestion de ces scandales par les autorités catholiques. L’Irlande, aux racines aussi catholiques que le Québec, a eu plus de courage et a tenu plusieurs commissions d’enquête pour connaître
l’ampleur du scandale.

Journaliste: Johanne Faucher
Réalisatrice: Jo-Ann Demers
Caméramans: Denis Christopherson, Jean-Pierre Gandin, Pierre Mainville, André Perron, Jérôme Voyer-Poirier
Preneurs de son: Éric Celton, Louis-Gilles Chartrand, Luc Delorme, Marc-Antoine Fournier, Diane Gaudreau
Monteurs: Charles Bergeron, Jean-François Vézina

Voir aussi pour cette émission

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500 000 enfants «volés» en Angleterre: l’Eglise catholique présente ses excuses

Le cardinal Vincent Nichols, archevêque de Westminster – © Tous droits réservés

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Le chef de l’Eglise catholique en Angleterre a présenté ses excuses pour la douleur causée à des centaines de milliers de filles-mères contraintes d’abandonner leur bébé à l’adoption entre 1945 et 1976.

Le cardinal Vincent Nichols, archevêque de Westminster, a affirmé, dans un documentaire de la chaîne ITV baptisé «le scandale des adoptions en Grande-Bretagne» et qui doit être diffusé le 9 novembre, que les pratiques des agences d’adoptions qui agissaient au nom de l’Eglise catholique avaient «manqué de compassion et de sensibilité«.

«L’Eglise catholique comprend et reconnait la souffrance causée par le fait d’abandonner un enfant via l’adoption«, a-t-il dit.

La seule façon de le faire passe par une enquête publique

«Les pratiques de toutes les agences d’adoption reflétaient les valeurs sociales de l’époque et manquaient parfois de compassion et de sensibilité«, a-t-il indiqué, ajoutant «présenter ses excuses pour la douleur causée par les agences agissant au nom de l’Eglise catholique«.

L’avocate Carolynn Gallwey, qui appelle la ministre de l’Intérieur Amber Rudd à lancer une enquête publique, a expliqué dans le documentaire qu’on avait «dit à ces femmes de ne pas parler de ce qui leur était arrivé. Mais maintenant, elles ont le droit de voir ce qui leur est arrivé être reconnu, et la seule façon de le faire passe par une enquête publique«.

Entre 1945 et 1976, un demi-million d’adoptions ont eu lieu et concernaient majoritairement des enfants nés de jeunes mères célibataires qui étaient prises en charge par des organisations religieuses liées à l’Eglise catholique, l’Eglise anglicane ou l’armée du Salut.

https://www.rtbf.be/info/medias/detail_gb-l-eglise-catholique-s-excuse-pour-des-adoptions-forcees-de-1945-a-1976?id=9446149 Lien

Pour envoyer une lettre au Pape et a notre monseigneur Lépine archevêque de Montréal

A demander pardon emboiter le pas des européens

The head of the Catholic Church in England apologized for the pain caused to hundreds of thousands of mother-daughters forced to abandon their baby for adoption between 1945 and 1976.

Cardinal Vincent Nichols, Archbishop of Westminster, said in an ITV documentary entitled «The Adoption Scandal in Britain», due to be released on November 9, that the practices of adoption agencies acting in Name of the Catholic Church had «lacked compassion and sensitivity».
«The Catholic Church understands and recognizes the suffering caused by abandoning a child through adoption,» he said.
The only way to do this is through a public inquiry
«The practices of all the adoption agencies reflected the social values of the time and sometimes lacked compassion and sensitivity,» he said, adding «apologize for the pain caused by agencies acting on behalf Of the Catholic Church «.

Lawyer Carolynn Gallwey, who calls on Interior Minister Amber Rudd to launch a public inquiry, explained in the documentary that «they were told not to talk about what had happened to them.» But now, They have the right to see what has happened to them being recognized, and the only way to do so is through a public inquiry. »
Between 1945 and 1976, half a million adoptions took place, mostly involving children born to young unmarried mothers who were cared for by religious organizations linked to the Catholic Church, the Anglican Church or the salut.

Délais judiciaire sans prescription interminable au Québec

DÉLAIS JUDICIAIRES

L’arrêt Jordan oblige des réaménagements

Paru le vendredi 02 décembre 2016 | Catégorie: Justice

La ministre de la Justice répète travailler très fort pour donner suite à l’arrêt Jordan de la Cour suprême qui, en juin dernier, avisait l’appareil judiciaire canadien que les délais pour les procès criminels avaient maintenant des limites précises : 18 mois devant la cour provinciale, 30 mois devant la Cour supérieure. Cette décision du plus haut tribunal au pays permet maintenant à des accusés de demander l’arrêt des procédures si ces délais sont dépassés et présentement, au Québec on compte plus de 200 demandes du genre. Tellement, que le bureau du Directeur des poursuites criminelles et pénales qui a embauché 21 procureurs de plus depuis le début de l’année a affecté  une équipe qui ne fait que traiter ces demandes.

La curateur une société qui appartiens a la justice donc au Gouvernement du Québec 1940 à 1960 s’en ais passé la magouille entre les religieux et les Gouvernements du Canada et du Québec, il ont reçu des milliers d’enfants qui était normal devenue des cas de psychiatrique non mémé pas bouger un doigt ou poser des questions ont effacer des milliers de dossier, un docteur près du Gouvernement était près a euthanasier ses enfants car il ne sont plus dans les registres de ce ministère .

Le Curateur public entend déployer les efforts nécessaires pour que plus de la moitié de la population de la province ait son mandat de protection d’ici mars 2021. C’est ce mandat qui permet de désigner une ou des personnes pour prendre soin de soi et de ses biens, advenant son inaptitude. Pour le moment, 42 % des Québécois ont leur mandat. La première étape sera d’atteindre 45 % d’ici mars 201…

2017-03-14 Mongrain Mosissette   Un souper bénéfice pour Mgr Pierre  Morissette Mr jean Luc Mongrain seras président d’honneur, à 150.00$ Le couvert les profite amassés seront verser aux œuvres de Mgr Pierre  Morissette mardi 14 mars 2017

2017-04-14  from ireland 

Herve Bertrand with Alyssa Ryvers. Bertrand was one of 5000 orphaned children whose education in 1950s Quebec was halted after the kids were classified as «mentally deficient.» Subject to numbing physical and sexual abuse, Bertrand is one of the more fortunate survivors of the horrors of the Mont Providence orphanage, having forged a career as a plumber. The majority of the survivors have been unable to maintain regular employment, have experienced periods of homelessness, lived out their lives in institutions and / or been subject to incarceration.

1916 Irish Rissing Republique

Mon Pere était un Irlandais

Herve Bertrand avec Alyssa Ryvers. Bertrand a été l’un des 5000 enfants orphelins dont l’éducation dans les années 1950 a été interrompue après que les enfants soient classés comme » déficients mentaux.» sujet à l’abus physique et sexuel, Bertrand est l’un des plus heureux survivants des horreurs De L’orphelinat de Mont Providence, ayant forgé une carrière de plombier. La majorité des survivants n’ont pas été en mesure de maintenir un emploi régulier, ont connu des périodes de sans-abri, ont vécu leur vie en institution et / ou ont été soumises à l’incarcération.

SYNOPSIS ET DÉTAILS

En Irlande, dans le comté de Dublin, en 1964.
Lors d’un mariage, Margaret est violée par son cousin. La honte s’abat sur toute la famille. Au petit matin, le curé de la paroisse vient chercher Margaret.
Bernadette est pensionnaire dans un orphelinat. En grandissant, devenue jolie, elle suscite la convoitise des jeunes gens du quartier. Considérant que sa nature et son caractère la destinent au pire, la direction de l’orphelinat la confie alors à l’unique institution susceptible de la maintenir dans le droit chemin.
Rose, qui n’est pas mariée, vient de donner naissance à un petit garçon. Séparée de son bébé, elle est emmenée au couvent des soeurs de Marie-Madeleine.
Les trois jeunes femmes sont immédiatement confrontées à Soeur Bridget, qui dirige l’établissement et leur explique comment, par la prière et le travail, elles expieront leurs pêchés et sauveront leur âme.

Événement similaire passé en avril en Irlande ville Tuam

VIDÉOS. Irlande : 800 squelettes de bébés dans un ancien couvent – La Parisienne

800 squelettes de bébés dans un ancien couvent

Cette morbide découverte glace le sang. Près de 800 squelettes de nouveau-nés ont été retrouvés dans une ancienne fosse septique, près d’un ancien couvent de la ville de Tuam, à l’ouest de l’Irlande. Cet établissement catholique a accueilli entre 1925 et 1961 des jeunes mères célibataires tombées enceintes hors mariage.

C’est en réalisant des recherches sur les archives de cet ancien couvent, aujourd’hui reconverti en lotissement, que l’historienne Catherine Corlessa découvert 796 nouveau-nés et bambins enterrés, sans cercueil ni pierre tombale. «Quelqu’un m’avait mentionné l’existence d’un cimetière pour nouveau-nés, mais ce que j’ai découvert était bien pire que cela», a-t-elle expliqué. Aujourd’hui, il ne reste que des ossements.

Malnutrition, maltraitrance, naissance prématurée

Ce charnier serait l’oeuvre secrète des bonnes soeurs du couvent bien mal-nommé… de «Bon Secours». Les recherches de l’historienne montrent que la plus part de ces enfants sont morts de malnutrition, maltraitrance, pneumonie, handicap ou naissance prématurée. Le couvent de Bon Secours s’est livré à ces exactions pendant 35 ans en toute impunité. En 1944, une inspection du gouvernement avait pointé une évidente malnutrition sur les 271 enfants vivant à Tuam. Les enfants survivants du couvent été placés vers l’âge de sept ans dans des églises ou des réseaux industriels, où ils travaillaient gratuitement et souffraient d’abus. Cette mortalité infantile est aussi l’un des reflets de l’Irlande de la première moitié du XXe siècle, qui détenait le record européen de mortalité infantile, aggravé par un fort taux de tuberculose.

Wiliam Joseph Dolan, un proche d’un enfant ayant vécu dans cette institution, a déposé une plainte afin de comprendre ce qui s’est passé à l’époque. A l’origine, des locaux avaient découvert les premières traces de ce cimetière et placé une statue de la Vierge, dans une petite grotte, à la mémoire des malheureux.

Des leaders de l’église de Galway ont promis de soutenir les efforts locaux pour inaugurer un mémorial avec le nom de chaque enfant disparu. Catherine Corless et des militants de Tuam ont mis en place un comité pour solliciter une enquête d’Etat qui conduirait les investigations sur le site.

Des «Magdalene Sisters» à «Philomena»

Cette affaire rappelle un autre scandale impliquant également des mères célibataires. Entre 1922 et 1996, plus de 10.000 jeunes filles et femmes avaient travaillé gratuitement dans des blanchisseries exploitées commercialement par des religieuses catholiques en Irlande. Les pensionnaires, surnommées les «Magdalene Sisters», étaient des filles tombées enceintes hors mariage ou qui avaient un comportement jugé immoral dans ce pays à forte tradition catholique.

Jusqu’ici le gouvernement irlandais n’a pas fait de commentaires. Mais il a publié quatre enquêtes d’envergure sur la maltraitance et sa dissimulation dans des paroisses catholiques un réseau d’écoles industrielles, dont la dernière a fermé en 1190.

04 juin 2014 | 10h55

VIDEOS. Irlande : 800 squelettes de bébés dans un ancien couvent – La Parisienne

Irlande: 793 corps d’enfants découverts dans une fosse commune – Europe – RFI

Irlande: 793 corps d’enfants découverts dans une fosse commune

mediaDes « blanchisseuses de Sainte Madeleine » au début du 20e siècle, en Irlande.Eloquence/wikipedia

En Irlande, les restes de quelque huit-cents enfants ont été découverts dans une fosse commune, à côté d’un ancien couvent catholique. Il s’agirait d’enfants nés hors mariage dont les jeunes mères étaient placées dans l’institution. L’affaire rappelle le sort réservé aux filles-mères dans un pays aux traditions catholiques extrêmement rigides.

Avec notre correspondante à Londres, Muriel Delcroix

C’est à partir de recherches sur l’orphelinat de Tuam près de Galway, à l’ouest du pays, aujourd’hui reconverti en lotissement, que l’historienne Catherine Corless a retrouvé la trace de sept cent quatre-vingt-treize enfants non baptisés – et donc enterrés secrètement, sans cercueil ni pierre tombale.

L’institution, gérée par les sœurs du Bon Secours entre 1925 et 1961, accueillait des filles-mères et leurs bébés. Les conditions de vie y étaient extrêmement difficiles. Les jeunes femmes, qui étaient placées là pour expier leurs péchés, se voyaient imposer des travaux pénibles et subissaient mauvais traitements et brimades. Leurs enfants connaissaient un sort similaire et les autorités en étaient tout à fait conscientes, puisqu’une inspection datant de 1944 décrit un établissement surpeuplé où sévissent maladies, malnutrition et maltraitance.

Un scandale qui en rappelle d’autres

Si les habitants locaux admettent, eux, connaître l’existence du charnier, le clergé de Galway dit n’en avoir jamais entendu parler, mais se déclare également prêt à lever des fonds pour ériger une plaque commémorative. L’embarras des autorités et de l’Église est néanmoins palpable face à un scandale qui rappelle celui des couvents-blanchisseries des sœurs de La Madeleine, ainsi que celui raconté dans Philoména, de Stephen Frears. Le film, sorti l’an dernier, raconte l’histoire vraie d’une jeune Irlandaise rejetée par sa famille, placée en couvent et séparée de son enfant.

Par ailleurs, c’est dans ce même couvent de Tuam qu’est située l’action du récent long métrage «Philomena», qui raconte la quête d’une septuagénaire irlandaise pour retrouver le fils dont elle avait accouché, adolescente, dans cet établissement. ce long métrage est également inspiré d’une histoire vraie.

VIDEO. La bande-annonce de «Philomena», situé dans ce même couvent de

2017-03-04 Herve tuam ]

2017-03-14 Mongrain Mosissette

Jean Luc Mongrain défend les victimes, maintenant il est avec  les religieux qui est plus payant

Duplessis Orphans find connections overseas

My most recent work, O douce Providence, that has as a focus the oral history of Duplessis Orphan survivor Herve Bertrand, has started to make news… It seems there are parallels between what occurred in Quebec to the Duplessis Orphans, and what happened in Ireland at the Mother and Baby Homes and Industrial Schools during that same period…

Please share!

Alyssa avec des victimes d’Irlande pour démontré une similitude entre le deux pays

Mon travail le plus récent, o douce providence, qui a pour objectif l’histoire orale de survivant orphelin Herve Bertrand  a commencé à faire des nouvelles… Il semble qu’il y ait des parallèles entre ce qui s’est passé au Québec aux orphelins de Duplessis, et Ce qui s’est passé en Irlande à la mère et à la maison des bébés et des écoles industrielles pendant cette même période
Conférence de Presse le 1er Juin à Concordia Université
La Salle St-Gérard Majella Mont-Providence  Hervé a la performance Ottawa
Amnesty Montréal 2017 Des Conférence qui sert seulement au organisateur non aux victimes comme nous les survivants des crimes odieux pour nous mettre en esclavages
2017 Droit Humain Montréal  Mr Denis Coderre connais notre dossier et ne fis rien pour les victimes il se pavane ses journées devant les médias comme un sauveur.
Amnesty international
Du génocide religieux et Politique

Centre d’histoire orale et de récits numérisés
Pavillon LB, 10ème étage, salle LB-1042
1400 de Maisonneuve Ouest près de Guy
Montréal, QC, Canada  H3G 2V8
La conférence vidéo débutera à 11h 1er juin  Venez voir les vraies victimes survivantes de l’Irlande et du Québec

    

 David Cancella

Ottawa versera 800 millions aux autochtones victimes de la rafle des années 1960

5 octobre 2017 18h34 | Colin Perkel – La Presse canadienne à Toronto | Canada

Des détails confidentiels de l’entente incluent un paiement allant de 25 000$ à 50 000$ pour chaque plaignant, pour une somme maximale totale de 750 millions, selon des sources au fait du dossier.

Le gouvernement fédéral annoncera ce vendredi une entente avec des autochtones victimes de la « rafle des années 1960 ». Il confirmera alors le versement de compensations totalisant plusieurs centaines de millions de dollars, a appris Le Devoir.

L’entente, qui sera dévoilée par la ministre des Relations Couronne-Autochtones et des Affaires du Nord, Carolyn Bennett, toucherait environ 20 000 victimes.

Durant les années 1960, des milliers d’enfants autochtones à travers tout le pays ont été enlevés à leur famille pour être placés dans des familles adoptives ou d’accueil non autochtones, en vertu d’une politique gouvernementale. Certains jeunes avaient même été « vendus » à des familles à l’étranger.

La Presse canadienne a rapporté jeudi que l’entente vise à régler 18 poursuites intentées pour les torts subis par ces jeunes. Elle inclurait un paiement allant de 25 000 $ à 50 000 $ pour chaque plaignant, pour une somme maximale totale de 750 millions.

La cause la plus connue — la seule à avoir été autorisée pour une action collective — est celle intentée par Marcia Brown Martel en Ontario. En février dernier, un juge avait donné raison au recours de Mme Brown Martel, dans un jugement sans précédent. Le juge Edward Belobaba soulignait que le Canada avait « manqué à son obligation de diligence » envers ces enfants.

Jeffery Wilson, l’un des avocats de Mme Brown Martel, avait affirmé que l’action collective, qui réclamait 1,3 milliard au nom de 16 000 plaignants, était la première à reconnaître l’importance de l’héritage culturel d’une personne et des séquelles durables de sa perte.

Une source a affirmé à La Presse canadienne que certains aspects des multiples poursuites pourraient ne pas être résolus par l’entente, mais a qualifié l’annonce prévue vendredi de « pas significatif » vers la résolution de l’enjeu de la « rafle des années 1960 », qui s’inscrit dans la promesse du gouvernement libéral de Justin Trudeau de faire de la réconciliation avec les autochtones une priorité.

L’entente dévoilée vendredi prévoirait cependant 50 millions de plus pour créer une fondation vouée au processus de guérison des autochtones, une demande clé de Mme Brown Martel.

Jeudi, des porte-parole de la ministre Bennett et les plaignants ont seulement voulu confirmer qu’une annonce était prévue vendredi.

« Étant donné que les négociations sont en cours et confidentielles, nous ne pouvons fournir d’autres informations en ce moment », a indiqué par voie de communiqué le bureau de la ministre Bennett, ajoutant que les parties avaient convenu de travailler dans l’objectif d’une résolution globale et que les discussions se poursuivaient.

Le chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, Ghislain Picard, estime que cette compensation est nécessaire dans le processus de réconciliation.

« L’entente qui sera annoncée, c’est une compensation, c’est sans doute très peu d’argent lorsqu’on réalise tous les torts que ces rafles ont causés. L’argent ne remplacera pas le lien qu’on a coupé à ces milliers d’enfants », souligne M. Picard.

Le chef rappelle que deux ans se sont écoulés depuis que le Manitoba est devenu la première province à offrir des excuses officielles aux victimes de ces enlèvements massifs, en juin 2015.

« Ce sont des milliers d’enfants qui ont été touchés par ces rafles-là. Ils ont été retirés de leur famille et privés de leur identité culturelle pendant des années. C’était draconien. Le but, c’était de couper le lien de l’enfant avec sa communauté d’origine », mentionne-t-il.

Lundi le 29 Janvier 2018                                                                    Le Journal de Montréal

Un orphelin de Duplessis lance une action collective

Un « orphelin de Duplessis » qui s’est senti insulté par le dédommagement de 15 000 $ offert par le gouvernement veut intenter une action collective au nom des victimes d’abus durant la Grande Noirceur.

« Dans son esprit, [le dédommagement] était une claque au visage ; considérant l’enfance horrible qu’il a vécue, ce montant offert est une insulte », écrit l’avocat Alan Stein, dans un document de cour déposé au palais de justice de Montréal.

La poursuite civile, intentée par Marc Boudreau, demande plutôt 875 000 $ par enfant victime non seulement d’abus, mais qui aurait aussi été utilisé comme cobaye humain « dans le but d’enrichir le gouvernement du Québec et l’Église catholique » dans les années 1940 et 1950.

Il poursuit l’État, mais aussi des congrégations religieuses à Montréal, à Baie-Saint-Paul et à Québec, entre autres.

Sévices

  1. Boudreau, qui est à la tête du mouvement, explique dans le document de cour être un « orphelin de Duplessis ».

Vers l’âge de 5 ou 6 ans, M. Boudreau explique avoir été placé en orphelinat et institutions psychiatriques, même s’il n’avait aucun problème de santé mentale.

Lors de son passage dans un monastère, il dit avoir été frappé à répétition au point de presque perdre un œil. À d’autres moments, il aurait été obligé de porter une camisole de force.

« Il a été utilisé comme cobaye dans des expériences horribles, dont l’administration forcée de drogues, de la privation de sommeil et des séances d’électrochocs », indique le document de cour.

Jusqu’’à ses 18 ans, sa vie était un enfer sur terre », indique la demande d’action collective.

Ces événements, qui n’ont pas encore été prouvés à la cour, lui auraient causé d’importants traumatismes. M. Boudreau affirme avoir du mal à faire confiance aux autres, en plus d’être incapable d’avoir une relation saine.

Pendant que d’autres sont capables de ressentir et d’exprimer librement leur amour pour leurs êtres chers, M. Boudreau est incapable de vivre le sentiment d’amour », déplore l’avocat dans la poursuite.

Soutien

Boudreau cherche ainsi des dédommagements pour lui, mais aussi pour tous les autres « orphelins de Duplessis ». Et il a le soutien du Comité des Orphelins victimes d’abus.

Nous souhaitons ardemment qu’il gagne, on appuie son initiative », a affirmé Lucien Landry du Comité.

Landry rappelle que si les abus et inconduites sexuels font beaucoup parler dans les médias, cela faisait 25 ans que le combat des « orphelins de Duplessis » avait commencé.

Les congrégations contactées par Le Journal n’ont pas souhaité commenter.

2018 01-06 Les Compagnons de Montréal-

Le Anciens du Mont-Providence  2018 Janvier le 6 Une belle rencontre ensemble ont a fêtée la Nouvelle Année 

Rencontre avec le souverain pontife

Trudeau demande au pape des excuses aux peuples autochtones

Agence France-Presse

| Publié le 29 mai 2017 à 09:53 – Mis à jour le 29 mai 2017 à 13:34

Trudeau demande au pape des excuses aux peuples autochtones

Agence France-Presse

| Publié le 29 mai 2017 à 09:53 – Mis à jour le 29 mai 2017 à 13:34

Le premier ministre canadien Justin Trudeau a invité le pape François, qu’il a rencontré lundi au Vatican, à se rendre au Canada pour présenter des excuses aux peuples autochtones, dans un sLe premier ministre canadien Justin Trudeau a invité le pape François, qu’il a rencontré lundi au Vatican, à se rendre au Canada pour présenter des excuses aux peuples autochtones, dans un souci de réconciliation.

«Je lui ai parlé du désir profond des Canadiens d’avoir une vraie réconciliation avec les peuples autochtones et j’ai parlé de comment lui il pourrait aider avec des excuses», a déclaré M. Trudeau devant la presse, précisant qu’il avait invité le pape au Canada.

Justin Trudeau a dit que le chef de l’Église catholique lui avait assuré avoir toujours à coeur la défense les plus «marginalisés» et qu’il était prêt à travailler avec les autorités canadiennes pour trouver une issue sur ce point. Il n’a pas évoqué de réponse éventuelle du pape à son invitation à se rendre au Canada.

  1. Trudeau souhaitait s’entretenir avec le souverain pontife des autochtones du Canada victimes des politiques d’assimilation auxquelles l’Église catholique a activement participé. Beaucoup d’entre eux ont aussi été victimes pendant plus d’un siècle de sévices dans des pensionnats principalement régis par l’Église.

Canadian prime ministre Justin Trudeau (C) arrives with the prefect of the papal household

Cette démarche figurait parmi les recommandations faites fin 2015 par la Commission de vérité et réconciliation du Canada qui a entendu pendant six ans les témoignages de près de 7000 anciens élèves.

Visiblement détendus pendant les quelques minutes de la partie publique de l’audience, le pape et M. Trudeau ont échangé sourires et plaisanteries à l’issue de 36 minutes d’entretien privé.

Cet échange a porté «sur les thèmes de l’intégration et de la réconciliation, ainsi que sur la liberté religieuse et les problématiques éthiques actuelles», s’est contenté d’indiquer le Vatican dans un communiqué.

Alors que M. Trudeau revenait du sommet du G7 à Taormina (Italie), les deux hommes ont aussi évoqué «des questions à caractère international, avec une attention particulière pour le Moyen-Orient et les zones de conflit».

Catholique élevé dans un collège jésuite, Justin Trudeau a mis en place une politique d’accueil et d’intégration des réfugiés, en particulier syriens. Mais le jeune dirigeant est aussi un fervent défenseur des droits des homosexuels et des transgenres.

Et pour lui, la question autochtone est «une priorité», a insisté un porte-parole.

Au Canada, 150 000 enfants amérindiens, métis et inuits ont été enrôlés de force dans 139 pensionnats gérés par des communautés religieuses, au nom du gouvernement canadien. Nombre d’entre eux ont été soumis à de mauvais traitements ou à des sévices sexuels.

  1. Trudeau a lui-même présenté ses «excuses les plus sincères» aux autochtones et leur a demandé «pardon» au nom du gouvernement du Canada.

Depuis son élection en 2013, François a pour sa part présenté des excuses au nom de l’Église aux victimes d’agressions sexuelles, aux protestants persécutés dans le Nord de l’Italie et aux peuples autochtones d’Amérique du Sud pour la complicité de l’Église dans l’oppression dont ils ont été victimes pendant les conquêtes coloniales.

Avec des membres du C.O.D.V.A renoue des connaissances jadis il y a plusieurs années déjà.

2020-07-11 Une photo avec le premier ministre du Québec en Rencontre le 16 descendre 2019 à L’Assomption.

1er Gilles Bertrand mon garçon 2 Marielle Léveillé Conjointe 3 Premier ministre Francois Legault 4 moi même Hervé Bertrand 4 Ma Lucie LECOURS Députée de Les Plaines Coalition avenir Québec Adjointe parlementaire du ministre de la Justice (volet protection des consommateurs.

La raison de cette rencontre pour demander de leur donner leur dignité aux victimes, mais il c,est empresser de dire je ne peut vous rien dire puisse vous este devant les tribunaux,pourtant ce n’est pas le comité des orphelins qui est devant les tribunaux, c’est plutôt l’association des Enfants de la Grande Noirceur .

Mon échange pour classé se dossier manipulé par les responsable du Génocide et du massacre des enfants née  hors mariages sans le consentement de l’église Catholique du diocèse de Montréal et de Québec .

De plus il son au banc des accusés il nous on fait un procès d’intention devenue la risses  des Québécois

Janvier 2018 le 26 le recours des orphelins de Duplessis a débuté 

Les orphelins de Duplessis déboutés

La demande de recours collectif déposée par les orphelins de Duplessis en mars 2018 vient finalement d’être rejetée par la Cour supérieure du Québec.

Lisée défend l’appui du P.Q au projet de loi 164

Les orphelins de Duplessis sont les victimes collatérales de la nouvelle loi restreignant l’accès aux mémoires du Conseil des ministres, qui a été adoptée à toute vapeur par l’Assemblée nationale, reconnaît le chef du Parti québécois (PQ),…

Les orphelins de Duplessis sont ces milliers d’enfants abandonnés entre les années 1940 et 1960 qui ont été pris en charge par des institutions religieuses, sous la gouverne du premier ministre Maurice Duplessis.

Ces jeunes, qui étaient déclarés malades mentaux, ont été sévèrement maltraités durant des années. Ils ont notamment subi des expérimentations médicales, de la torture, du travail forcé et des sévices sexuels.

Document  Archives de Radio Canada