Gouvernement du Canada et ses complices.

Les quatre colonnes de notre société Canadienne et Québécoise.

  1. Gouvernement du Canada (James Paul Martin) Santé Canada
  2. Gouvernement du Québec (Maurice Duplessis)
  3. Les Sœurs de la  (Charité de la Providence)
  4. Les Psychiatres du Québec.

Ouverture d’une conférence fédérale-provinciale à Ottawa
10 janvier 1950]

Le premier ministre du Canada, Louis Saint-Laurent ,
et les dix premiers ministres des provinces discutent des
Méthodes à suivre pour modifier, à l’avenir, les clauses de
La constitution intéressant à la fois les gouvernements provinciaux
Et le fédéral. Un comité permanent, composé des procureurs généraux
Des provinces, est formé pour poursuivre le travail.
La délégation québécoise à cette conférence est la plus importante.
Elle compte en effet dix représentants, alors que l’Ontario n’en compte que sept.
Parmi les participants, notons la présence du premier ministre Maurice Duplessis,
du trésorier de la province, Onésime Gagnon, et du ministre du Travail, Antonio Barrette.
Il s’agit de la première conférence portant uniquement sur l’étude de la constitution
canadienne depuis la Confédération. Parmi les principales requêtes québécoises, on retrouve d’abord la disparition du droit fédéral de désaveu et l’abolition des amendements fédéraux de 1949.
Avant la conférence, le premier ministre Duplessis reçoit de nombreux appels et demandes de la part des Québécois afin de s’assurer qu’il conserve une position ferme, exigeant une plus grande
Autonomie pour les provinces. C’est d’ailleurs cette position que Duplessis défend dans ses discours :
«Je crois fermement que le Canada doit être une fédération de provinces autonomes…
D’aucuns se déclarent favorables à l’autonomie provinciale, mais ne partagent pas nos vues quand
Nous affirmons que l’autonomie provinciale ne saurait exister sans pouvoirs fiscaux indispensables et définis…».
________________________________________
En référence: Fernand Harvey et Peter Southam, Chronologie du Québec (1940-1971),
Québec, Institut supérieur des sciences humaines, no 4, janvier 1972, p.54.
En complément: Robert Rumilly, Maurice Duplessis et son temps, Montréal, Éditions
Fides, 1973, p.313-320.

 

DUPLESSIS’ ORPHANS

Copied from

Le vendredi 5 mars 1999

 

«C’est l’ultime humiliation» Bruno Roy

Louise Leduc

«Nous ne voulons plus nous laisser humilier. Un fonds d’aide, c’est une abstraction et ça ne peut en rien être assimilé à des compensations. Nous soutenir, ce n’est pas réparer les torts. Nous vivons dans un régime de droit dont nous sommes encore une fois les grands exclus», a déclaré Bruno Roy, furieux et déçu. «Ce mépris, c’est une dure épreuve morale, mais la bataille n’est pas finie.»

Les excuses tant attendues n’ont pas davantage été un baume sur les plaies des orphelins, qui seraient entre 800 et 3000 à se partager les trois millions de dollars. «Le premier ministre présente vite es excuses et, du même souffle, il louange le dévouement des religieuses. Comment croire en sa sincérité?», demande Bruno Roy. Tout autant que le contenu de la déclaration de Lucien Bouchard, c’est la façon de procéder qui blesse profondément le représentant des orphelins de Duplessis. «J’ai appris aujourd’hui par les journalistes que le premier ministre allait se prononcer sur la question, poursuit Bruno Roy. À l’Assemblée nationale, le 19 mars 1998, Lucien Bouchard nous avait pourtant promis qu’il ne nous imposerait pas un règlement, que nous serions consultés.»
La révision des dossiers médicaux, en négociation au Collège des médecins, et la correction des registres de l’état civil vont de soi, selon Bruno Roy, et ne constituent aucune victoire.
Les orphelins de Duplessis attendaient depuis longtemps un geste du gouvernement québécois et, impatients, avaient fait monter la pression par des manifestations et des sorties publiques au cours des dernières semaines. Le 19 mars 1998, le premier ministre Bouchard avait soutenu, à l’Assemblée nationale, que «d’ici quelques semaines, tout au plus, le conseil des ministres sera saisi d’une recommandation de proposition. […] C’est une question de quelques semaines».
Les orphelins de Duplessis ont attendu un an de plus, en vain à leurs yeux. «C’est rire de nous, nous n’avons absolument pas eu gain de cause», plaide Yvette Gascon, qui, de 1947 à 1961, a été placée à l’hôpital Saint-Julien de Saint-Ferdinand. L’argent de Québec, c’est des pinottes. Mais avant de tout refuser d’un bloc, il faut reprendre le bâton de pèlerin et les discussions avec Lucien Bouchard. Le dossier n’est pas clos, oh! que non!»
Clairina Duguay, elle aussi à l’hôpital Saint-Julien de 1947 à 1953, trouve «lamentables» les offres du premier ministre. «Après toutes les tortures et les souffrances que j’ai connues dans ma jeunesse, j’aurais souhaité un bon montant pour finir mes jours dans la dignité et la paix. C’est un coup de couteau dans le cur. Lucien Bouchard est un homme dur, froid et sans cur.»

Pendant ce temps, le cardinal Jean-Claude Turcotte, dont les déclarations avaient heurté de plein fouet les orphelins de Duplessis il y a deux semaines, se trouve toujours à Rome, où il participe à une commission pontificale sur les communications sociales. Son porte-parole à l’Archevêché, Brian McDonough, a applaudi à la déclaration de Lucien Bouchard, qui a rappelé que les «religieux et les religieuses ont hérité d’un lourd fardeau social [à l’époque] et ont fait preuve d’un grand dévouement».

Les excuses du premier ministre annoncent-elles de pareils propos du cardinal Turcotte? «Je suis sûr que Mgr Turcotte voudra d’abord consulter son comité et les communautés religieuses», a prudemment laissé tomber M. McDonough.

De son côté, sur Gisèle Fortier, une Petite Franciscaine de Marie qui s’est occupée d’orphelins de Duplessis à Baie-Saint-Paul à compter de 1945, a dit «apprécier le message du premier ministre en faveur des religieux et des religieuses, qui ont beaucoup donné. Il a bien compris la problématique et remis les choses dans leur contexte».

En présentant ses excuses, Lucien Bouchard n’avait pas à se préoccuper d’éventuelles conséquences juridiques. Comme le rappelle le professeur de droit de l’Université Laval, Daniel Gardner, à quelques exceptions près, les orphelins ne peuvent à peu près plus rien espérer des tribunaux. «Dans le cadre du recours collectif perdu par les orphelins en 1995, le juge avait consacré six ou sept pages de son jugement pour parler de la prescription et pour rappeler qu’il était trop tard, que le délai à l’intérieur duquel ils peuvent intenter des poursuites était depuis longtemps écoulé.»

D’un point de vue juridique, il ne resterait plus qu’une seule carte pour ces quelques orphelins de Duplessis qui arriveraient à prouver que des sévices sexuels ou autres leur auraient causé un traumatisme et un blocage tels qu’ils ont été incapables d’exercer leurs droits plus tôt.

«Mais Bruno Roy a bien saisi que pareille preuve serait très longue à faire et qu’il lui fallait plutôt espérer des compensations du côté du gouvernement. Et ces trois millions de Québec, rappelons-le, ont pu être obtenus sans de coûteux frais d’avocats», souligne Daniel Gardner.

Jean Gaudreau, jeune stagiaire en psychologie au Mont-Providence au début des années 60 et ardent défenseur de la cause des orphelins de Duplessis, est à tout le moins content des excuses de Lucien Bouchard. «Il fallait faire quelque chose. Plusieurs personnes dans la société perçoivent les orphelins de Duplessis comme des exploiteurs en quête d’argent. Qu’ils reçoivent des compensations n’a rien d’indécent. Comme société, nous devons être prêts à aider ces personnes, pour la plupart vivant de l’aide sociale.»

Quarante ans plus tard, certaines images du Mont-Providence restent bien gravées dans l’esprit de Jean Gaudreau, aujourd’hui professeur à l’Université de Montréal. «Je me souviens d’un enfant de quatre ou cinq ans, en camisole de force et attaché à la tuyauterie d’un lavabo. Je ne peux non plus oublier cette vingtaine d’adolescents, considérés comme agités, qui regardaient la télévision, tous alignés dans des berceuses et rendus somnolents par une surmédication.»

Des années 40 jusqu’au début des années 60, les orphelins ou les enfants abandonnés parce qu’ils étaient nés en dehors des liens du mariage étaient dirigés vers les crèches jusqu’à l’âge de six ans, puis vers les orphelinats ou les écoles d’industrie jusqu’à 16 ans. Sous Duplessis, quantité d’orphelins se retrouvèrent sans raison médicale dans des hôpitaux psychiatriques.

Selon le rapport du Protecteur du citoyen datant de janvier 1997, 13,4 % des enfants placés dans les orphelinats étaient des orphelins de père et de mère, dans les années 40; 21,8 % de ces enfants avaient leurs deux parents et les autres n’avaient qu’un parent.

Le sort des enfants abandonnés n’était pas rose. Vivant dans des institutions surpeuplées et aux ressources humaines insuffisantes, ils n’allaient pas à l’école, déjà obligatoire depuis 1943, et étaient souvent laissés à eux-mêmes.

Plusieurs personnes internées, étiquetées à tort comme des malades mentaux, ont alors subi des traitements destinés aux véritables malades: électrochocs, lobotomie, isolement en cellule, bains glacés, enchaînement, camisoles de force, surmédication.

Des 90 orphelins de Duplessis s’étant adressés au Protecteur du citoyen, 72 lui ont dit que la violence était omniprésente et cruelle dans les institutions où ils résidaient.

Jusqu’ici, le Protecteur du citoyen est celui qui est allé le plus loin dans ce dossier. En 1997, Daniel Jacoby préconisait des excuses du gouvernement, des congrégations religieuses et de l’Ordre professionnel des médecins, de même qu’une indemnité personnelle. Cette indemnité personnelle, selon Daniel Jacoby en 1997, devrait «tenir compte du nombre d’années passées en institution sous la qualification injustifiée de malade ou de déficient mental (1000 $ par année) ainsi que du préjudice découlant de sévices corporels ou d’agressions sexuelles; pour ces deux types d’actes, on envisagerait un montant d’indemnité qui pourrait varier de 10 000 à 20 000 $ selon la gravité du préjudice».

Plusieurs Décret Improviser du Gouvernement du Québec

Les Orphelins de Duplessis= Enfants née hors mariage sans le consentement des deux diocèses de Montréal et Québec du secte de la religion catholique de Rome

QuittancePNROOD (1)

Quittancce page3

Programme national de réconciliation avec les orphelins et orphelines de Duplessis – LES PERSONNES ADMISSIBLES ONT JUSQU’AU 10 AOUT 2007

QUEBEC, le 1er août /CNW Telbec/ – Le Secrétariat du Programme national de réconciliation avec les orphelins et orphelines
de Duplessis ayantfréquenté certaines institutions rappelle que les personnes admissibles ont jusqu’au 10 août 2007 pour
déposer une demande d’aide financière.
Les personnes admissibles peuvent consulter le site Internet du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale,
www.mess.gouv.qc.ca, sous la rubrique
L’aide financière, afin d’obtenir le document intitulé Guide du demandeur et le formulaire requis, ou encore, sont invitées à
composer le 1 866 225-0270
Pour obtenir de l’aide en vue de remplir la demande d’aide financière. Une équipe de conseillères et de conseillers expérimentés
du Secrétariat du Programme national de réconciliation avec les orphelins et orphelines de Duplessis ayant fréquenté certaines
institutions est disponible pour soutenirces personnes dans leur démarche. Précisons que le programme, en vigueur depuis le 10 avril
dernier, permetd’accorder une aide financière aux orphelins et orphelines qui ontfréquenté certaines institutions non psychiatriques
et qui n’ont pas reçu l’aide offerte dans le cadre du précédent Programme qui a pris fin en 2003.Rappelons qu’une personne est admissible si :
A- Elle était orpheline ou considérée comme telle en raison notamment de son abandon ou de son illégitimité;
B- Elle a été admise, entre le 1er janvier 1935 et le 31 décembre 1964,dans l’une des neuf institutions désignées;
C- Elle a subi une évaluation psychologique avant ou à compter de son admission dans l’une de ces institutions,qui concluait
à une déficience ou à un retard intellectuel la rendant inapte à l’adoption,ou a été considérée ainsi par cette institution;
D- Elle n’a pas reçu d’aide financière en vertu du Programme national de réconciliation avec les orphelins et les orphelines de Duplessis
qui appris fin en mai 2003;
E- Elle est vivante à la date d’entrée en vigueur (10 avril 2007) du présent programme d’aide financière et elle fait une demande d’aide
financière au ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MESS)au plus tard 120 jours après cette date (10 août 2007).
Un comité multipartite est chargé de déterminer l’admissibilité des personnes à ce nouveau programme. Les institutions non
psychiatriques désignées en bas de cette liste improviser du Gouvernement du Québec Par Lucien Bouchard et compagnie.
1 – L’Orphelinat Notre-Dame de la Merci d’Huberdeau;
2- L’Institut Saint-Jean-Baptiste de Lac-Sergent;
3- L’Orphelinat Saint-Joseph de Chambly;
4- L’Hospice du Sacré-Coeur de Sherbrooke;
5- L’Orphelinat agricole Saint-Joseph de Waterville;
6- Le Centre Notre-Dame de la Santé (Institut Val-du-Lac) de Rock Forest;
7- L’Institut Monseigneur Guay de Lauzon;
8- Le Mont Saint-Aubert d’Orsainville;
9- L’Institut Doréa de Franklin Centre.
Renseignements: Claude Morin, Responsable des relations médias, (418)643-2417

Le sort des filles-mères

Date de diffusion : 27 janvier 1970

Les orphelins de Duplessis sont des enfants illégitimes, c’est-à-dire nés hors mariage. Pour comprendre leur histoire, il faut remonter à la source et saisir la mentalité d’une époque qui ne pardonne pas à une femme de donner naissance à un enfant sans être mariée. La jeune femme qui déroge à cette norme est dès lors considérée comme une déviante, pire, une pécheresse, et porte seule le fardeau de l’intolérance de la société à l’égard de la sexualité hors mariage.

Michelle Tisseyre rencontre une mère célibataire qui, confrontée à un dilemme déchirant, a abandonné ses deux enfants dans une crèche et qui lui confie sa douloureuse histoire.

Les jeunes filles et le femmes célibataires qui se retrouvent enceintes subissent une énorme pression sociale. Elles cherchent à dissimuler leur « faute » : elles quittent leur village ou leur ville pour cacher leur grossesse et accouchent en secret derrière les murs d’institutions. Fondés respectivement en 1845 et 1852, les hôpitaux des Soeurs de Miséricorde de Montréal et des Soeurs du Bon-Pasteur de Québec accueillent les filles-mères pour leur accouchement. Ces maternités ont été ouvertes afin de permettre aux mères célibataires de recevoir des soins, pendant et après leur grossesse, et de « sauver leur honneur et celui de leur famille ».

Dans l’espoir de retrouver une vie normale, les mères célibataires confient leur enfant en adoption afin qu’il soit élevé dans une bonne famille. Toutefois, à partir de la crise des années 1930, le taux d’adoption est en baisse et les enfants grandissent dans les orphelinats.

Plusieurs femmes refusent néanmoins de signer les papiers d’abandon qui rendent le bébé disponible pour l’adoption. Elles espèrent se marier ou économiser assez pour pouvoir récupérer leur enfant. Après plusieurs mois, l’enfant non réclamé peut cependant être donné en adoption sans aucun consentement préalable de la mère.

Religion :Le pape Benoît XVI

Frail Pope Breaks Tradition and Resigns

VATICAN CITY — Citing advanced years and infirmity, but showing characteristic tough-mindedness and unpredictability, Pope Benedict XVI shocked Roman Catholics on Monday by saying that he would resign on Feb. 28, becoming the first pope to do so in six centuries.
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The Resignation of Pope Benedict XVI

Agence France-Presse — Getty Images
Pope Benedict XVI left a meeting at the Vatican on Monday, when he announced he would resign.
Speaking in Latin to a small gathering of cardinals at the Vatican on Monday morning, Benedict said that after examining his conscience “before God, I have come to the certainty that my strengths, due to an advanced age, are no longer suited to an adequate exercise” of leading the world’s one billion Roman Catholics.
The statement, soon translated into seven languages, ricocheted around the globe.
A shy, tough-minded theologian who seemed to relish writing books more than greeting stadium crowds, Benedict, 85, was elected by fellow cardinals in 2005 after the death of John Paul II. An often divisive figure, he spent much of his papacy in the shadow of his beloved predecessor.
Above all, Benedict’s papacy was overshadowed by clerical abuse scandals, a case involving documents leaked from within the Vatican itself and tangles with Jews, Muslims and Anglicans. In his handling of the sexual abuse crisis, critics said that his failures of governance were tantamount to moral failings.
In recent months, Benedict had been showing signs of age. He often seemed tired and even appeared to doze off during Midnight Mass on Christmas Eve, after being taken to the altar of Saint Peter’s on a wheeled platform. But few expected the pope to resign so suddenly, even though he had said in the past that he would consider the option.
“The pope took us by surprise,” said the Vatican spokesman, the Rev. Federico Lombardi, expounding on one of the most dramatic moments in centuries of Vatican history. He appeared at a hastily called news conference on Monday, where he stood by himself at the lectern, with an unopened bottle of mineral water and a dog-eared copy of a Canon Law guide before him.
Father Lombardi said that the pope would continue to carry out his duties until Feb. 28 at 8 p.m., and that a successor would probably be elected by Easter, which falls on March 31. But he said the timing for an election of a new pope is “not an announcement, it’s a hypothesis.”
He said that the pope did not display strong emotions as he made his announcement, but spoke with “great dignity, great concentration and great understanding of the significance of the moment.”
The announcement plunged the Roman Catholic world into intense speculation about Benedict’s successor, and seemed likely to inspire many contrasting evaluations of a papacy that was seen as both traditionalist and contentious — though perhaps not so confrontational as many had feared of the man they called “God’s Rottweiler” for his tenacious defense of church doctrine.
Benedict was deeply distraught about the decline in religious belief in the West, and he had spent the previous 25 years as the head of the Vatican’s doctrinal office, the powerful Congregation for the Doctrine of the Faith. There, he had watched his beloved predecessor, John Paul II, slowly decline with Parkinson’s disease.
“In today’s world,” Benedict said in his announcement, “subject to so many rapid changes and shaken by questions of deep relevance for the life of faith, in order to govern the bark of St. Peter and proclaim the gospel, both strength of mind and body are necessary, strength which in the last few months has deteriorated in me to the extent that I have had to recognize my incapacity to adequately fulfill the ministry entrusted to me.”
“For this reason,” he continued, “and well aware of the seriousness of this act, with full freedom, I declare that I renounce the ministry of bishop of Rome, successor of St. Peter.”
At the news conference, Father Lombardi noted that in a book-length interview with a German journalist, Benedict had said that “if a pope clearly realizes that he is no longer physically, psychologically and spiritually capable of handling the duties of his office, then he has a right and, under some circumstances, also an obligation to resign.”

The interview was conducted in 2010, at the height of a new wave of the sexual abuse crisis, and at that time Benedict held fast to his office. “When the danger is great, one must not run away,” the pope said then. “For that reason, now is certainly not the time to resign. One can resign at a peaceful moment or when one simply cannot go on. But one must not run away from danger and say that someone else should do it.”
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Benedict’s brother, the Rev. Georg Ratzinger, said that the pope’s weakening health had led him to step down. “His age was taking its toll,” the 89-year-old told the German news agency Deutsche-Presse Agentur on Monday, adding that he had been aware of his brother’s plan for several months. Father Lombardi said that the pope would retire first to his summer residence in Castel Gandolfo, in the hills outside Rome, and later at a monastery in Vatican City.
Benedict, the former Cardinal Joseph Ratzinger, was elected on April 19, 2005. At the time of his election, Benedict was a popular choice within the college of 115 cardinals who chose him as a man who shared — and at times went beyond — the conservative theology of his predecessor and mentor, John Paul, and seemed ready to take over the job after serving beside him for more than two decades.
The church’s 265th pope, Benedict was the first German to hold the title in half a millennium, and his election was a milestone toward Germany’s spiritual renewal 60 years after World War II and the Holocaust. At 78, he was also the oldest new pope since 1730.
But Benedict was seen as a weak manager, and his papacy was troubled by debilitating scandals, most recently “Vatileaks,” in which his butler was convicted by a Vatican court in October of aggravated theft after he admitted stealing confidential documents, many of which wound up in a tell-all book that showed behind-the-scenes Vatican intrigue.
In 2009, Benedict provoked global outrage when he revoked the excommunication of four schismatic bishops from the archtraditionalist Society of St. Pius X, one of whom, Richard Williamson, had denied the scope of the Holocaust in a television interview.
At the time, Benedict said he had wanted to heal a rift within the church. But coming from a German pope who had served in the Hitler Youth, however unwillingly, his actions outraged Jewish groups and Chancellor Angela Merkel of Germany.
Late last year, talks between the Vatican and the Society broke down after its current leader refused to recognize the liberalizing reforms of the Second Vatican Council — including a greater role for women in the church and absolving contemporary Jews of guilt for the death of Jesus — which the pope said was necessary for the group to be returned to full communion with the church.
Above all, Benedict’s tenure was entangled in growing sexual abuse scandals in the Roman Catholic Church that crept ever closer to the Vatican itself.
In 2010, as outrage built over clerical abuses, some secular and liberal Catholic voices called for his resignation, their demands fueled by reports that laid part of the blame at his doorstep, citing his response both as a bishop long ago in Germany and as a cardinal heading the Congregation for the Doctrine of the Faith, which handles such cases.
In one disclosure, news emerged that in 1985, when Benedict was Cardinal Ratzinger, he signed a letter putting off efforts to defrock a convicted child-molesting priest. He cited the priest’s relative youth but also the good of the church.
For his supporters, it was a painful paradox that the long-gathering abuse scandal finally hit the Vatican with a vengeance under Benedict. As the church’s doctrinal leader he had been ahead of many of his peers in recognizing how deeply the institution had been damaged. As early as 2005, he obliquely referred to priestly abuse as a “filth in the church.”
He went on to apologize for the abuse and met with victims, a first for the papacy. But he could not escape the reality that the church had shielded priests accused of molesting, minimized behavior it would have otherwise deemed immoral and kept it secret from the civil authorities, forestalling criminal prosecution.

Frail Pope Breaks Tradition and Resigns
Published: February 11, 2013 1255 Comments
(Page 3 of 3)
“Having wielded power so aggressively in an intellectual sphere, he became pope and shrank from the full power of the office, refusing to prosecute guilty cardinals and bishops who recycled predators in the abuse crisis,” said Jason Berry, the author of “Render Unto Rome,” about the Vatican’s finances, and other books on the abuse crisis.
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“He approved an investigation of nuns for straying from doctrine, yet failed to confront the antiquated tribunal system that gives men in the highest offices of the church de facto immunity from justice,” Mr. Berry added.
The church Benedict inherited was in crisis, the sexual abuse scandal being its most vivid manifestation. It was an institution run by a largely European hierarchy overseeing a faithful largely residing in the developing world. And it was increasingly being torn between its ancient, insular ways and the modern world.
For the church’s liberal elements, rather than being the answer to that crisis, Benedict’s election represented the problem: an out-of-step conservative European academic. Many wondered if he would be a mere caretaker, filling the post after the long papacy of the beloved John Paul until a younger, more dynamic heir could be elevated.
As the Vatican’s doctrinal leader, Benedict’s had asserted that Catholicism is “true” and other religions are “deficient”; that the modern, secular world, especially in Europe, is spiritually weak; and that Catholicism is in competition with Islam. He had also strongly opposed homosexuality, the ordination of female priests and stem cell research.
Born on April 16, 1927, in Marktl am Inn, in Bavaria, he was the son of a police officer. He was ordained in 1951, at age 24, and began his career as a liberal academic and theological adviser at the Second Vatican Council, supporting many efforts to make the church more open.
But he moved theologically and politically to the right. Pope Paul VI named him bishop of Munich in 1977 and appointed him a cardinal within three months. Taking the chief doctrinal job at the Vatican in 1981, he moved with vigor to quash liberation theology in Latin America, cracked down on liberal theologians and in 2000 wrote the much-debated Vatican document “Dominus Jesus,” asserting the truth of Catholic belief over others.
Benedict also faced questioning by some critics about what he and others have said was his conscription into the Hitler Youth and the German Army during the Nazi era. He was also faced accusations that he displayed reticence and insensitivity about the Holocaust.
In a book-length interview in 1997, Benedict, then Cardinal Ratzinger, said, “As a seminarian, I was registered in the Hitler Youth.” He added, “As soon as I was out of the seminary, I never went back.” As pope he visited Auschwitz in 2006 as a gesture of atonement, calling himself a “son of the German people.”
Benedict “centered his papacy on giving faith to Christians, focusing on the essence of what it means to be a Christian, and he managed to do it in spite of the fact that his communicative capacities weren’t so brilliant,” the Vatican expert Sandro Magister said. “Most common people, I don’t mean intellectuals, saw him as a disinterested man who spent all his life for a high cause, which was to revive the faith

CITE DU VATICAN – Citant un âge avancé ou d’infirmité, mais montrant caractéristique d’esprit difficile et imprévisible, le pape Benoît XVI a choqué les catholiques romains lundi en disant qu’il donnerait sa démission le 28 février, devenant ainsi le premier pape à le faire depuis six siècles.

Prenant la parole en latin pour une petite réunion de cardinaux au Vatican lundi matin, Benoît XVI a dit que, après examen de conscience »devant Dieu, je suis arrivé à la certitude que mes forces, en raison d’un âge avancé, ne sont plus adaptés à un niveau de exercice «de mener un milliard dans le monde catholiques romains.

La déclaration, bientôt traduit en sept langues, a ricoché dans le monde entier.

Un timide, ferme et résolu théologien qui semblait se délecter d’écrire des livres plus les foules des stades de vœux, Benoît, 85 ans, a été élu par les cardinaux collègues en 2005 après la mort de Jean-Paul II. Un chiffre souvent de division, il a passé une grande partie de son pontificat dans l’ombre de son prédécesseur bien-aimé.

Par-dessus tout, la papauté de Benoît XVI a été éclipsée par des scandales d’abus commis, un cas impliquant des documents divulgués au sein du Vatican lui-même et les enchevêtrements avec les juifs, les musulmans et les anglicans. Dans sa gestion de la crise des abus sexuels, les critiques ont dit que ses échecs de la gouvernance étaient assimilables à des défaillances morales.

Ces derniers mois, Benoît avait montré des signes de l’âge. Il semblait souvent fatigué et est même apparu à somnoler pendant la messe de minuit la veille de Noël, après avoir été pris à l’autel de Saint-Pierre sur une plate-forme à roues. Mais peu s’attendaient à le pape de démissionner si soudainement, alors qu’il avait dit dans le passé qu’il envisagerait l’option.

«Le pape nous a pris par surprise», a déclaré le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi, exposant sur l’un des moments les plus dramatiques de siècles d’histoire du Vatican. Il est apparu lors d’une conférence de nouvelles à la hâte a appelé lundi, où il se trouvait lui-même au pupitre, avec une bouteille d ‘eau minérale et une copie écornée d’un guide droit canonique devant lui.

Le père Lombardi a déclaré que le pape continuerait à exercer ses fonctions jusqu’au 28 février, à 8 h, et qu’un successeur serait probablement élue de Pâques, qui tombe le 31 Mars. Mais il a déclaré que le calendrier de l’élection d’un nouveau pape est «pas une annonce, c’est une hypothèse.»

Il a dit que le pape n’a pas fait preuve de fortes émotions comme il l’a fait son annonce, mais s’est entretenu avec «une grande dignité, une grande concentration et une grande compréhension de l’importance du moment.»

L’annonce a plongé le monde catholique romaine dans la spéculation intense sur le successeur de Benoît XVI, et semblait de nature à inspirer de nombreuses évaluations contrastants d’une papauté qui était à la fois traditionaliste et controversée – mais peut-être pas aussi agressif que beaucoup l’avaient craint de l’homme qu’ils appelaient «Dieu Rottweiler «pour sa défense tenace de doctrine de l’Église.

Benoît était profondément bouleversée par la baisse de la croyance religieuse en Occident, et il avait passé les 25 dernières années à la tête du Vatican doctrinal de bureau, la Congrégation pour la Doctrine puissante de la foi. Là, il avait vu son bien-aimé prédécesseur Jean-Paul II, diminuer lentement avec la maladie de Parkinson.

«Dans le monde d’aujourd’hui», a déclaré Benoît XVI lors de son annonce, «sous réserve de tant de changements rapides et secoué par des questions de pertinence profond pour la vie de la foi, pour gouverner la barque de saint Pierre et proclamer l’évangile, à la fois force de corps et l’esprit sont nécessaires, la force qui, dans les derniers mois s’est détériorée en moi dans la mesure où j’ai dû reconnaître mon incapacité à remplir adéquatement le ministère qui m’a été confié. »

«Pour cette raison,» at-il poursuivi, «et bien conscient de la gravité de cet acte, en toute liberté, je déclare que je renonce au ministère de l’évêque de Rome, successeur de saint Pierre.»

Lors de la conférence de nouvelles, le père Lombardi a noté que, dans un livre-entretien avec un journaliste allemand, Benoît a déclaré que «si un pape se rend compte clairement qu’il n’est plus physiquement, psychologiquement et spirituellement capable de gérer les fonctions de son bureau, puis il a le droit et, dans certaines circonstances, également l’obligation de démissionner. »

L’interview a été réalisée en 2010, au plus fort d’une nouvelle vague de la crise des abus sexuels, et à ce moment-Benoît se sont accrochés à son bureau. «Quand le danger est grand, il ne faut pas fuir», a déclaré le pape alors. «Pour cette raison, est maintenant certainement pas le moment de démissionner. On peut démissionner à un moment de calme ou quand on ne peut tout simplement pas continuer. Mais il ne faut pas fuir le danger et de dire que quelqu’un d’autre devrait le faire. »
Frère de Benoît XVI, le pasteur Georg Ratzinger, a déclaré que la santé affaiblir le pape l’avait conduit à démissionner. «Son âge prenait son péage,« le 89-ans a déclaré à l’agence de nouvelles allemande Deutsche Presse Agentur-lundi, ajoutant qu’il avait été au courant du plan de son frère pendant plusieurs mois. Le père Lombardi a déclaré que le pape allait prendre sa retraite d’abord à sa résidence d’été de Castel Gandolfo, dans les collines en dehors de Rome, et plus tard dans un monastère au Vatican.

Benoît, l’ancien cardinal Joseph Ratzinger, a été élu le Avril 19, 2005. Au moment de son élection, Benoît était un choix populaire au sein du collège de 115 cardinaux qui l’ont choisi comme un homme qui partageait – et parfois allé au-delà – la théologie conservatrice de son prédécesseur et mentor, Jean-Paul, et semblait prêt à prendre sur le travail après avoir purgé près de lui pendant plus de deux décennies.

265e pape de l’Eglise, Benoît était le premier Allemand à détenir le titre dans un demi-millénaire, et son élection a été une étape vers un renouveau spirituel de l’Allemagne 60 ans après la Seconde Guerre mondiale et l’Holocauste. À 78 ans, il était aussi le plus ancien nouveau pape depuis 1730.

Mais Benoît XVI a été considéré comme un gestionnaire de faiblesse, et son pontificat fut troublé par des scandales débilitantes, plus récemment «Vatileaks», dans lequel son maître d’hôtel a été condamné par un tribunal du Vatican en Octobre de vol aggravé après qu’il eut admis avoir volé des documents confidentiels, dont beaucoup enroulées dans un livre Dites-tout ce qui montrait derrière-le-scènes intrigue du Vatican.

En 2009, Benoît a provoqué l’indignation mondiale quand il a levé l’excommunication de quatre évêques schismatiques de la Société archtraditionalist Saint-Pie X, l’un d’eux, Richard Williamson avait nié l’ampleur de l’Holocauste dans une interview télévisée.

À l’époque, Benoît XVI a dit qu’il avait voulu guérir une scission au sein de l’église. Mais venant d’un pape allemand qui avait servi dans les Jeunesses hitlériennes, contre sa volonté, ses actions révoltent groupes juifs et la chancelière Angela Merkel d’Allemagne.

L’année dernière, les pourparlers entre le Vatican et la Société est tombé en panne après que son leader actuel a refusé de reconnaître les réformes de libéralisation du Concile Vatican II – y compris un plus grand rôle pour les femmes dans l’église et absoudre les juifs contemporains de culpabilité pour la mort de Jésus – qui a déclaré le pape était nécessaire pour le groupe à retourner à la pleine communion avec l’Église.

Par-dessus tout, le régime de Benoît XVI était de plus en plus empêtré dans les scandales d’abus sexuels dans l’Eglise catholique romaine qui se sont glissées sans cesse plus étroite au Vatican.

En 2010, dans l’indignation construit au-dessus abus du clergé, des voix laïques et libéraux catholiques ont appelé à sa démission, leurs demandes alimentée par les rapports qui a jeté une partie du blâme à sa porte, en citant sa réponse à la fois comme un évêque depuis longtemps en Allemagne et en cardinal tête de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, qui gère de tels cas.

Dans une communication, les nouvelles émergé qu’en 1985, quand Benoît était le cardinal Ratzinger, il a signé une lettre de mise hors efforts visant à défroquer un condamné enfants molester prêtre. Il a cité la relative jeunesse du prêtre, mais aussi le bien de l’Église.

Pour ses partisans, c’était un paradoxe douloureux que le scandale des abus long rassemblement a finalement atteint le Vatican avec une vengeance sous Benoît. En tant que leader de l’église doctrinale qu’il avait été en avance sur beaucoup de ses pairs à reconnaître à quel point l’institution avait été endommagé. Dès 2005, il obliquement appelé sacerdotale violence comme un «saleté dans l’église.»

Il a poursuivi en excuses pour les abus et rencontré des victimes, une première pour la papauté. Mais il ne pouvait pas échapper à la réalité que l’église avait protégé les prêtres accusés d’avoir agressé sexuellement, a minimisé le comportement qu’il aurait autrement jugé immoral et gardé secret par les autorités civiles, prévenir les poursuites pénales.

Frail pape Breaks Tradition et démissionne
Après avoir exercé le pouvoir de façon si agressive dans une sphère intellectuelle, il est devenu pape et diminué de toute la puissance de l’office, en refusant de poursuivre les cardinaux et les évêques coupables qui recyclaient les prédateurs dans la crise des abus », a déclaré Jason Berry, l’auteur de» Render Unto Rome , «sur les finances du Vatican, et d’autres livres sur la crise des abus
Il a approuvé une enquête de religieuses pour s’écarter de la doctrine, mais n’a pas réussi à affronter le système archaïque tribunal qui donne aux hommes dans les plus hautes fonctions de l’immunité église de facto de la justice «, a ajouté M. Berry.

L’église Benoît hérité a été en crise, le scandale des abus sexuels étant la manifestation la plus éclatante. Il était une institution dirigée par une hiérarchie en grande partie européenne de superviser un fidèle largement résidant dans les pays en développement. Et il a été de plus en plus déchirée entre ses anciennes manières insulaires, et le monde moderne.

Pour les éléments libéraux de l’église, plutôt que d’être la réponse à cette crise, l’élection de Benoît XVI a représenté le problème: un out-of-étape conservatrice universitaire européen. Beaucoup se sont demandé s’il serait un gardien simple, pourvoir le poste après la papauté long de la bien-aimée jusqu’à ce que John Paul une plus jeune, plus dynamique héritier pourrait être élevée.

En tant que leader du Vatican doctrinale, Benoît XVI a affirmé que le catholicisme est «vrai» et les autres religions sont «insuffisantes»; que le monde moderne et laïque, en particulier en Europe, est spirituellement faibles, et que le catholicisme est en concurrence avec l’Islam. Il avait aussi fortement opposé à l’homosexualité, l’ordination des femmes prêtres et la recherche sur les cellules souches.

Né le 16 Avril 1927, à Marktl am Inn, en Bavière, il était le fils d’un officier de police. Il a été ordonné prêtre en 1951, à l’âge de 24 ans, et a commencé sa carrière en tant que conseiller académique et théologique libérale au Concile Vatican II, en soutenant de nombreux efforts pour rendre l’église plus ouverte.

Mais il a déménagé théologiquement et politiquement à droite. Le Pape Paul VI le nomme évêque de Munich en 1977 et le nomma cardinal délai de trois mois. Prenant la tâche principale doctrine au Vatican en 1981, il s’installe avec vigueur pour annuler théologie de la libération en Amérique latine, réprimé les théologiens libéraux et en 2000, a écrit le document très controversée du Vatican «Dominus Iesus», affirmant la vérité de la foi catholique sur autres.

Benoît également confrontés questions posées par certains critiques à propos de ce que lui et d’autres ont dit, c’est son enrôlement dans les jeunesses hitlériennes et l’armée allemande pendant la période nazie. Il a également face à des accusations qu’il affichés réticences et de l’insensibilité de l’Holocauste.

Dans un livre-entretien en 1997, Benoît XVI, alors cardinal Ratzinger, a déclaré: «En tant que séminariste, j’ai été enregistrées dans les Jeunesses hitlériennes.» Il a ajouté: «Dès que je fus hors du séminaire, je ne suis jamais retourné. «En tant que pape, il a visité Auschwitz en 2006 comme un geste d’expiation, qui se fait appeler« fils du peuple allemand ».

Benoît «centré son pontificat à donner foi aux chrétiens, en se concentrant sur l’essentiel de ce que signifie être un chrétien, et il a réussi à le faire en dépit du fait que ses capacités de communication n’étaient pas aussi brillante», le Vatican expert Sandro Magister dit. «La plupart des gens du commun, je ne parle pas des intellectuels, voyaient en lui un homme désintéressé qui a passé toute sa vie pour une cause élevée, ce qui était de faire revivre la foi.»

A Rome, où les boutiques de souvenirs sont souvent porteurs de plus de cartes postales de Jean-Paul que de Benoît, des nouvelles de la démission de Benoît XVI a été accueillie avec surprise et tristesse. «N’importe qui pourrait dire qu’il était vieux et malade, et que cette situation compliquée comme celle qu’il a à faire face, c’est beaucoup, mais je n’avais jamais entendu dire qu’un pape pouvait arrêter», a déclaré Simonetta Piersanti, 52 ans, femme de ménage dans une résidence tenue par des religieuses.

Elle a mentionné une commune romaine disant: «Quand un pape meurt, ils ont juste élire un autre», qui inclut le manque d’enthousiasme avec lequel les Italiens accueillent des événements historiques. «Nous allons devoir le faire même sans la partie la mort», at-elle ajouté.
This language is still in early stages of development and not yet up to the same quality standards as our other languages.»

AUTRES ARTICLES SUR ÉGLISE CATHOLIQUE ET ABUS SEXUELS

Le pape institue une commission pour lutter contre la pédophilie

(2013-12-05) Le pape François a décidé jeudi d’instaurer une commission d’experts contre la pédophilie pour… »

Voici les témoignages de victimes de la religion catholique et d’un gouvernement corrompu.

Cardinal Paul-Émile Léger | Le Journal de Montréal

1- Le prince de l’Église
Août 1955. C’est le moment des fêtes de l’oratoire Saint-Joseph. Le cardinal Léger est confiant. Le Québec des années 1950 est fidèlement catholique : 90 000 prêtres et religieuses, une forte fréquentation des églises et des centaines d’écoles et d’institutions gérées par des religieux. Né en 1904, le jeune Paul-Émile Léger a choisi le chemin de la prêtrise en 1925 et il a entrepris ses études de théologie au grand séminaire de Montréal. Ordonné prêtre en 1929, il se joint aux Sulpiciens et se rend à Paris, puis au Japon, pour y fonder un grand séminaire. La Deuxième Guerre mondiale précipite son retour au Québec, où il gravit peu à peu les échelons du haut clergé catholique. En 1950, à l’âge de 46 ans, il devient le plus jeune archevêque de l’Église catholique romaine en succédant à Mgr Charbonneau. Il sera nommé cardinal en 1953. Son esprit missionnaire l’incite à mettre sur pied de nombreuses œuvres de bienfaisance et de charité, et il lance à la station CKAC l’émission Le chapelet en famille, un rendez-vous quotidien dont la popularité se poursuivra jusqu’en 1970. Démissionnant de son poste d’archevêque en 1967, il meurt en 1991 après avoir marqué la mémoire de son époque.

De 1940 a 1960, dans un Québec marque par le conservatisme et le traditionalisme, des milliers d’enfants illégitimes, faussement étiquetés déficients mentaux, ont été internes dans des institutions psychiatriques sans raison valable. Marginalises socialement, prives d’éducation, victimes de sévices sexuels et de violences physiques, contraints a travailler pour les

A la question classique sur le lien de causalité entre pédophilie et célibat des prêtres, il répond qu’elle est simpliste. « Il y a d’autres moyens que la transgression pour gérer sa frustration sexuelle »,
par contre « la vie monastique et l‘internat offrent un contexte qui favorise une relation d’emprise sur de potentielles victimes, relation au centre du comportement pédophilique ».
Une « attirance particulière » est à la base de la pédophilie, il ne s’agit pas d’un choix par défaut, et certains prêtres peuvent avoir choisi le sacerdoce pour assouvir leurs pulsions, mais « ce n’est pas parce que quelques pyromanes sont pompiers que tous les pompiers sont pyromanes », tempère le docteur Bruno Gravier, qui invite l’Église catholique à « faire preuve d’une grande vigilance, comme le font maintenant les ONG lorsqu’elles envoient des bénévoles au contact d’enfants ».

Des règlements monétaires contre les pédophiles plusieurs millions de dollars

20 millions pour les victimes des Rédemptoristes

Les victimes des prêtres pédophiles rédemptoristes du Séminaire Saint-Alphonse se partageront 20 millions $, la plus importante somme jamais versée dans un recours du genre au Québec.
Après cinq ans de démarches et un douloureux procès, le combat prend fin pour les anciens étudiants qui ont subi des agressions sexuelles aux mains de neuf prêtres rédemptoristes entre 1960 et 1987.
La congrégation des Rédemptoristes, encore secouée du jugement qui autorisait le recours collectif des victimes, a demandé à négocier il y a une dizaine de jours et a accepté lundi de verser 20 millions $ pour régler définitivement le dossier.
Le montant servira à payer les indemnités individuelles ainsi que les frais d’avocats des victimes et les honoraires d’experts. Ces frais d’experts s’élèvent à au moins 120 000 $.
On ignore encore combien de victimes toucheront une indemnité. Jusqu’à présent, une centaine d’hommes qui ont fréquenté le collège privé de Sainte-Anne-de-Beaupré – aujourd’hui fermé – se sont inscrits au recours collectif.
L’avocat des victimes, Me Robert Kugler du cabinet montréalais Kugler Kandestin, qualifie de montant «énorme» la somme obtenue.
En guise de comparaison, les 206 victimes de sévices sexuels dans le dossier des Frères Sainte-Croix, qui comptait 40 agresseurs, avaient obtenu 18 millions $.
L’entente sera présentée officiellement au juge Claude Bouchard de la Cour supérieure d’ici un mois afin d’être ratifiée.
Par la suite, la congrégation émettra un chèque de 20 millions $ qui sera confié à un adjudicateur, un juge retraité qui reste à être désigné. Les états financiers des Rédemptoristes ont démontré que cette somme était disponible, ajoute l’avocat des victimes.
Une fois le versement fait, les Rédemptoristes seront exclus du processus de réclamation, insiste Me Robert Kugler. «Ils ne sont plus là du tout, dit l’avocat. Ils ne pourront pas interroger de victime, contester une réclamation ou réclamer une expertise médicale.»
Chaque membre du recours collectif remplira une déclaration assermentée décrivant les agressions subies. Cette déclaration sera examinée par l’adjudicateur.
Pas de prescription
Élément central du règlement, la prescription est complètement évacuée du débat et ne viendra nuire à aucun membre.
Au printemps 2013, le gouvernement du Québec a fait passer de 3 à 30 ans le délai de prescription permettant à une victime d’intenter une poursuite civile contre son agresseur. Mais le délai de trois ans demeure inchangé pour toutes les victimes agressées avant l’entrée en vigueur de la loi. Le jugement du juge Claude Bouchard prévoyait que chaque membre du recours collectif devait démontrer pourquoi sa démarche n’était pas prescrite. Ce ne sera plus nécessaire grâce au règlement intervenu entre les parties.
L’Association des victimes de prêtres applaudit ce règlement, qui vient raccourcir de beaucoup les délais.
Mais il est urgent, plaide le porte-parole Carlo Tarini que, comme dans le dossier des Rédemptoristes, le délai de prescription soit aboli pour toutes les victimes d’agressions sexuelles, passées comme futures.
«Des centaines et des centaines de victimes de prêtres attendent ça pour aller devant les tribunaux réclamer la justice, affirme Carlo Tarini, porte-parole de l’Association. Pourquoi maintient-on une législation qui a été changée dans les autres provinces?»
Des sacrifices en vue
Les Rédemptoristes devront faire des sacrifices et possiblement vendre des actifs pour réussir à indemniser les victimes, estime leur avocat.
Débourser 20 millions $ pour les victimes de neuf prêtres pédophiles du Séminaire Saint-Alphonse ne se fera pas sans douleur pour la congrégation toujours basée à Sainte-Anne-de-Beaupré.
«C’est malheureux parce que ce sont des sommes considérables, souligne Me Pierre Baribeau, du cabinet Lavery De Billy. Mais on a conclu le règlement pour simplifier les choses pour les victimes et pour que les 140 religieux qui n’ont rien à voir avec tout ça soient libérés de cette affreuse histoire.»
Même si les états financiers laissent entendre que la congrégation a les ressources pour payer la facture, des actifs seront liquidés, assure Me Baribeau, et des activités réduites.
Déçus, mais «soulagés»
Selon leur avocat, les Rédemptoristes restent déçus du jugement du juge Claude Bouchard, qui n’a pas retenu les versions des dirigeants religieux qui disaient ignorer tout des agressions. «Mais ils sont soulagés que ce soit terminé rapidement», ajoute Me Baribeau.
L’avocat de la congrégation estime qu’une entente aurait été possible avant le procès. «On avait offert un montant substantiel, affirme-t-il, sans divulguer le montant. Mais on a obtenu une fin de non-recevoir.»
Les avocats des victimes voulaient aller à procès, croit Me Pierre Baribeau. «Mais je ne suis pas certain qu’ils ont accompli beaucoup plus, à part sur la place publique.»
Pas de lettre d’excuse prévue
Les victimes des Frères Sainte-Croix ont reçu l’été dernier, en même temps qu’un chèque variant de 10 000 $ à 250 000 $, une lettre d’excuses signée par le supérieur provincial. Le frère Jean-Pierre Aumont demandait pardon «pour la souffrance causée par les enseignants et le personnel qui détenaient un poste de confiance et d’autorité auprès des élèves. De tels actes n’auraient jamais dû survenir». Les avocats des victimes ont confirmé au Soleil mardi que rien dans l’entente signée lundi ne prévoit une telle lettre d’excuses de la part des Rédemptoristes.

 

De la crèche à l’asile l’enfance internée

Le berceau des faux Anges ou ont nous appelais les enfants du Péché ou les bâtards.

Mise en ligne le 6 nov. 2011
De la crèche à l’asile l’enfance internée
On appelle ca un crime pas respecter les lois internationaux, Les droit de L’homme.
[embedyt]https://www.youtube.com/watch?v=j1wrdvfepa8[/embedyt]
Les bonnes sœurs Gilberte Villeneuve Un jour après le 18 mars elle est venue nous dans ma classe annoncer a partir d’aujourd’hui vous êtes tous des fous. Elle s’avait bien se qu’il arriverait a cet enfants elle dit se sont des enfants éducables elle était complice de sa communauté d’agir en obéissance a ses supérieures. Tant au docteur barbeau la commission scolaire de Montréal la mit dehors pour les documents faits sur le classement des enfants en difficulté d’apprentissages UN docteur plus malades que ces patient dans les institutions psychiatrique avec  le décret  

Décret 816 arrêt de la mort a la battoir le 370 enfants qui sont rester car eu n’avait pas de parents, l’été avant le changement la vocation du Mont-providence les sœurs de la charité de la fameuse Providence elles sont envoyer une lettre a fin que les parent ne puisent les retourné car il seront étiqueter comme les 370 autres a qui la vie normal finit la finit leur liberté finit les cours d’enseignement a l’école  finit de jour dehors comme tout les autres enfants du monde. Comment Dieu a donner la permission a ses représentants de Dieu puissent agir de cette façon criminel les ordre venais du Cardinal Léger avant de s’expatrieren Afrique pour punir sont geste de ne pas sauvé ses enfants.

Les quatre colonnes de notre société malade qui ont fait le pire crime mondiale selon l’ONU et les chartes canadiennes et Québécoise qui sont les coupables: 1er Le Gouvernement Canadiens  2ime le Gouvernement Québécois 3ime Les Sœurs de la (Charité) le la Providence le 4ime   les psychiatres Québécoises .

Toute un complot et continue aujourd’hui de nier car la culture Duplessiste continue de plus en plus évidant avec tous les enquetes et commissions continue démontre la corruption que Mcleans a raison Le Maclean’s sur la corruption au Québec – Charest défend les souverainistes

Dans une lettre virulente qu’il a fait parvenir à l’éditeur de Maclean’s, Mark Stevenson, dimanche dernier, Jean Charest dénonce cet article qui fait «la démonstration d’une thèse simpliste et odieuse selon laquelle les Québécois seraient génétiquement incapables d’agir avec intégrité» et qui s’appuie sur «un amalgame d’informations erronées, d’allégations non démontrées prises au hasard de l’histoire, où vous mêlez le premier ministre Duplessis, les syndicats de la fonction publique, la Révolution tranquille, la place de l’État dans l’économie, nos racines catholiques et, surtout, le mouvement souverainiste».

Le Macleans la corruption du Québec
Le Macleans la corruption du Québec

Le Québec champion de la corruption, selon Maclean’s

l’enfance Rencontre des orphelins 1979

Le berceau des Faux Anges du Québec Enfants maltraiter pas la religion Catholique et la politique

Mise en ligne le 6 nov. 2011
l’enfance internée. MOV De la crèche à l’asile : l’enfance internée
Les personnes responsables et les orphelins se retrouvent dans un Hôtel de Montréal fêter 20 Anniversaire des Marronniers
Orphelins : Hervé Bertrand Ma femme Claire Galipeault, Guy Royal, Jacques Roger, Bernardin Rousseau, Vincent De Villiers, Lucien Landry, Claude Bertrand, Jean Claude Labonté, Responsables : L’abbé Roger Roy , Sœurs Gilberte Villeneuve,1954 17 mars b18 mars assimilé Orphelins débilité mental.

Les orphelinats et les écoles étaient sous la responsabilité du gouvernement provincial. Dans les années 1940, alors que le Premier ministre du Québec était Maurice Duplessis et jusque dans les années 1960, le gouvernement du Québec, en coopération avec l’Église catholique romaine qui gérait les orphelinats, a développé une stratégie pour obtenir des subventions fédérales pour des milliers d’enfants, dont la plupart étaient devenus orphelins en étant abandonnés de leurs mères célibataires. Dans certains cas, les orphelinats catholiques ont été reclassifiés comme des institutions de soins de santé ; dans d’autres, les enfants ont été déplacés vers des asiles existants. Parmi les institutions visées, mentionnons Mont-Providence (Hôpital Rivière-des-Prairies) 1, Baie-St-Paul 2, Huberdeau 3, St-Jean-de-Dieu (Hôpital Louis-H.-Lafontaine) 4, St-Michel-Archange (Centre hospitalier Robert-Giffard) 5, et St-Julien de Ferdinand d’Halifax 6,7.

De la crèche à l’asile : l’enfance internée

Date de diffusion : 9 mars 1980

Des milliers d’enfants grandissent dans les orphelinats administrés par les communautés religieuses. Personne ne veut s’occuper de ces enfants du péché dont se chargent les religieuses. Les orphelinats sont surpeuplés. Avec peu de moyens financiers, les religieuses tentent tant bien que mal d’élever et d’éduquer ces enfants. Ces derniers souffrent néanmoins de carences affectives causées par l’absence d’une présence parentale.

Tourné à l’occasion du 20e anniversaire des Compagnons des Marronniers, ce reportage retrace l’histoire du Mont-Providence.

Ouvert en 1950, le Mont-Providence (aujourd’hui l’hôpital Rivière-des-Prairies) est une école spécialisée dans l’éducation des enfants déficients intellectuels. Les méthodes pédagogiques que développent alors les religieuses pour instruire les enfants déficients, souvent confondus avec les malades mentaux, sont d’avant-garde. De nombreux orphelins ayant accumulé certains retards sont envoyés au Mont-Providence pour profiter de cet enseignement spécialisé. Or, en 1954, l’univers fragile des orphelins bascule. Pour des raisons budgétaires, ils font l’objet d’un faux diagnostic d’aliénation mentale.

En 1954, l’école est au bord de la faillite. Le Mont-Providence bénéficie des subventions du gouvernement fédéral, faussement informé qu’il s’agissait d’un hôpital. Or, en 1953, le fédéral, ayant constaté la vocation scolaire de l’institution, supprime ses subsides. Les religieuses se retrouvent dans une impasse et font appel au gouvernement provincial.

C’est alors qu’une manœuvre autorisée par Maurice Duplessis entraîne la transformation de l’école en asile. Le gouvernement de l’Union nationale, peu enclin à investir dans le domaine de l’assistance publique, conseille aux religieuses de modifier le statut du Mont-Providence afin de récupérer l’argent du fédéral. Ainsi, le 12 août 1954, les pensionnaires de l’école spécialisée se réveillent dans un hôpital psychiatrique.

1953 Bienfaitrice Mme Fleurette GirardT

1950 Justice duplessisorphans

1950 hymne-a-la-providence

P- 127 Santé Mental 09-914-05F

P- 67 Battu Violer au Mont-Providence par des préposer 

Le Génocide des enfants née hors mariage sans la permission des deux diocèses de Montréal et Québec.

Le 18 mars 18 mars 1955 devenue (assimilation)soudainement une pathologie de débilité mental par un décret de Maurice Duplessis, complice Gouv Canadien par James Paul Martin ministre de la Santé Canadienne 2-Duplessis 3-Les révérendes Sœurs de la charmante charité  de la providence pour finir 4-les psychiatres du Québec.

Des excuses de Lucien Bouchard

Le plus grand complot fait par la grosse pointure du faux pape Lucien Bouchard Avocat des religieuses lui même voulait devenir prêtre a sabote une commission d’enquête demander par les orphelins(es) de Duplessis quel collusion et corruption.

Le faux pape et le faux prêtre

Lucien Bouchard: un curé de campagne je vous Bénit ma Gange de malades non lucide.

Le plus gros magouilleur du Canada et du Québec

Dans sa jeunesse, Lucien Bouchard voulait  devenir prêtre. Dans un petit village du pays, il se voyait sans doute déjà se bercer tout en égrenant pieusement son chapelet. Il aurait participé à la vie communautaire … conseillé ses ouailles sur la vie de famille… corrigé les p’tits gars qui parlent mal… Il aurait changé la vie en la rendant plus morale. « Sagesse. Sacrifice. Autorité », telle aurait été sa devise

Et lui, le village, il semblait attendre aussi
– sans grand espoir
– après tant d’autres nuits passées sous la boue,
un maître à suivre vers quelque improbable,
quelque inimaginable asile
Georges Bernanos
Journal d’un curé de campagne
, 1936

Lucien Bouchard: un curé de campagne

Un nouveau genre de curé

Le curé qui sommeille en Lucien Bouchard n’est jamais entièrement disparu, il a simplement revêtu des habits plus modernes, moins poussiéreux. Il y a longtemps que les religieux ont troqué la vertueuse toge ecclésiastique pour le complet cravate de l’avocat ou du politicien.

Lucien Bouchard est littéralement connecté avec le Bon Dieu. C’est pour cette raison que son discours n’est pas partisan, subjectif ou égoïste comme celui des groupes de pression. Sa bonne parole est d’ailleurs généralement ponctuée de vérités divinatoires, absolument infalsifiables et étrangères au commun des mortels, du type : « le Québec veut », « ce n’est pas ce que pense le Québec »,  « c’est le gros bon sens », « il faut voir la vérité en face », etc.

Mise en ligne le 7 nov. 2011
06-excuses de Lucien Bouchard.

Date de diffusion : 4 mars 1999
Le 4 mars 1999, le premier ministre Lucien Bouchard présente des excuses officielles aux orphelins de Duplessis, assorties d’un fonds d’aide spécial de 3 millions. Le premier ministre refuse toutefois d’accorder des indemnités individuelles et de tenir une enquête publique sur cette question.

Après s’être entretenu avec Robert Perreault, ministre des Relations avec les citoyens, le journaliste Jacques Beauchamp recueille les réactions de Bruno Roy, président du Comité des orphelins de Duplessis. Ce dernier estime que le geste du premier ministre est insuffisant et manque de sincérité.

Dans sa déclaration ministérielle, le chef du gouvernement souligne parallèlement le dévouement et l’abnégation de milliers de religieuses et de religieux qui œuvraient dans ces institutions spécialisées.

L’offre de Québec est catégoriquement rejetée par le Comité des orphelins de Duplessis, qui la juge « humiliante» . Quant au protecteur du citoyen, Daniel Jacoby, il critique lui aussi sévèrement la décision du gouvernement Bouchard de ne pas accorder d’indemnisations individuelles aux orphelins. Il souligne que, ailleurs au Canada, des compensations individuelles pour des dommages similaires ont été versées.

Le retour de monsieur le curé

Aujourd’hui encore, Lucien Bouchard poursuit dans la même veine. Avec la même droiture, la même intégrité, il continue de dévoiler pour nous les formes et les exigences de la réalité. Comme il le dit en entrevue à La Presse,

« Des manifestants décrivent une société où il faudrait ceci ou cela, mais ils ne disent jamais où ils prendraient l’argent. Pour certains, la politique, c’est poser des exigences sans se soucier des moyens pour les réaliser. Mais entrer en politique, c’est assumer un mandat d’élu. Ça force à vivre avec le réalisme, ça demande du courage ».

On ose à peine imaginer ce que répliquerait Lucien Bouchard si de lâches païens osaient lui dire que l’argent se trouve dans la lutte à l’évasion fiscale ou dans les redevances de l’industrie qu’il défend. Une telle hérésie viendrait sans doute heurter sa généreuse conception de la démocratie.

« Le gouvernement doit savoir dire non à la rue. Je ne veux pas mépriser les gens qui marchent dans la rue, mais je ne trouve pas que c’est un instrument démocratique, je ne trouve pas que c’est une façon convenable de faire, de provoquer des décisions de l’État ». ( 04 )

Tout comme la prière, la démocratie revendique le calme et la tranquillité. C’est dans un lobby ou à l’intérieur des portes closes d’un cabinet que les droits de la nation se font entendre, et pas ailleurs.

es gens du gaz et du pétrole

Liste non exhaustive des administrateurs et administratrices de compagnies de gaz et pétrole.  Ceux et celles qui contribuèrent et/ou s’approprièrent la politique énergétique du Québec

Pour l’histoire complète de leurs magouilles et les impacts sur nos ressources naturelles, ne pas manquer de lire «Gaz de schiste/shale et Pétrole au Québec: qui tire les ficelles?»

 

La Complice de Lucien Bouchard en matière de justice

Elle ma dit: après la défaite comploté,Mr Bertrand ce que vous allez obtenir pas la vraie justice seulement une apparence,mais Dieu na pas d’apparence il va vous envoyer en enfer tous les deux.

La liste est mise à jour selon les aléas de l’actualité politique.

Un autre bouffon manipuler par Lucien Bouchard

Serge Ménard

Membre de la Chambre des communes du Canada
Serge Ménard, né le 27 septembre 1941 à Montréal, est un avocat-criminaliste et un homme politique québécois. Après avoir mené une brillante carrière d’avocat-criminaliste, marquée par un mandat à titre de bâtonnier du Québec, Ménard a été élu député du Parti québécois à l’Assemblée nationale du Québec et ministre de la Sécurité publique et pendant 7 des 9 années des gouvernements péquistes de Jacques Parizeau, Lucien Bouchard et Bernard Landry. De 2004 à 2011, il siège en tant que député du Bloc québécois à la Chambre des communes du Canada et il devient porte-parole du parti en matière de Justice en 2009. Finalement, en 2013-2014, il a présidé la Commission Ménard.

1982 – Négociateur patronal face à la fonction publique du Québec

1985 – Chez les progressistes conservateurs

1991 – Fonde le bloc québécois

1996 – Conquiert le Parti Québécois et s’attaque à l’énergie et à l’eau

1997 – Déficit zéro et destruction de la grande coalition nationaliste

2000 – Un jour sombre pour le parlementarisme québécois

2003 – Regroupe les embouteilleurs d’eau québécois 

2005 – Les lucides et l’Orchestre symphonique de Montréal

2007 – Sa croisade chez Olymel

2011 – Président lobbyiste de l’Association pétrolière et gazière (APGQ)

2013 – N’étant plus subventionné par Talisman Energy, il démissionne

2015 – Les finances se portent bien

  Billet de Marc-André Cyr – Journal d’un curé de campagne

 

La justice de la république de bananes du Québec 

Un Avocat dévoué a la religion il a tous fais pour avorter les recours des survivants orphelins de Duplessis,la magouille, tricherie,complot, corruption ces installer, etc.

I

Il a l’aire d’un Ange il regarde en haut,mais il ne sait pas ce qui vont faire avec sont Procès Amen.

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Il a l’aire d’un Saint Homme faux, plus que le diable dans l’eau bénite,il ne sait pas ce qu’il attend en haut avoir défendue les religieuses qui ont faits du mal aux enfants.
La Soeur-Émilie-Gamelin
La Soeur-Émilie-Gamelin
Attention ce nés pas toutes les sœurs ont accuses bien plutôt les dirigeants  des congrégations qui ont abusées des pouvoirs . Qui ont signée des entente entre les Gouvernements et des décrets envoyer a la battoirs tous ses enfants de Dieu ne vous as pas dit de les tuer,les maltraiter,les rende impotent tous leur vie durant Dieu vous donne des recommandations aider votre prochain que vous n’aviez pas a vous utiliser comme bourreaux contre des petit être sans décence quel providence pour ses enfants.

ORPHELINS DE DUPLESSIS

Mise en ligne le 6 nov. 2011
ORPHEINS De la crèche à l’asile : l’enfance internée
Hôpital St Julien Pour les filles A St-Ferdinand D’Halifax 1870. L’Hôpital St-Julien fut fondé en 1870 par l’abbé Julien-Melchior Bernier qui fut d’ailleurs le premier curé de Saint-Ferdinand.
Je suis allé visiter l’extérieur de l’hôpital St-Julien (St-Ferdinand de Halifax) ainsi que le cimetière qui lui fait face. J’ai été bouleversée par cette visite. Il faut savoir que cet hôpital a accueilli jusqu’à 1468 personnes féminines en 1961. Nombreuses de ces enfants avaient reçu diverses étiquettes: aliénées mentaux, débiles mentaux, retardées, etc. Étiquettes attribuées gratuitement. Ces enfants étaient des enfants de Duplessis.
Des enfants sans famille. Des enfants abandonnées par des filles-mères ou même par des familles trop pauvres pour s’occuper de leurs enfants.
Victimes principal du Filme: Marion Kelly, Alice Quinton, Francine Deslonchamps. Le docteur Denis Lazure un des principaux qui dit la vérité sur l’histoire.
[embedyt]https://www.youtube.com/watch?v=aHJH8hhAosM[/embedyt]

Il arrive que, par amour, une mère soit obligée d’abandonner son enfant. Elle n’est pas méchante, bien que ce soit ainsi qu’elle est le plus souvent jugée, mais elle n’a rien à donner. Si elle garde son enfant, celui-ci n’a aucune chance. Alors, par amour, elle l’abandonne. À quel destin son enfant est-il voué ? Plus près de nous, les orphelins de Duplessis constituent des exemples bien concrets. Ces enfants, à leur naissance, ont été qualifiés d’«enfants naturels» et d’«enfants illégitimes». Leur baptistaire précise, la plupart du temps, qu’ils sont de «parents inconnus». Ils n’ont pas été adoptés et ont vécu leur enfance, leur adolescence, voire leur vie adulte dans des institutions tenues par les communautés religieuses ou dans des fermes où ils travaillaient sans salaire. Quel sort était réservé à ces enfants de « filles-mères », comme on les appelait à l’époque ? Cet ouvrage veut donner une vision exacte, fiable et objective de ces hommes âgés et seuls, en quête d’identité, pour élargir et approfondir le contenu des débats jusqu’à leur insertion familiale et sociale. Il nous faut comprendre cette problématique si nous voulons éviter qu’elle se reproduise.

Duplessis Orphans: 100,000 orphans used in clinical trials at Catholic

Les enfants née hors mariage sans le concentement  du secte de l’église Catholique de Montréal et de Québec

Publiée le 18 août 2012
Look into «Les Enfants de la Grande Noirceur (The Children of Great Darkness) to learn how children were stolen, claimed «wards of the state», then placed in catholic institutions where they were then used as human expperiments. The orphanages were converted into mental asylums since the vatican figured out they could get more money per child per day in a mental institution. The victims want justice for all the torture they have endured. They have tried to pay off the victims a minimal fee for all the years of torture however this is not about money, this is about justice, why are these criminals still administering these institutions and why are they not behind bars?

The Protect Your Children Foundation is committed to exposing all the lies and crimes of religion worlwide to alert the nations of the dangers these criminal organizations pose in our communities. For more information, visit: https://vaticancrimes.us and https://www.protegeatushijos.org
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Transcription de Duplessis and Quebec’s Great Darkness

Quebec and The Great Darkness (Québec Et La Grande Noirceur)

Tous les pictogrammes de la Corruptions du Canada et du Québec

10 Jun

Premier of Quebec for eighteen years, Maurice Duplessis stood for everything that French Canadians had previously so desperately wanted to protect – faith, family, and farm, providing a small bonus to rural families and low cost loans to farmers.

Creator of the Union Nationale party, Maurice Duplessis’ government campaigned on the promise of good pensions and new roads and was openly corrupt. Afterward, his rule was termed “The Great Darkness”.

Well-loved by the people of Quebec, Duplessis was a devout Catholic who encouraged the influence of the Catholic church. He was responsible for leaving Quebec in a rural and uneducated state. Education at the time was “not for French Canadians”. Schools were run by the Catholic church and focused mainly on religion, most children only attending school until the sixth grade.

Despite his desires for a heavy religious influence, a strong rural base, and uneducated people, Duplessis made Quebec more prosperous than it had ever been before, while the rest of Canada suffered under the Great Depression.

Throughout Duplessis’ rule, a scandal grew concerning the placement of several thousand orphans (children of unwed mothers who had forcibly become orphans) in psychiatric hospitals. They came to be known as the Duplessis Orphans. These children weren’t by any means mentally ill, however, as funding for mental institutions was provided by the federal government, and that for orphanages were the responsibility of the provincial government, there’s no doubt that it was a clever scheme to obtain funding for these orphans.

Years later, upon the closure of these institutions, the victims emerged, traumatized after years of abuse and experimental drug use to treat their supposed mental conditions.

The effects of this incident have been compared to those of residential schools, and years after the victims have demanded compensation for their pain and suffering

Maurice Duplessis died in office in 1959, thousands attending his funeral, gaining popularity from respecting and fulfilling the Quebecois’ beliefs. The story doesn’t end there, however, as the Quebecois finally began to look around at the rest of Canada and realize how long they had been shun from the modern world

.ImageMaurice Duplessis on the left, photo by Archives de la Ville de Montréal.

While the rest of Canada was industrializing and educating themselves, French Canadians worked on farms, went to the Catholic church, raised families, and were often illiterate. They came to find that they were unable to hold qualified jobs as they were detrimentally uneducated. Inevitably, the control of most major industries in Quebec had gone to the educated English Canadians.

Finally emerging from a reign of darkness, the Quebecois realized that something had to change, the Great Darkness providing momentum for the greatest societal revolution in Quebec’s history.

A video describing the Great Darkness and the outcomes that followed

Les Orphelinats

Mémoire d’asile projet photographique de Jean-François Dupuis photographe  Images du projet de l’hôpital psychiatrique Saint-Julien de Saint-Ferdinand et de la future exposition sur les orphelins Duplessis.

Le mcleansa fais rebondir les Qubécois
Le mcleansa fais rebondir les Qubécois

En Anglais

Duplessis and Quebec’s Great Darkness Terms:

-Conscription: Forced military service

-Quebec Nationalist: Someone who believes that the French-Canadians of Quebec belong to a nation of their own within Canada.

-Opposition: A politically active person or group which opposes their government. -Duplessis was a Quebec Nationalist and Leader of the Union Nationale Party in Quebec.

ORPHELINS DUPLESSIS

Qui sont vraiment les orphelins(es) de Duplessis;                           R= Se sont des enfants née hors mariage sans le consentement de deux diocèses de Montréal et Québec de la secte Religion catholique de Rome

Mise en ligne le 6 nov. 2011
ORPHELINS DUPLESSIS De la crèche à l’asile : l’enfance internée
Date de diffusion : 9 mars 1980
Des milliers d’enfants grandissent dans les orphelinats administrés par les communautés religieuses. Personne ne veut s’occuper de ces enfants du péché dont se chargent les religieuses. Les orphelinats sont surpeuplés. Avec peu de moyens financiers, les religieuses tentent tant bien que mal d’élever et d’éduquer ces enfants. Ces derniers souffrent néanmoins de carences affectives causées par l’absence d’une présence parentale.
Date de diffusion : 24 janvier 1993
En 1993, Hervé Bertrand  du Comité des orphelins et orphelines institutionnalisés de Duplessis (C.O.O.I.D) engage un recours collectif afin d’obtenir réparation de la part du gouvernement du Québec et des communautés religieuses responsables des hôpitaux psychiatriques. Créée en 1992, cette association est chargée de « revendiquer pour des milliers d’orphelins sans voix leur dignité et leurs droits et d’exiger que justice leur soit rendue ». Le juge André Denis de la Cour supérieure rejette ce premier recours collectif des orphelins.]
En 1993, le Comité des orphelins et orphelines institutionnalisés de Duplessis (COOID) engage un recours collectif afin d’obtenir réparation de la part du gouvernement du Québec et des communautés religieuses responsables des hôpitaux psychiatriques. Créée en 1992, cette association est chargée de « revendiquer pour des milliers d’orphelins sans voix leur dignité et leurs droits et d’exiger que justice leur soit rendue ». Le juge André Denis de la Cour supérieure rejette ce premier recours collectif des orphelins. Les enfants illégitimes internés au Mont-Providence après 1955 grandissent dans un asile. Les contacts avec le monde extérieur sont presque inexistants : les grillages aux fenêtres et les clôtures qui entourent l’édifice attestent de cet enfermement.

Les orphelins de Duplessis est le nom donné à des milliers d’enfants orphelins qui ont faussement été déclarés malades mentaux par le gouvernement du Québec et confinés dans des institutions psychiatriques entre 1940 et 1970. On considère que c’est le cas le plus important de maltraitance d’enfants dans l’histoire du Canada. Tous ces orphelins seront baptisés orphelins de Duplessis car cela coïncide avec l’époque où Maurice Duplessis était premier ministre du Québec. À plusieurs reprises, des enfants, qui ont été enlevés de leur mère célibataire, ont été battus, agressés sexuellement et même tués, à la suite d’un massacre.

Première: le 13 juillet, 2016 à 14h. Auditorium, Musée des beaux-arts du Canada
  1. Le Mont-Providence était dirigé par la communauté des Sœurs de la Charité de la Providence et était situé au 7200, boulevard Gouin est à Montréal. Vendu au gouvernement du Québec en 1969, l’immeuble est devenu l’Hôpital Rivière-des-Prairies.
  2. L’Hôpital Saint-Anne de Baie-Saint-Paul.
  3. l’Orphelinat Notre-Dame de la Merci d’Huberdeau était situé dans la municipalité d’Huberdeau dans les Laurentides.
  4. L’Hôpital Saint-Jean-de-Dieu est devenu l’Hôpital Louis-H.-Lafontaine et il est situé à Montréal.
  5. L’Hôpital St-Michel-Archange est devenue le Centre hospitalier Robert-Giffard et il est situé dans la ville de Québec.
  6. L’Hôpital Saint-Julien est situé dans la municipalité de Saint-Ferdinand.
  7. Source: Le Protecteur du Citoyen (Daniel Jacoby), document Les « enfants de Duplessis » : à l’heure de la solidarité, Sainte-Foy, 22 janvier 1997.
  8. Encore à ce jour, plusieurs orphelins de Duplessis n’ont pas réussi à obtenir copie de leurs dossiers médicaux conservés chez des communautés religieuses.
  9. le Premier ministre du Québec s’est excusé auprès des Orphelins de Duplessis mais en s’excusant M. Bouchard réduisait toute la tragédie des orphelins de Duplessis à de simples «gestes et attitudes inadmissibles».
  10. C’est uniquement les orphelins ayant été internés dans certaines institutions couvrant une certaine période qui reçurent une compensation. Les autres orphelins, par exemple ceux qui furent exploités comme main-d’œuvre agricole toute leur enfance sans recevoir d’instruction, n’ont reçu aucune compensation.

Le mcleansa fais rebondir les Qubécois
Le mcleansa fais rebondir les Qubécois

Bellemare, who has been testifying in an inquiry into the process by which judges are appointed in Quebec, has particularly bad memories of his brief stint in cabinet, from 2003 to 2004. The Liberal government, then as now under the leadership of Premier Jean Charest, was rife with collusion, graft and barely concealed favouritism, he says—the premier himself so beholden to Liberal party fundraisers that they had a say in which judges were appointed to the bench. “It happened in [Charest’s] office. He was relaxed, he served me a Perrier,” Bellemare testified. The two spoke about Franco Fava, a long-time Liberal fundraiser who, according to Bellemare, was lobbying for Marc Bisson (the son of another Liberal fundraiser) and Michel Simard to be promoted. “I said, ‘Who names the judges, me or Franco Fava?’ I was very annoyed. I found it unacceptable,” Bellemare recalls. He remembers Charest saying, “ ‘Franco is a personal friend. He’s an influential fundraiser for the party. We need men like this. We have to listen to them. If he says to nominate Bisson and Simard, nominate them.’ ”

Judicial selection may be a topic as dry as Bellemare’s own clipped monotone, yet the public inquiry currently under way has been a ratings success. It has veered into bizarro CSI territory, complete with testimony from an ink specialist who discerned that Bellemare had used at least two different pens when writing notes on a piece of cardboard. And despite his reputation as a bit of a crank, and the fact his supposedly airtight memory is prone to contradictions and convenient lapses, Quebecers believe Bellemare’s version of events over that of Jean Charest, the longest serving Quebec premier in 50 years—by as much as four to one, according to polls.

Part of the reason for this is the frankly disastrous state of Charest’s government. In the past two years, the government has lurched from one scandal to the next, from political financing to favouritism in the provincial daycare system to the matter of Charest’s own (long undisclosed) $75,000 stipend, paid to him by his own party, to corruption in the construction industry. Charest has stymied repeated opposition calls for an investigation into the latter, prompting many to wonder whether the Liberals, who have long-standing ties to Quebec’s construction companies, have something to hide. (Regardless, this much is true: it costs Quebec taxpayers roughly 30 per cent more to build a stretch of road than anywhere else in the country, according to Transport Canada figures.) Quebecers want to believe Bellemare, it seems, because what he says is closest to what they themselves believe about their government.

This slew of dodgy business is only the most recent in a long line of made-in-Quebec corruption that has affected the province’s political culture at every level. We all recall the sponsorship scandal, in which businessmen associated with the Liberal Party of Canada siphoned off roughly $100 million from a fund effectively designed to stamp the Canadian flag on all things Québécois, cost (or oversight) be damned. “I am deeply disturbed that such practices were allowed to happen,” wrote Auditor General Sheila Fraser in 2004. Fraser’s report and the subsequent commission by Justice John Gomery, which saw the testimony of Liberal prime ministers Jean Chrétien and Paul Martin, wreaked havoc on Canada’s natural governing party from which it has yet to recover.

We remember Baie Comeau’s prodigal son, Brian Mulroney, and his reign in Ottawa, which saw 11 cabinet ministers resign under a cloud in one seven-year period—six of them from Quebec. Mulroney’s rise was solidified by an altogether dirty battle against Joe Clark in Quebec that saw provincial Conservative organizers solicit Montreal homeless shelters and welcome missions, promising free beer for anyone who voted for Mulroney in the leadership campaign. Clark’s Quebec organizers, meanwhile, signed up so-called “Tory Tots,” underage “supporters” lured by promises of booze and barbecue chicken. And in 2000, organizers for Canadian Alliance leadership hopeful Tom Long did Mulroney’s and Clark’s camps one better, signing up unwitting Gaspé residents both living and dead to pad the membership rolls.

The province’s dubious history stretches further back to the 1970s, and to the widespread corruption in the construction industry as Quebec rushed through one megaproject after another. Much of the industry at the time, according to a provincial commission, was “composed of tricksters, crooks and scum” whose ties to the Montreal mafia, and predilection for violence, was renowned.

As politicians and experts from every facet of the political spectrum told Maclean’s, the history of corruption is sufficiently long and deep in Quebec that it has bred a culture of mistrust of the political class. It raises an uncomfortable question: why is it that politics in Canada’s bête noire province seem perpetually rife with scandal?

Certainly, Quebec doesn’t have a monopoly on bad behaviour. It was in British Columbia that three premiers—Bill Vander Zalm, Mike Harcourt and Glen Clark—were punted from office in short order for a variety of shenanigans by their governments in the 1990s. In the mid-’90s, no less than 12 members of Saskatchewan Conservative premier Grant Devine’s government were charged in relation to an $837,000 expense account scheme. Sir John A. Macdonald, Canada’s first prime minister—and the first to go down in scandal, with his government forced to resign—came from Ontario. And the East Coast? “The record of political chicanery is so overflowing in the Maritimes that they could likely teach Quebec a few tricks,”Montreal Gazette political writer Hubert Bauch once wrote.

Still, Quebec stands in a league of its own. Maurice Duplessis, its long-reigning premier (and certainly one of its more nationalistic), was a champion of patronage-driven government, showering favourable ridings with contracts and construction projects at the expense of those that dared vote against him. Duplessis typically kept $60,000 cash in his basement as part of an “electoral fund” to dole out to obliging constituents. His excesses sickened Quebec’s artistic and intellectual classes, and their revolt culminated in the Quiet Revolution, which brought in a large, stable (and, as far as its burgeoning civil service was concerned, faceless) government less prone to patronage in place of Duplessis’s virtual one-man show.

Yet corruption didn’t disappear; it just took another form. Under the Quiet Revolution, Quebec underwent an unprecedented modernization, both in mindset and of the bricks and-mortar variety. The latter occurred at a dizzying speed; over 3,000 km of major highway were built in the 1960s alone. But modernization came at the price of proper oversight: in 1968, referring to widespread government corruption, historian Samuel Huntington singled out the province as “perhaps the most corrupt area [in] Australia, Great Britain, United States and Canada.”

It got worse. The speed at which the province developed required a huge labour pool—and peace with Quebec’s powerful unions. Peace it did not get: the early ’70s were synonymous with union violence at many of Quebec’s megaprojects, particularly Mirabel airport and the James Bay hydroelectric project in Quebec’s north—where union representative Yvon Duhamel drove a bulldozer into a generator. As the Cliche commission, an investigation into the province’s construction industry, noted in 1974, the Quebec government under Bourassa knew of the violence and intimidation, and as author and Conservative insider L. Ian MacDonald later wrote, “permitted itself to be taken hostage by the disreputable elements of the trade union movement.”

A young lawyer named Brian Mulroney sat on the commission; he helped pen the report detailing “violence, sabotage, walkouts and blackmail” on the part of the unions. Another lawyer named Lucien Bouchard, who served as the commission’s chief prosecutor, noticed a large number of union cheques made out to the Liberal Party of Quebec, though this was never investigated.

RELATED: COYNE on what’s behind Quebec’s penchant for money politics

Apart from the arguably ironic casting of Mulroney as an anti-corruption crusader, the legacy of the Cliche commission was twofold. It spelled the end of Bourassa’s first stint as premier and ushered in the sovereignist Parti Québécois, which promptly enacted the strictest campaign financing laws in the country, banning donations from unions and corporations and limiting annual individual donations to $3,000. These laws have effectively been rendered toothless since then. According to a study by the progressive
party Québec Solidaire, the senior management at four of Quebec’s big construction and engineering firms each donated the maximum or near the maximum allowable amount to the Quebec Liberal party, to the collective tune of $400,000 in 2008 alone. The Parti Québécois and the Action démocratique du Québec (ADQ), too, benefited from certain firms’ largesse, though on a much smaller scale.

The province’s construction industry, meanwhile, remains as wild and woolly as ever. According to La Presse, a long-standing price-fixing scheme on the part of 14 construction companies drove up construction prices across the province. In several cases, according to a Radio-Canada investigation last year, these companies used Hells Angels muscle to intimidate rival firms. A fundraising official with the Union Montréal, the party of Montreal Mayor Gérald Tremblay, was found to have led a scheme in which three per cent of the value of contracts was distributed to political parties, councillors and city bureaucrats. And the industry is well connected: until 2007, Liberal fundraiser Franco Fava was president of Neilson Inc., one of Quebec’s largest construction and excavation firms.

There are some who posit that government corruption is inevitable in part because government is so omnipresent in the province’s economic life. According to Statistics Canada, Quebec’s provincial and municipal government spending is equivalent to 32 per cent of its GDP, seven percentage points higher than the national average. The province is frequently home to giant projects: consider Montreal, with its two ongoing mega-hospital projects, or Hydro-Québec’s massive development of the Romaine River in the north shore region. So there is a temptation (even necessity) to curry favour with power. “In Quebec, it’s usually a case of old-fashioned graft,” says Andrew Stark, a business ethics professor at the University of Toronto’s Rotman School of Business. “The state occupies a more prominent role, and people in the private sector rely on the state for appointments or contracts, so they make political contributions to do so. In the rest of the country it’s reversed: it’s people in public office using public money to give themselves private-sector-style perks.”

These links between private business and the public sector notably led to Shawinigate, when it emerged that then-prime minister Jean Chrétien had called the president of the government-run, and ostensibly arms-length, Business Development Corp. to discuss a loan application from businessman Yvon Duhaime to spruce up the Auberge Grand-Mère in Chrétien’s Shawinigan riding. The loan was granted. “I work for my electors, that’s my job,” Chrétien said at the time–even though he still stood to gain from his share of the neighbouring golf course. As several critics noted at the time, the golf course would have likely increased in value following the renovations.

But the factor most important to this history of corrupton may be Quebec’s nagging existential question of whether to remain part of the country. That 40-year threat of separation has been a boon for provincial coffers. As a “have-not” province, Quebec is entitled to equalization payments. In the past five years, according to federal Department of Finance data, Quebec’s share of the equalization pie has nearly doubled, to $8.6 billion, far and away the biggest increase of any province. This is due in large part to aggressive lobbying by the Bloc Québécois.

According to many on both the left and right, obsessing over Quebec’s existential question has come at the expense of proper transparency and accountability. “I don’t think corruption is in our genes any more than it is anywhere else on the planet, but the beginning of an explanation would be the fact that we have focused for so long on the constitutional question,” says Éric Duhaime, a former ADQ candidate who recently helped launch the right-of-centre Réseau Liberté-Québec. “We are so obsessed by the referendum debate that we forget what a good government is, regardless if that government is for or against the independence of Quebec.”

After nearly losing the referendum in 1995, the federal Liberals under Chrétien devised what amounted to a branding effort whose aim was to increase the visibility of the federal government in Quebec. The result: a $100-million scandal that saw several Liberal-friendly firms charge exorbitant amounts for work they often never did. The stench of the sponsorship scandal has yet to dissipate, so damaging was it to Quebec’s collective psyche. “Canada basically thinks . . . [Quebecers] can be bought off by some idiotic ad campaign,” wrote Le Devoir’s Jean Dion in 2004.

Or a new hockey arena, it seems. Earlier this month, eight Quebec Conservative MPs donned Nordiques jerseys and, through wide smiles, essentially said Quebec City deserved $175 million worth of public funding for a new arena. “As MPs, we cannot ignore the wishes of the population that wants the Nordiques to return,” Jonquiere-Alma MP Jean-Pierre Blackburn told the Globe and Mail. “In addition, our political formation, the Conservative party, has received important support in Quebec City.”

It won’t be the Conservatives’ first foray into patronage in the province. According to a recent Canadian Press investigation, a disproportionate percentage of federal stimulus money reserved for rural areas went to two hotly contested ridings in which the Conservatives barely edged out the Bloc. Now, as always, keeping the sovereignists out seems to be priority number one for the feds, and the favoured way is through the public purse strings.

The federalist-sovereignist debate has effectively entrenched the province’s politicians, says Québec Solidaire MNA Amir Khadir. “Today’s PQ and the Liberals are of the same political class that has governed Quebec for 40 years. The more they stay in power, the more vulnerable to corruption they become. There hasn’t been any sort of renewal in decades,” he says. “We are caught in the prison of the national question.” If so, it’s quite a prison. Crossing the federalist-sovereignist divide is something of a sport for politicians. Lucien Bouchard went from sovereignist to federalist and back again. Raymond Bachand started his political career as a senior organizer for René Lévesque’s Yes campaign in 1980; today, he is the minister of finance in Charest’s staunchly federalist government. Liberal Jean Lapierre was a founding member of the Bloc Québécois, only to return to Martin’s Liberal cabinet in 2004. Many Quebec politicians never seem to leave. They just change sides.

Veteran Liberal MNA Geoff Kelley says all the bad headlines are proof, in fact, of the system’s efficacy at weeding out corruption. Yes, two prominent former Liberal ministers, David Whissell and Tony Tomassi, have left cabinet amidst conflict-of-interest allegations. (A construction firm Whissell co-owned received several no-tender government contracts, while Tomassi used a credit card belonging to BCIA, a private security firm that received government contracts and government-backed loans.) No, it “doesn’t look good” when five Charest friends and former advisers join oil-and-gas interests just as the province is considering an enormous shale gas project. How about the nearly $400,000 in campaign financing from various engineering and construction companies? No one has shown any evidence of a fraudulent fundraising scheme, he counters. “I’m not saying it didn’t happen, I’m just saying it hasn’t been proven.” Kelley blames much of the government’s ailments on an overheated Péquiste opposition. As for Bellemare’s allegations, Kelley rightly points out that they are just that: allegations.

He thinks the system is working. Far from being kept quiet, Bellemare has the ear of the province, thanks to the commission Charest himself called. The Charest government, Kelley notes, will institute Quebec’s first code of conduct for MNAs in the coming months. “I’m not saying everything’s perfect, [or] everything’s lily white,” Kelley says. “Obviously these things raise concerns, they raise doubts, and I think mechanisms have been put in place to try and tighten up the rules.”

For many Quebecers, though, talk of renewal is cheap. As they know all too well, rules in the bête noire province have a habit of being broken.

CLARIFICATION: The cover of last week’s magazine, with the headline “The Most Corrupt Province in Canada,” featured a photo-illustrated editorial cartoon depicting Bonhomme Carnaval carrying a briefcase stuffed with money. The cover has been criticized by representatives of the Carnaval de Québec, of which Bonhomme is a symbol.

While Maclean’s recognizes that Bonhomme is a symbol of the Carnaval, the character is also more widely recognized as a symbol of the province of Quebec. We used Bonhomme as a means of illustrating a story about the province’s political culture, and did not intend to disparage the Carnaval in any way. Maclean’s is a great supporter of both the Carnaval and of Quebec tourism. Our coverage of political issues in the province will do nothing to diminish that support.

Quebecers switching the channel en masse. And yet, the province’s former justice minister has been must-see TV over the past few weeks, if only because of what has been flowing out of his mouth.

Bellemare, who has been testifying in an inquiry into the process by which judges are appointed in Quebec, has particularly bad memories of his brief stint in cabinet, from 2003 to 2004. The Liberal government, then as now under the leadership of Premier Jean Charest, was rife with collusion, graft and barely concealed favouritism, he says—the premier himself so beholden to Liberal party fundraisers that they had a say in which judges were appointed to the bench. “It happened in [Charest’s] office. He was relaxed, he served me a Perrier,” Bellemare testified. The two spoke about Franco Fava, a long-time Liberal fundraiser who, according to Bellemare, was lobbying for Marc Bisson (the son of another Liberal fundraiser) and Michel Simard to be promoted. “I said, ‘Who names the judges, me or Franco Fava?’ I was very annoyed. I found it unacceptable,” Bellemare recalls. He remembers Charest saying, “ ‘Franco is a personal friend. He’s an influential fundraiser for the party. We need men like this. We have to listen to them. If he says to nominate Bisson and Simard, nominate them.’ ”

Judicial selection may be a topic as dry as Bellemare’s own clipped monotone, yet the public inquiry currently under way has been a ratings success. It has veered into bizarro CSI territory, complete with testimony from an ink specialist who discerned that Bellemare had used at least two different pens when writing notes on a piece of cardboard. And despite his reputation as a bit of a crank, and the fact his supposedly airtight memory is prone to contradictions and convenient lapses, Quebecers believe Bellemare’s version of events over that of Jean Charest, the longest serving Quebec premier in 50 years—by as much as four to one, according to polls.

Le mcleansa fais rebondir les Qubécois
Le mcleansa fais rebondir les Qubécois

Part of the reason for this is the frankly disastrous state of Charest’s government. In the past two years, the government has lurched from one scandal to the next, from political financing to favouritism in the provincial daycare system to the matter of Charest’s own (long undisclosed) $75,000 stipend, paid to him by his own party, to corruption in the construction industry. Charest has stymied repeated opposition calls for an investigation into the latter, prompting many to wonder whether the Liberals, who have long-standing ties to Quebec’s construction companies, have something to hide. (Regardless, this much is true: it costs Quebec taxpayers roughly 30 per cent more to build a stretch of road than anywhere else in the country, according to Transport Canada figures.) Quebecers want to believe Bellemare, it seems, because what he says is closest to what they themselves believe about their government.

This slew of dodgy business is only the most recent in a long line of made-in-Quebec corruption that has affected the province’s political culture at every level. We all recall the sponsorship scandal, in which businessmen associated with the Liberal Party of Canada siphoned off roughly $100 million from a fund effectively designed to stamp the Canadian flag on all things Québécois, cost (or oversight) be damned. “I am deeply disturbed that such practices were allowed to happen,” wrote Auditor General Sheila Fraser in 2004. Fraser’s report and the subsequent commission by Justice John Gomery, which saw the testimony of Liberal prime ministers Jean Chrétien and Paul Martin, wreaked havoc on Canada’s natural governing party from which it has yet to recover.

We remember Baie Comeau’s prodigal son, Brian Mulroney, and his reign in Ottawa, which saw 11 cabinet ministers resign under a cloud in one seven-year period—six of them from Quebec. Mulroney’s rise was solidified by an altogether dirty battle against Joe Clark in Quebec that saw provincial Conservative organizers solicit Montreal homeless shelters and welcome missions, promising free beer for anyone who voted for Mulroney in the leadership campaign. Clark’s Quebec organizers, meanwhile, signed up so-called “Tory Tots,” underage “supporters” lured by promises of booze and barbecue chicken. And in 2000, organizers for Canadian Alliance leadership hopeful Tom Long did Mulroney’s and Clark’s camps one better, signing up unwitting Gaspé residents both living and dead to pad the membership rolls.

The province’s dubious history stretches further back to the 1970s, and to the widespread corruption in the construction industry as Quebec rushed through one megaproject after another. Much of the industry at the time, according to a provincial commission, was “composed of tricksters, crooks and scum” whose ties to the Montreal mafia, and predilection for violence, was renowned.

As politicians and experts from every facet of the political spectrum told Maclean’s, the history of corruption is sufficiently long and deep in Quebec that it has bred a culture of mistrust of the political class. It raises an uncomfortable question: why is it that politics in Canada’s bête noire province seem perpetually rife with scandal?

Certainly, Quebec doesn’t have a monopoly on bad behaviour. It was in British Columbia that three premiers—Bill Vander Zalm, Mike Harcourt and Glen Clark—were punted from office in short order for a variety of shenanigans by their governments in the 1990s. In the mid-’90s, no less than 12 members of Saskatchewan Conservative premier Grant Devine’s government were charged in relation to an $837,000 expense account scheme. Sir John A. Macdonald, Canada’s first prime minister—and the first to go down in scandal, with his government forced to resign—came from Ontario. And the East Coast? “The record of political chicanery is so overflowing in the Maritimes that they could likely teach Quebec a few tricks,”Montreal Gazette political writer Hubert Bauch once wrote.

Still, Quebec stands in a league of its own. Maurice Duplessis, its long-reigning premier (and certainly one of its more nationalistic), was a champion of patronage-driven government, showering favourable ridings with contracts and construction projects at the expense of those that dared vote against him. Duplessis typically kept $60,000 cash in his basement as part of an “electoral fund” to dole out to obliging constituents. His excesses sickened Quebec’s artistic and intellectual classes, and their revolt culminated in the Quiet Revolution, which brought in a large, stable (and, as far as its burgeoning civil service was concerned, faceless) government less prone to patronage in place of Duplessis’s virtual one-man show.

Yet corruption didn’t disappear; it just took another form. Under the Quiet Revolution, Quebec underwent an unprecedented modernization, both in mindset and of the bricks and-mortar variety. The latter occurred at a dizzying speed; over 3,000 km of major highway were built in the 1960s alone. But modernization came at the price of proper oversight: in 1968, referring to widespread government corruption, historian Samuel Huntington singled out the province as “perhaps the most corrupt area [in] Australia, Great Britain, United States and Canada.”

It got worse. The speed at which the province developed required a huge labour pool—and peace with Quebec’s powerful unions. Peace it did not get: the early ’70s were synonymous with union violence at many of Quebec’s megaprojects, particularly Mirabel airport and the James Bay hydroelectric project in Quebec’s north—where union representative Yvon Duhamel drove a bulldozer into a generator. As the Cliche commission, an investigation into the province’s construction industry, noted in 1974, the Quebec government under Bourassa knew of the violence and intimidation, and as author and Conservative insider L. Ian MacDonald later wrote, “permitted itself to be taken hostage by the disreputable elements of the trade union movement.”

Le mcleansa fais rebondir les Qubécois
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A young lawyer named Brian Mulroney sat on the commission; he helped pen the report detailing “violence, sabotage, walkouts and blackmail” on the part of the unions. Another lawyer named Lucien Bouchard, who served as the commission’s chief prosecutor, noticed a large number of union cheques made out to the Liberal Party of Quebec, though this was never investigated.

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Apart from the arguably ironic casting of Mulroney as an anti-corruption crusader, the legacy of the Cliche commission was twofold. It spelled the end of Bourassa’s first stint as premier and ushered in the sovereignist Parti Québécois, which promptly enacted the strictest campaign financing laws in the country, banning donations from unions and corporations and limiting annual individual donations to $3,000. These laws have effectively been rendered toothless since then. According to a study by the progressive
party Québec Solidaire, the senior management at four of Quebec’s big construction and engineering firms each donated the maximum or near the maximum allowable amount to the Quebec Liberal party, to the collective tune of $400,000 in 2008 alone. The Parti Québécois and the Action démocratique du Québec (ADQ), too, benefited from certain firms’ largesse, though on a much smaller scale.

The province’s construction industry, meanwhile, remains as wild and woolly as ever. According to La Presse, a long-standing price-fixing scheme on the part of 14 construction companies drove up construction prices across the province. In several cases, according to a Radio-Canada investigation last year, these companies used Hells Angels muscle to intimidate rival firms. A fundraising official with the Union Montréal, the party of Montreal Mayor Gérald Tremblay, was found to have led a scheme in which three per cent of the value of contracts was distributed to political parties, councillors and city bureaucrats. And the industry is well connected: until 2007, Liberal fundraiser Franco Fava was president of Neilson Inc., one of Quebec’s largest construction and excavation firms.

There are some who posit that government corruption is inevitable in part because government is so omnipresent in the province’s economic life. According to Statistics Canada, Quebec’s provincial and municipal government spending is equivalent to 32 per cent of its GDP, seven percentage points higher than the national average. The province is frequently home to giant projects: consider Montreal, with its two ongoing mega-hospital projects, or Hydro-Québec’s massive development of the Romaine River in the north shore region. So there is a temptation (even necessity) to curry favour with power. “In Quebec, it’s usually a case of old-fashioned graft,” says Andrew Stark, a business ethics professor at the University of Toronto’s Rotman School of Business. “The state occupies a more prominent role, and people in the private sector rely on the state for appointments or contracts, so they make political contributions to do so. In the rest of the country it’s reversed: it’s people in public office using public money to give themselves private-sector-style perks.”

These links between private business and the public sector notably led to Shawinigate, when it emerged that then-prime minister Jean Chrétien had called the president of the government-run, and ostensibly arms-length, Business Development Corp. to discuss a loan application from businessman Yvon Duhaime to spruce up the Auberge Grand-Mère in Chrétien’s Shawinigan riding. The loan was granted. “I work for my electors, that’s my job,” Chrétien said at the time–even though he still stood to gain from his share of the neighbouring golf course. As several critics noted at the time, the golf course would have likely increased in value following the renovations.

But the factor most important to this history of corrupton may be Quebec’s nagging existential question of whether to remain part of the country. That 40-year threat of separation has been a boon for provincial coffers. As a “have-not” province, Quebec is entitled to equalization payments. In the past five years, according to federal Department of Finance data, Quebec’s share of the equalization pie has nearly doubled, to $8.6 billion, far and away the biggest increase of any province. This is due in large part to aggressive lobbying by the Bloc Québécois.

According to many on both the left and right, obsessing over Quebec’s existential question has come at the expense of proper transparency and accountability. “I don’t think corruption is in our genes any more than it is anywhere else on the planet, but the beginning of an explanation would be the fact that we have focused for so long on the constitutional question,” says Éric Duhaime, a former ADQ candidate who recently helped launch the right-of-centre Réseau Liberté-Québec. “We are so obsessed by the referendum debate that we forget what a good government is, regardless if that government is for or against the independence of Quebec.”

After nearly losing the referendum in 1995, the federal Liberals under Chrétien devised what amounted to a branding effort whose aim was to increase the visibility of the federal government in Quebec. The result: a $100-million scandal that saw several Liberal-friendly firms charge exorbitant amounts for work they often never did. The stench of the sponsorship scandal has yet to dissipate, so damaging was it to Quebec’s collective psyche. “Canada basically thinks . . . [Quebecers] can be bought off by some idiotic ad campaign,” wrote Le Devoir’s Jean Dion in 2004.

Or a new hockey arena, it seems. Earlier this month, eight Quebec Conservative MPs donned Nordiques jerseys and, through wide smiles, essentially said Quebec City deserved $175 million worth of public funding for a new arena. “As MPs, we cannot ignore the wishes of the population that wants the Nordiques to return,” Jonquiere-Alma MP Jean-Pierre Blackburn told the Globe and Mail. “In addition, our political formation, the Conservative party, has received important support in Quebec City.”

It won’t be the Conservatives’ first foray into patronage in the province. According to a recent Canadian Press investigation, a disproportionate percentage of federal stimulus money reserved for rural areas went to two hotly contested ridings in which the Conservatives barely edged out the Bloc. Now, as always, keeping the sovereignists out seems to be priority number one for the feds, and the favoured way is through the public purse strings.

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The federalist-sovereignist debate has effectively entrenched the province’s politicians, says Québec Solidaire MNA Amir Khadir. “Today’s PQ and the Liberals are of the same political class that has governed Quebec for 40 years. The more they stay in power, the more vulnerable to corruption they become. There hasn’t been any sort of renewal in decades,” he says. “We are caught in the prison of the national question.” If so, it’s quite a prison. Crossing the federalist-sovereignist divide is something of a sport for politicians. Lucien Bouchard went from sovereignist to federalist and back again. Raymond Bachand started his political career as a senior organizer for René Lévesque’s Yes campaign in 1980; today, he is the minister of finance in Charest’s staunchly federalist government. Liberal Jean Lapierre was a founding member of the Bloc Québécois, only to return to Martin’s Liberal cabinet in 2004. Many Quebec politicians never seem to leave. They just change sides.

Veteran Liberal MNA Geoff Kelley says all the bad headlines are proof, in fact, of the system’s efficacy at weeding out corruption. Yes, two prominent former Liberal ministers, David Whissell and Tony Tomassi, have left cabinet amidst conflict-of-interest allegations. (A construction firm Whissell co-owned received several no-tender government contracts, while Tomassi used a credit card belonging to BCIA, a private security firm that received government contracts and government-backed loans.) No, it “doesn’t look good” when five Charest friends and former advisers join oil-and-gas interests just as the province is considering an enormous shale gas project. How about the nearly $400,000 in campaign financing from various engineering and construction companies? No one has shown any evidence of a fraudulent fundraising scheme, he counters. “I’m not saying it didn’t happen, I’m just saying it hasn’t been proven.” Kelley blames much of the government’s ailments on an overheated Péquiste opposition. As for Bellemare’s allegations, Kelley rightly points out that they are just that: allegations.

He thinks the system is working. Far from being kept quiet, Bellemare has the ear of the province, thanks to the commission Charest himself called. The Charest government, Kelley notes, will institute Quebec’s first code of conduct for MNAs in the coming months. “I’m not saying everything’s perfect, [or] everything’s lily white,” Kelley says. “Obviously these things raise concerns, they raise doubts, and I think mechanisms have been put in place to try and tighten up the rules.”

For many Quebecers, though, talk of renewal is cheap. As they know all too well, rules in the bête noire province have a habit of being broken.

CLARIFICATION: The cover of last week’s magazine, with the headline “The Most Corrupt Province in Canada,” featured a photo-illustrated editorial cartoon depicting Bonhomme Carnaval carrying a briefcase stuffed with money. The cover has been criticized by representatives of the Carnaval de Québec, of which Bonhomme is a symbol.

While Maclean’s recognizes that Bonhomme is a symbol of the Carnaval, the character is also more widely recognized as a symbol of the province of Quebec. We used Bonhomme as a means of illustrating a story about the province’s political culture, and did not intend to disparage the Carnaval in any way. Maclean’s is a great supporter of both the Carnaval and of Quebec tourism. Our coverage of political issues in the province will do nothing to diminish that support.