Les manifestations dans tout le Québec et tous les Établissements ou les sévices son été commit contre leur gré à des enfants sans défence et illégitimes(Orphelins*es) de Duplessis
Bruno Roy, président du Comité des orphelins de Duplessis,
à la tête d’une manifestation en février 1999, à Montréal.
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Faire des excuses, a dit le cardinal Turcotte à la conférence de Presse du 15 septembre dernier, c’est perdre notre temps». C’est une chose de refuser, c’en est une autre de le faire avec mépris et mensonge volontaire. Bref!Malgré la gifle brutale et méprisante de l’Église catholique qui refuse d’exprimer des excuses et donc de reconnaître ses torts, nous poursuivrons notre lutte difficile. Nous sommes en ce moment à établir avec le bureau du Premier ministre les modalités d’une rencontre avec monsieur Bouchard, rencontre qu’il a acceptée à ma demande. Cette rencontre doit nous sortir de l’impasse dans laquelle le gouvernement du Québec a mis les orphelins de Duplessis Si, rencontre ou pas, l’impasse est maintenue, il nous faudra conclure à la fin des négociations avec le gouvernement du Québec. La rupture sera alors totale. La société distincte de l’injustice sera chose faite.
Le petit Carnet des manifestation au début des L’organisation en 1994
Chronologie des événement aux niveau Criminel sur le territoire Québécois
Paul Bégin avec le D.P.C.P. décidé de rejeter les 321 plaintes
Par sa résolution 96, l’ONU définit le génocide comme « un déni du droit à la vie des groupes humains », que ces « groupes, religieux, politiques et autres, aient été détruits entièrement ou en partie »des Vies.
Mon dossier 2115 médical un autre psychiatre dit que le gouvernement et le psychiatre ont faits des faux diagnostic pour $$$$
15 21 Matricule prisonnier Politique et Religieux
Lucien Bouchard manipulé et magouiller car le gouvernement du Québec est le 2 ime au bans des accusées
Rapport fait dans un poste de police de Montréal
changement (Police Municipale a Provincial)subtilement du ministre de la justice par ordre de Lucien Bouchard
Par la sûreté Provinciale gérer par la procureure Générale du Palais de justice 1 rue Notre Dame et du bureau du 11 étage la place qui gère les scénarios a suivre les directives du Gouvernement du Québec.
Lucien Bouchard a nommé une personne qui mènera bien l’enquête pour le compte Du gouvernement de la république de banane du Québec en l’occurrence Mme Estelle Gravelle qui débarque en fanfaron, c’est moi qui arrive, tassez vous les orphelins de Duplessis.
Le première impression quand elle venue me voir ça sentait déjà la tricherie a plein nez et elle était habillée comme une sœur. Elle m’a dit: Bonjour Mr Bertrand je me présente je suis la procureure général du Québec, et moi je suis Hervé Bertrand qui est le fondateur des orphelins de Duplessis.
Estelle Gravelle commence a placer ses pions deux policiers par institution, dont j’avais fait les sept recours contre les responsables du génocide du massacre des enfants née hors mariage, rejeter pas la religion Catholique .
Placement deux policier dans nos sept institutions pour enquêté
Une injustice à l’un d’entre nous est une menace pour tous.Gandhi Le complot du Génocide des quatre responsable son les deux Gouvernements 3-Les révérende sœurs de la fameuse Charité de La Providence et Quel Providence pour ses enfants le quatrième le psychiatre du Québec.
Une justice imprescriptible En janvier 1996, devant la Commission des institutions, le Protecteur du citoyen avait parlé de «gestion par usure». Comme le dit le dicton, une justice reportée est une justice déniée. «Dans sa contestation des procédures prises contre lui, mise à part sa reprise des explications foumies par les communautés religieuses, écrit le Protecteur, l’État ne répond pas. Il se limite à réfuter les arguments de droit . Il n’est pas erroné de penser que ce fut historiquement le cas dans le dossier bien connu des Enfants de Duplessis. Ces derniers seraient-ils nés trop tôt? La vraie justice peut-elle se prescrire?enfants Duplessis
1. une instance décisionnelle indépendante de toutes les parties;
2. une impartialité des règles de preuve et de procédures établies à l’avance;
3. une compatibilité avec les principes de justice naturelle;
4. un mode transparent de nomination des membres de l’instance décisionnelle.
L’idée d’un comité multipartite où chacune des parties apportera son point de vue nous convient. Nous sommes parfaitement à l’aise avec l’échange et le dialogue. Toutefois, il ne faut pas confondre ce comité multipartite avec l’instance décisionnelle mentionnée plus haut.De la même manière, un corps policier n’a pas le droit d’enquêter sur lui-même, de la même manière les institutions concernées ne devraient pas enquêter sur elles-mêmes. Il faut réaliser que, dans notre dossier, les communautés religieuses, le corps médical et l’État sont au banc des accusés.enfants Duplessis
Le Calver des orphelins de Huberdeau se font violer le soir chacun sont tour abusées des enfants nées hors mariage, aujourd’hui ont les appelle les Orphelins de Duplessis. L’enquête fait sur les orphelins de Huberdeau na pas ider au Orphelins a s’explique de plus ont ferme le dossier comme Mme Estelle Gravel ma souvent dit je peut le fermer quand je le veut et c’est elle n’avait même pas finit, le d.p.c.p Payer par le gouvernement a prit la par du Gouvernement du Québec les orphelins écraser comme des vulgaire coquerelles au ministère de l’immigration et sa solidarité improviser par sont Gangstérisme du Québec dernier échelon avant la poubelle la corruption et la culture de Duplessis existe encore.
(Je vais mettre les documents dans un album , j’ai rencontré quelques-uns de ces orphelins)
L’Orphelinat de Huberdeau dans les Laurentides, plusieurs enfants ( garçons ) qui n’étaient pas adopté vers l’âge de 6 et 7 ans quittaient les crèches ou les maternités de Montréal pour cet endroit, qui pour plusieurs d’entre eux n’oubliront jamais cet enfer vécu à cet Orphelinat.
Après des décinies de silence, certain parmi ces centaines d’orphelins que la communauté des Frères de la Miséricorde hébergeait alors à Huberdeau dans les Laurentides, ont consenti à se livrer d’un douleureux secret: Ils auraient subi pendant de longue années de sevices sexuel et de la violence physique de la part des Frères de la Miséricorde qui les gardaient au pensionat. Ils ont été abusés par des religieux.
Il y a de quoi à faire frémir.
Sodomie, fellation, jeux sexuels divers, on se rend compte que ces enfants étaient pour plusieurs des Frères de la Miséricorde de cet orphelinat non seulement de simples esclaves sexuel, mais en plus de la main d’oeuvre à bon marché que l’on faisait travailler sur une ferme de ces frères.
↑1Le Mont-Providence était dirigé par la communauté des Sœurs de la Charité de la Providence et était situé au 7200, boulevard Gouin est à Montréal. Vendu au gouvernement du Québec en 1969, l’immeuble est devenu l’Hôpital Rivière-des-Prairies.
↑l’Orphelinat Notre-Dame de la Merci d’ Huberdeau était situé dans la municipalité d’ Huberdeau dans les Laurentides.
↑L’Hôpital Saint-Jean-de-Dieu est devenu l’Hôpital Louis-H.-Lafontaine et il est situé à Montréal.
↑L’Hôpital St-Michel-Archange est devenue le Centre hospitalier Robert-Giffard et il est situé dans la ville de Québec.
↑L’Hôpital Saint-Julien est situé dans la municipalité de Saint-Ferdinand.
’Hospice du Sacré-Cœur de Sherbrooke; Le D.P.C.P= Directeur des Poursuites criminelles et Pénal D=Duplessis orphelins (es) P=Pression C=Corruption P=Politique
Estelle Gravelle rencontre le premier victime Hervé Bertrand et Lucien Goupil Landry venue nous rencontré pour demander de quel façon se passeras l’enquête déjà elle se montre autoritaire et elle avais déjà fais sont enquête sur le coté des responsables du massacre , ce que nous voulons dit Lucien et Hervé une aide pour que les victimes se cens compris dans leur déclaration car il y a des mots et des doléances a expliqué donc il ne connaissent pas le définition dans les abus qu’il ont subit dans leur passé les orphelins n’ont pas eu l’instruction elle ne voulais pas faire aucun compromit elle me faisait déjà de l’intimidation pour me dire a plusieurs reprise n’importe quand je peut arrêter l’enquête de plus presser de finir l’enquête elle avais une attitude de sœur supérieure.
Les orphelins me racontais se qui se passe avec les policiers il leur faisait dire vous faite vos plaintes pour l’agent, une question de piège quand ont sais que eux le font pour l’agent les juges,avocats tous pour le bill du dominion. Les orphelins ne sentait pas alaise avec les policiers surtout quant il ne comprenait pas des mots tel que sodomisation etc.
Un jour dans les journaux il annonçais qu’il ne porteras pas plaint devant les tribunaux dans el dossier des Orphelins de Duplessis
1. Le faux diagnostic
2. L’intemement illégal
3. L’absence d’instruction
4. L’exploitation économique
5. Les agressions sexuelles
6. Les préjudices particuliers
7. Perte de jouissance de la vie
4. L’évaluation devra permettre d’établir, pour chacune des victimes qui demande réparation, une indemnité personnelle cumulative selon, s’il y a lieu, la gravité du préjudice. 5- Esclavage pour chacun des orphelins et orphelines de Duplessis
Parce que ce qui était demandé, c’était ça: Dans notre cas, dans les 321 plaintes, y a-t-il matière à procès? On nous a dit: Non, on rejette les plaintes. Il y en a deux là-dedans qui se retournent de bord et, effectivement, il y en a un qui est allé au bout du processus judiciaire et qui a gagné et qui a vu que l’accusé a reconnu sa culpabilité
Le plus gros dossier du Québec le gouvernement peur de payer la note avec ses trois autres complices des milliards de dollars va coûter aux contribuables Québécois,
Mais le fin renard Lucien Bouchard a intérêt a défendre ses clients les religieuses eus ils ont des dollars, les orphelins non rien et facile a les entubées.
Honorables sénateurs, après sa retraite du Sénat, Jacques s’est fait le défenseur des dépossédés de ce monde. Il s’est porté à la défense d’un groupe de personnes oubliées du Québec, les orphelins de Duplessis qui, durant les années 1940 et 1950, avaient été placés par Duplessis dans des établissements catholiques où ils avaient dû endurer des sévices physiques et sexuels et subir des électrochocs et même des lobotomies. Ainsi, une fois de plus, Jacques se mettait du côté de ceux qui étaient sans voix.
La justice
Les orphelins ont tenté de poursuivre la congrégation. Ils ont d’abord comparu devant Estelle Gravel, la procureure, pour qu’elle décide s’ils pouvaient ou non porter des accusations. La procureure leur a demandé de raconter les faits, mais aux dires des orphelins, elle n’avait pas l’air de les croire. « [On nous disait] : «ils sont morts, ils sont vieux, il faut pardonner». » Estelle Gravel n’a pas accepté de donner d’entrevue à notre équipe, mais elle dit avoir douté de la fiabilité des témoins. Plusieurs, à son avis, ont rajouté des agressions sexuelles à la dernière minute dans l’espoir d’avoir de l’argent. Elle ne pensait pas pouvoir obtenir de condamnation, et a choisi de ne pas porter d’accusations.
Orphelins de Duplessis — Wikipédia
↑Le Mont-Providence était dirigé par la communauté des Sœurs de la Charité de la Providence et était situé au 7200, boulevard Gouin est à Montréal. Vendu au gouvernement du Québec en 1969, l’immeuble est devenu l’Hôpital Rivière-des-Prairies.
↑l’Orphelinat Notre-Dame de la Merci d’Huberdeau était situé dans la municipalité d’Huberdeau dans les Laurentides.
↑L’Hôpital Saint-Jean-de-Dieu est devenu l’Hôpital Louis-H.-Lafontaine et il est situé à Montréal.
↑L’Hôpital St-Michel-Archange est devenue le Centre hospitalier Robert-Giffard et il est situé dans la ville de Québec.
↑L’Hôpital Saint-Julien est situé dans la municipalité de Saint-Ferdinand.
↑Source: Le Protecteur du Citoyen (Daniel Jacoby), document Les « enfants de Duplessis » : à l’heure de la solidarité, Sainte-Foy, 22 janvier 1997.
↑Encore à ce jour, plusieurs orphelins de Duplessis n’ont pas réussi à obtenir copie de leurs dossiers médicaux conservés chez des communautés religieuses.
↑le Premier ministre du Québec s’est excusé auprès des Orphelins de Duplessis mais en s’excusant M. Bouchard réduisait toute la tragédie des orphelins de Duplessis à de simples «gestes et attitudes inadmissibles».
↑C’est uniquement les orphelins ayant été internés dans certaines institutions couvrant une certaine période qui reçurent une compensation. Les autres orphelins, par exemple ceux qui furent exploités comme main-d’œuvre agricole toute leur enfance sans recevoir d’instruction, n’ont reçu aucune compensation.
↑Tiré du site L’adoption au Québec: le droit de savoir [archive] : extrait de la lettre au ministère de la Justice datée du 4 juin 1999 [archive]: Le drame des Orphelins de Duplessis a pris un tournant des plus sombres avec la découverte récente d’un charnier sur un terrain appartenant à la Société des Alcools du Québec situé à proximité de l’ancien hôpital St-Jean-de-Dieu. Le Journal de Montréal dans son édition du 11 mai 1999 écrit que certains corps seraient ceux de mineurs victimes de sévices, et parmi ceux-ci il y aurait des Orphelins de Duplessis. Ces corps auraient été enterrés sans tombe les uns sur les autres et, ce qui est plus grave, sans enquête indépendante sur les causes du décès. En effet, il faut savoir que le service de police des Sœurs de la Providence était le seul service à enquêter sur les décès survenus sur les terrains de St-Jean-de-Dieu car ce territoire constituait à l’époque une municipalité distincte de Montréal. La vente de ces terrains à la S.A.Q. aurait enrichi les Sœurs de la Providence de 4,9 millions de dollars dans les années 1970. Dans l’acte de vente, signale le journaliste Laurent Soumis, les Sœurs de la Providence «ont pris soin de se dégager de toute responsabilité quant au contenu du sous-sol». Le même journaliste, dans l’édition du lendemain, rapporte que: «En fin d’après-midi, la S.A.Q. soutenait encore n’avoir jamais trouvé de restes sur son terrain. Mais confrontée aux faits, la société d’État a modifié sa version». De plus un procès datant de 1975 soulève des incohérences entre la taille réelle de ce qui était connu à l’époque comme le cimetière de la «soue à cochons», le nombre de cadavres déterrés lors de la fermeture du cimetière en 1967 et les documents officiels des Sœurs de la Providence. Je trouve inquiétant que le gouvernement n’aie pas encore réagi officiellement à toutes ces allégations. Je tiens à vous signaler que Monsieur Bouchard lui-même nous apprend dans son autobiographie qu’il a représenté certaines communautés religieuses lors de la vente de leurs terrains et immeubles dans les années ’70 ce qui soulève un doute raisonnable quant à son impartialité dans ce dossier. M. Soumis relève de nombreux autres faits troublants dans une série d’articles qui ont suivi son article initial du 11 mai.
La justice carbure à l’injustice de la république de Banane
La sectionPréventionvous offre des conseils pour prévenir les agressions, les fraudes et les vols. Certaines ressources vous sont également présentées.
Rapport de Police Municipal Poste 47
Rapport de PoliceProvincial procureur Général du Québec
Ministère de la Justice Québec
Direction du droit administratif
Le 16 avril 2002
Monsieur Hervé Bertrand
135, Thérien
C.P.4723 Sainte-Anne-des-Plaines (Québec) JON 1HO
Monsieur,
1/ m’a été demandé de répondre à la lettre que’ vous adressiez, le 12 novembre dernier, à monsieur Serge Ménard, à titre de « ministre de la Justice ».
Votre lettre comporte des éléments qui font partie des faits litigieux dans un recours judiciaire toujours pendant, soit la requête pour autorisation d’exercer un recours collectif dans Bertrand c. La Communauté des Sœurs de la Charité de la Providence et le Procureur général du Québec, no 500-06-000004-937. Dans ce contexte, il ne nous est pas possible de donner suite à votre requête.
Par ailleurs, si vous êtes d’avis que des professionnels de la santé ont manqué à leurs obligations à votre égard, vous pouvez vous adresser à la corporation professionnelle concernée, le Collège des médecins du Québec, qui est respc::>~.sable de veiller au respect des règles d’éthique de ses membres.
Veuillez agréer, monsieur, l’expression de mes meilleurs sentiments.
Jean Deaudelin avocat
c.e. Me Yves Lauzon (procureur de M. Hervé Bertrand dans le dossier 500- 06-000004-933)
Édifice Louis-Philippe-Pigeon 1200, route de l’Église. 2′ étage Sainte-Foy (Québec) Gl V 4M1
Réalisation : Marc Petitjean
Auteurs : Marc Petitjean, Carole Duffréchou
Image : Marc Petitjean
Son : Dimitri Médard
Montage : Lizabeth Gelber
PRODUCTION
Coup d’œil, Arte France, CNC
«Les Orphelins de Duplessis» raconte l’histoire d’enfants illégitimes qui ont été internés, par milliers, dans des hôpitaux psychiatriques, dans le Québec des années 50. À travers la découverte de ces personnages attachants et émouvants, le film pointe les responsables de cette situation, Église et médecins qui, contrairement au gouvernement québécois, refusent toujours de présenter leurs excuses et d’indemniser les victimes.
Antoine Céran, Joseph Élie René Graton les trois ont été devant un juge Goberman et il a eu accusation du moniteur George Burton le jour de sa condamnation plusieurs orpheline et moi même Hervé Bertrand frappé le nez a la porte pourtant il est inscrit au rôle,personne na voulu nous dire se qui ses passé quel justice avons nous digne d’une république de banane.
«Les Orphelins de Duplessis» tells the story of the thousands of illegitimate children who, in Quebec in the 1950s, were committed to psychiatric hospitals. Through the discovery of these moving and endearing characters, the film also points to the people responsible for this situation, church and doctors, who, unlike the government of Quebec still refuse to present an apology and take part in the indemnification of the victims
Avant javais fais un rapport a la police municipal elle se fut enlever par le premier ministre du Québec en l’occurrence Lucien Bouchard .Ne voulais pas d’enquête publique car il aurais beaucoup de monde a écorché en passant.
Il ma envoyer une lettre en disant: Dorénavant la police provinciale seras saisi du dossier des orphelins de Duplessis Lucien Bouchard a commencer a tricher faire le corruption et la collusion 1er il a nommer une amie comme procureure du Québec Esthel Gravel Qui est aller voir les religieuses sœur de la Charité de la Providence a la maison mere elle a prit leur version et elle est revenue a mon bureau sur le boul, Pie IX a Montréal me dire un aire arrogance Mr Bertrand c’est moi qui pilote le dossier criminel des orphelins de Duplessis et je place deux policiers pour chacune des 7 constitutions visé par le recours
Témoignage du Génocide des Orphelins de Duplessis tout les politiciens canadien et Québécois sont témoins du massacre des enfants née hors mariage sans le consentement des deux diocèses de Montréal et Québec
Extrait des archives d’Ésotérisme expérimental Thème :Un Orphelin de Duplessis Invité :Joseph Martin un des nombreux «enfants de Duplessis»
Tout ceci fait partie du Génocide des Enfant nées hors mariage sans la permission de deux diocèses de Québec et de Montréal la religion Catholique secte très puissant qui est dirigé par le Vatican
JOSEPH MARTIN ORPHELIN DE DUPLESSIS
Un touchant témoignage M. Joseph Martin est l’un des milliers d’enfants abandonnés aux systèmes publics entre 1939 et 1960, au Québec. Son témoignage confirme les pires abus exposés dans la dramatique présentée à Radio-Canada en mars 1997.En écho à la série dramatique présentée à la télévision d’état sur le sort subi par des milliers d’orphelins entre 1940 et 1955 au Québec, voici l’un d’eux: Joseph Martin. Déjà, son nom est significatif. Tous les garçons, au Québec, dans ces années là portaient (surtout comme deuxième prénom) le nom de Joseph, alors que les filles portaient le nom de Marie. Martin est aussi le nom banal passe-partout. En effet, nous apprenons que ce nom a été utilisé dans «son» orphelinat par d’autres enfants qui ont été tués (avant lui) après avoir subi toutes sortes de sévices (viols, brutalité…). Lui a eu l’oeil gauche crevé après avoir été violé… pour le faire taire !Son témoignage empreint de chagrin, plus que de révolte, confirme les pires situations qu’on retrouve dans le film «LES ORPHELINS DE DUPLESSIS» à Radio-Canada dimanche soir à 20h. (présenté en deux tranches de 2 hrs, dim. 16 et 23 mars ’97 et reprise en décembre 2003) Comment au delà des faits, peut-on comprendre le sens «KARMIQUE» de cette tranche de la réalité de milliers d’enfants abandonnés… et de la responsabilité sociale de cette époque déniée par tout un peuple, celui du Québec ? À lire dans le livre «ALDAÏRA» publié chez Louise Courteau éditrice.(similitude avec l’holocauste Extrait des archives d’Ésotérisme expérimental Thème :Un Orphelin de Duplessis Invité :Joseph Martin un des nombreux «enfants de Duplessis «EXTRAIT D’UNE «Je suis un enfant de Duplessis «O de 11 min Lien audio Ici- #juif et présage à l’arrivée d’un temps nouveau)JOSEPH MARTIN
ORPHELIN DE DUPLESSIS Extrait des archives d’Ésotérisme expérimental
Thème : Un Orphelin de Duplessis
Invité : Joseph Martin
un des nombreux «enfants de Duplessis»EXTRAIT D’UNE ENTREVUE
«Je suis un enfant de Duplessis» AUDIO de 11 min.Un touchant témoignage
M. Joseph Martin est l’un des milliers d’enfants abandonnés aux systèmes publics entre 1939 et 1960, au Québec. Son témoignage confirme les pires abus exposés dans la dramatique présentée à Radio-Canada en mars 1997.En écho à la série dramatique présentée à la télévision d’état sur le sort subi par des milliers d’orphelins entre 1940 et 1955 au Québec, voici l’un d’eux: Joseph Martin. Déjà, son nom est significatif. Tous les garçons, au Québec, dans ces années là portaient (surtout comme deuxième prénom) le nom de Joseph, alors que les filles portaient le nom de Marie. Martin est aussi le nom banal passe-partout. En effet, nous apprenons que ce nom a été utilisé dans «son» orphelinat par d’autres enfants qui ont été tués (avant lui) après avoir subi toutes sortes de sévices (viols, brutalité…). Lui a eu l’oeil gauche crevé après avoir été violé… pour le faire taire !Son témoignage empreint de chagrin, plus que de révolte, confirme les pires situations qu’on retrouve dans le film «LES ORPHELINS DE DUPLESSIS» à Radio-Canada dimanche soir à 20h. (présenté en deux tranches de 2 hrs, dim. 16 et 23 mars ’97 et reprise en décembre 2003) Comment au delà des faits, peut-on comprendre le sens «KARMIQUE» de cette tranche de la réalité de milliers d’enfants abandonnés… et de la responsabilité sociale de cette époque déniée par tout un peuple, celui du Québec ? À lire dans le livre «ALDAÏRA» publié chez Louise Courteau éditrice.(similitude avec l’holocauste juif et présage à l’arrivée d’un temps nouveau)
RÉPERTOIRE COMPLET
des enregistrements de témoignages de faits vécusJean Guy Labrosse J’ai été souvent isole en cellule en camisole de force et attache directement sur le sommier du lit sans matelas qui était fixe sur le sol dans ma cellule. J’ai écris deux livres qui sont disponibles uniquement dans les bibliothèques publique et sont intitules «Ma Chienne De Vie» & «L’Orphelin Esclave» qui sont disponibles dans toutes les bonnes librairies. Vous pourrez connaitre l’histoire horrible et véridique d’un enfant Orphelin dont la vie fut un veritable enfer
AVIS aux cinéastes qui désire tourner un documentaire sur des histoires d’horreur vécues !Je suis a la recherche d’un cinéaste qui pourrait tourner des scènes inédites de Saint Michel d’Archange dans les tunnels souterrain de la mort, ou se déroulait toute la magouille des sœurs Grises. Je pourrais vous raconter en détails toutes les horreurs qui y ont été commis. Je suis le seul a avoir une autorisation spéciale pour visiter les tunnels de la mort dans cet établissement dont personne ne connait car tout ce qui se passait dans cet établissement de frauduleux etait souterrain. Ce que je vais vous faire connaitre est encore bien pire que ce que Joseph Martin vous a parle. Le documentaire sera tourne en deux parties dont une sera consacrée sur l’abattoir humain de Québec, la pire histoire d’horreur jamais vécue sur la planète.Bruno Roy dénonce la conspiration de l’Église et de l’État Date de diffusion : 27 avril 1994 En 1994, Bruno Roy publie un essai pamphlétaire sur les enfants de Duplessis, Mémoire d’asile, ainsi qu’un recueil de poèmes sur le thème de l’abandon. Porte-parole du Comité des orphelins de Duplessis, l’auteur mène une croisade avec ses compagnons d’infortune afin de « mettre fin à la conspiration du silence ». Dénonçant le concordat entre l’Église et l’État à l’époque duplessiste, Bruno Roy estime que « c’est tout un système qu’il faut accuser ».Né à la Miséricorde en 1943 de parents inconnus, Bruno Roy grandit à la crèche Saint-Paul. En 1950, il est admis au Mont-Providence. Lorsque l’établissement devient un hôpital psychiatrique, en 1954, les médecins le considèrent comme étant un « arriéré mental ». En 1992, il soutient pourtant une thèse de doctorat en littérature à l’Université de Sherbrooke. Poète, essayiste et romancier, Bruno Roy se considère comme un « cas d’exception » qui ne justifie en rien le système d’enfermement dans lequel il a été maintenu avec plus de 4000 autres orphelins.Claque dans la face» Hervé Bertrand
Les dissidents ont reçu la décision de la juge comme «une claque dans la face», selon leur leader, Hervé Bertrand. Plusieurs ont souligné que les victimes de sévices étaient marginalisées depuis la création, en avril 2001, de deux catégories de membres: les membres réguliers ayant été internés et les membres associés, qui ne pouvaient avoir qu’un représentant à l’exécutif. «Lors de l’assemblée sur l’entente, Bruno Roy avait fait sortir les membres associés», dénonce un des dissidents, Lionel Lambert.
Les dissidents entendent respecter la décision de la cour. Ils comptent cependant s’assurer que les élections auront bel et bien lieu le 15 septembre prochain, ayant déjà été reportées à deux reprises.
La Cour supérieure entendra de nouveau les deux parties le 15 juillet. Le tribunal se prononcera alors sur la pertinence de prolonger l’injonction jusqu’à ce que la question de la légitimité de l’élection soit débattue sur le fond.
En rapport avec ce projet, nous aimerions souligner qu’après une sérieuse analyse du rapport présenté par les autorités du Mont-Providence, nous avons constaté qu’une proportion assez considérable d’enfants appartiennent à une catégorie supérieure de décicients mentaux, et à cause de leur quotient d’intelligence devraient normalement tomber sous la tutelle de la Commission scolaire. Comme vous le savez déjà sans doute, notre ministère accepte en principe et pratique la nécessité de confier les groupes inférieurs de déficients à la charge des organismes qui s’occuppent de la santé même. Toutefois, pour ce qui est de Mont-Providence, malgré l’admiration que nous éprouvons pour le travail accompli par les autorités religieuses et laïques, nous nous demandons si l’absence des services d’un psychiâtre et le quotient intellectuel d’un nombre d’enfants permettent de justifier le montant de l’octroi déjà approuvé et les demandes futures de subvention.»
Lettre de O. Leroux, M.D., 1er avril 1953
«L’expression «malades» signifie les personnes atteintes de psychopaties, de l’un ou l’autre sexe, confiées aux Soeurs par le Gouvernement.!»
Arrêté en conseil, Chambre du conseil exécutif, no 1082, Québec, 3 novembre 1954.
«Jusqu’à l’âge de quatre ou cinq ans – et l’auteur de ces lignes en a été témoin – ces enfants n’ont pas encore appris à parler comme les autres, pour la raison qu’aucun adulte n’a pu converser avec eux régulièrement. Il en est parmi eux qui ne peuvent alors que pousser des cris d’animaux. Tous ou presque tous, sont devenus des arriérés mentaux, qui ne pourront jamais reprendre le temps perdu. C’est le massacre des innocents.»
Arthur Prévost, Toute la vérité sur la fille-mère et son enfant, Editions Princeps, 1961, p.146.
«Tous l’admettent, les déficients mentaux entraînables présentent des problèmes et des besoins très différents de ceux rencontrés avec les véritables malades mentaux. (…) L’intérnat coûte plus cher que l’externat, tous en conviennent. Si l’on peut obtenir, sans concession de principes, un même résultat pour la formation de l’enfant, il serait illogique de ne pas préférer la solution la plus économique . (…) Nous pouvons affirmer que dans l’état actuel de la question, les services complets de diagnostics auprès des enfants déficients mentaux entraînables sont ou inexistants ou inadéquats.»
Collectif, Le problème du déficient mental entraînable, Rapport du sous-comité des déficients mentaux relevant de la sous-commission des exceptionnels du Département de l’Instruction publique de la province de Québec, 1961, pp.7, 12 et 13.
«Officiellement, le responsable des admissions est le surintendant médical de Saint-Jean-de-Dieu, mais en pratique… (les) enfants sont admis à la suite de diverses pressions politiques auprès des religieuses ou sur la recommandation de la supérieure ou pour une série de motifs très variés. (…) L’enquête dirigée par l’abbé Albini Girouard, conclut que malgré l’entente de 1954, suivant laquelle aucun enfant éducable ne devrait être admis au Mont-Providence, les admissions continuent de se faire sans beaucoup de discernement. (…) Des enfants éducables continuent d’être admis au Mont-Providence après 1954.»
Sous la direction de Marie-Paule Malouin, L’Univers des enfants en difficulté, Montréal, Bellarmin, 1996, p.370.
«En 1950, je déplorais, comme chrétien, l’espèce de connivence passive de la quasi totalité de la presse et de la majorité de la population, connivence qui permettait au gouvernement Duplessis de laisser croupir des milliers d’enfants et de laisser s’étioler des milliers de jeunes vies. Nous devons tous, c’est exact, accepter notre part de responsabilité dans cette affreuse situation. Tous, sauf les communautés religieuses en contact quotidien avec cette misère? Tous, sauf les autorités écclésiastiques qui détenaient alors le pouvoir de faire bouger l’autorité civile et qui ont refusé d’utiliser à cette fin l’énorme influence qui était la leur?»
Gérard Pelletier, Je n’ai pas signé, Monseigneur, Cité Libre, avril-mai 1993, p.17.
«La société québécoise est-elle restée muette devant la situation des enfants dits «illégitimes»? Que non! Bruno Roy a raison: cette question a été débattue de nombreuses fois durant les années 1940, 1950 et 1960.»
Micheline Dumont, historienne, Université de Sherbrooke, Bulletin d’histoire politique, vol.8, no 1, automne 1999, pp.176-177
L’oeuvre changeait. Ça devenait un hôpital, mais elle (la supérieure) a pris soin de nous dire, par exemple, il y a toutes sortes de thérapies, alors, dorénavant, on va appeler ça de la thérapie, à enseigner comme vous le faites, ce sera une thérapie plutôt que de l’enseignement. En réalité, on enseignait clandestinement. Ça nous était défendues.
Soeur Ursule Cantin, Adieu, mes soeurs, Denise Bombardier, SRC, 19 novembre 1999.
– Soeur Lise Pleau : Leur vie changeait complètement parce qulls étaient comme internés. Alors, il y avait beaucoup de restrictions, toutes les sorties qu’on faisait, les sorties éducatives étaient finies. C’était fini, il n’y avait plus rien. C’était triste, dans le fond, de savoir ça. C’était quelque chose qu’on n’acceptait pas. On n’acceptait pas ça. Mais comme on nous avait dit aucun commentaire, c’était le silence. On ne pouvait pas parler.
– Denise Bombardier : Mais vous, est-ce que vous vous êtes senties complices d’un système et d’une situation qui n’était pas admissible sur le plan moral ou si vous étiez dans le voeu d’obéïssance tel qu’il se pratiquait dans les communautés dans les années ’50.
– Soeur Lise Pleau : On n’acceptait pas ça. Entre nous, on en parlait, on trouvait ça d’une grande tristesse pour le genre d’enfants parce que quand l’oeuvre a changé, on a continué l’école avec beaucoup d’enfants.
Soeur Lise Pleau, Adieu, mes soeurs, Denise Bombardier, SRC, 19 novembre 1999.
– Jacques Lacoursière : Il doit y avoir de vos anciennes de l’Ecole de Service social qui ont dû se retrouver dans des maisons où les religieuses gardaient des enfants de la crèche, les fameux orphelins de Duplessis.
– Georges-Henri Lévesque: Oui, oui.
– Etiez-vous au courant de ça, vous?
– Ah! oui, oui. On était au courant. Ensuite, nois diplômés essayaient d’influence les religieuses, là.
– Mais…
– Ils allaient donner des conférences…
– Donc, dans les années 1940, vous saviez fort bien qu’il y avait des enfants normaux qui se trouvaient avec des enfants anormaux pour que le gouvernement ait plus d’argent du fédéral?
– Ah! oui, oui.
Le père Georges-Henri Lévesque, Artisans de notre histoire, Canal Historia, 2 février 2000 (Entrevue avec l’historien Jacques Lacoursière).
La Chorale de l’Accueil Bonneau : que sont-ils devenus?
L’ex-Chorale de l’Accueil Bonneau reprend du service pour les Fêtes et cherche des contrats de chant.
Même si elle se nomme La Chorale sous les étoiles depuis un différend avec l’Accueil Bonneau, sa vocation reste la même : réintégrer les exclus. Justement, ces exclus, que sont-ils devenus?
Les 1 400 concerts jusqu’aux États-Unis et en France, les 110 000 CD vendus et les nombreuses marques de sympathie ont aidé plusieurs choristes à remettre de l’ordre dans leur vie.
Léo, autrefois locataire à la Maison du Père, a maintenant un logement et une vie plus stable. Son fils Jocelyn a même créé une entreprise. Après une période d’itinérance, Raynald a repris ses études et est maintenant infirmier urgentiste. Les deux Michel ont eux aussi retrouvé un toit. Comme 60 % des itinérants, ils sont arrivés à attacher les wagons, évitant ainsi l’itinérance chronique qui concernerait actuellement plus de 12 000 Montréalais.
Six des choristes ont désormais atteint 65 ans, ce qui leur permet enfin de toucher une petite retraite qui améliore leur quotidien. Enrico a renoué avec sa famille et est retourné en Corse. Ben, le doyen, vit une retraite paisible en résidence, alors que Stanislas continue de donner des cours particuliers malgré la maladie.
Pour cinq des membres (Guy, Jean-Paul, Gilles, Réjean et Colas), l’aventure a pris fin abruptement, victimes de crise cardiaque, de cirrhose du foie ou du cancer. Colas se creusait depuis 12 ans des trous dans la neige pour survivre à l’hiver sur le mont Royal. Ils avaient en moyenne 58 ans. « Même si on manque de statistiques, cela correspond à l’espérance de vie qu’on observe sur le terrain », indique Pierre Gaudreau, coordonnateur au Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM).
Depuis l’année de sa création en 1996, 52 voix sont passées par la chorale. «Au début, les intervenants me disaient que l’idée d’une chorale ne marcherait pas, qu’on ne créait pas un collectif avec des âmes solitaires», se souvient Pierre Anthian, prothésiste dentaire et instigateur du projet. Les sceptiques ont été confondus.
Idée Les personnes ou les entreprises voulant recruter la chorale pour un tour de chant peuvent contacter la Fondation Brouillon d’idées.
Cette fondation gère aussi Mairie Christmas, une initiative qui consiste à inviter à dîner un sans-abri, chez soi, pendant les Fêtes.
Le Berceau des Anges ont créer un Génocide a ces enfants qui non pas demander venir au Monde dans un Pays et une Province de crapuleux magouilleur et collusioniste en cravate.
La subrogation des deux Gouvernements en faire des esclaves.
Les Crèches du Québec
Voisin immédiat de la crèche et œuvre du même architecte, l’édifice de l’orphelinat Notre-Dame-de-Liesse, que l’on aperçoit à gauche sur la photo ci-haut, avait quant à lui été érigé un peu auparavant, entre 1912 et 1914. Coiffé d’une toiture de tuile espagnole, l’édifice, également sous la direction des sœurs grises, accueillera entre ses murs les orphelins de six ans et plus, la crèche étant réservée aux plus jeunes.
Alors que les nouveau-nées laissés à l’institution étaient si nombreux à la création
Crèche Saint-Vincent de Paul [1901-1972]
Crèche Saint-Vincent de Paul [1901-1972] 1160, chemin Ste-Foy Québec, Qc
TYPE, DATES EXTRÊMES ET ESPACE OCCUPÉ PAR LES DOCUMENTS
Source: Archives des Sœurs de Miséricordes,Vue d’ensemble de la maison Saint-Janvier et de la crèche Saint-Paul, vers 1930, NJ10.2-2SM.
Elles ne le sont toujours pas dans les années 195018. Ainsi adapter pour des
grands enfants, la Crèche Saint-Paul est au-dessus de leurs moyens. De plus, à cause du
mode de vie en crèche, les enfants présentent des troubles de langage et certains sont
affligés de retards mentaux. Les Sœurs se sentent quelque peu dépassées par les
événements. Elles évaluent diverses avenues afin d’offrir quelque chose de mieux aux
enfants. Toutefois, concernant les garçons, la décision est prise à un autre niveau. Les
Sœurs voient donc partir les derniers enfants au printemps 1955. La Crèche Saint-Paul
est démolie un mois plus tard.
Les femmes du Sault-au-Récollet
L’entrée des femmes en politique vient également modifier la société. Claire Kirlkland-Casgrain, première femme élue en 1961 et première à occuper un poste de ministre, passe les étés de son enfance dans la résidence de son oncle (aujourd’hui la maison de l’ancêtre située au 1947, boul. Gouin est). Cette pionnière de la société québécoise a ouvert les portes aux femmes en servant de modèle à toute une génération.
Les archives de l’Hôpital général de la Miséricorde
Numériser pour préserver
Depuis quelques semaines, une équipe s’applique à numériser les 225 000 dossiers qui constituent les archives de l’Hôpital général de la Miséricorde, devenu le Centre d’hébergement Jacques-Viger. Cette opération de grande envergure, qui se poursuivra jusqu’à la fin de mai, est une des dernières étapes de la fermeture définitive de l’établissement qui a joué un rôle primordial dans l’histoire des soins de santé au Québec.
Maintenant confié un enfants le fais avancer le Québec Qu’elle slogan qui sonne mal par apport a nous dans les année 40 à 1960
Le comité des orphelins(es) de Duplessis fondation Par Hervé Bertrand 1er Président en 1991 avec sa charte enregistré au Québec.
présentement ont enseigne la propagande dans les écoles l’histoire de Duplessis seulement un coté de la médaille pour moi et les victimes c’est un criminel de bas étage. Fait partie des Valeurs Québécoise jalousement bien garder pas de fanatique des séparatistes du Québec.
Présentation
—–
Dans les années 40 et 50, les autorités religieuses, médicales et gouvernementales ont maintenu dans des institutions psychiatriques autour de 3,000 orphelins (environ) pour la plupart faussement étiquetés malades mentaux. Alors qu’unconcordat existait entre l’Église et l’État, ils étaient internés au mépris de la loi etavec la complicité du corps médical. En institution ou sur les terres agricoles, la majorité des enfants ont servi de main d’oeuvre gratuite et un grand nombre d’entre eux ont subi des sévices corporels ou ont été exploités sexuellement. Coupés de toute instruction, ces enfants, devenus adolescents, ont facilement constitué une main d’oeuvre gratuite soit dans les fermes (d’où l’expression orphelins agricoles) soit dans les institutions elles-mêmes.Depuis 1992, le Comité des orphelins et des orphelines institutionnalisés de Duplessis (C.O.O.I.D) forme une organisation à but non lucratif détenant une charte du Québec et regroupant un nombre toujours croissant de membres ayant acquis la conscience de leur condition humaine liée à leur exclusion sociale.Le COOID travaille à ce que les orphelins et orphelines obtiennent justice et ainsi se sentent des adultes faisant partie intégrante de la société. Aujourd’hui, ils demandent réparation. Ayant suspendu leurs démarches au plan juridique, ils cherchent un règlement négocié, lequel, contrairement aux autres provinces canadiennes, retarde.
Historique
Il a fallu la parution du Rapport de la Commission d’Étude des Hôpitaux Psychiatriques (1962), précédé d’un témoignage choc de Jean-Charles Pagé, Les fous crient au secours (Editions de l’homme, 1961), pour saisir la gravité de la situation dans laquelle se trouvaient non seulement le malade mental mais aussi l’orphelin dont le statut civil et médical lui était désormais associé.
Cela fait plus de quarante ans, par exemple, qu’un Jean-Guy Labrosse s’acharne à crier le désarroi des siens1. Ses démarches furent peuplées d’embûches incommensurables. Or, c’est grâce à lui, à sa persévérance têtue, à sa débrouillardise effrontée qu’a pu naître ce rassemblement qui aujourd’hui arrive à nommer la «terreur du coupable». C’est aussi sous son initiative qu’a été fondée l’Association des orphelins du Québec d’avant 1964″ dont les lettres patentes ont été enregistrées le 5 mars 1991 selon la Loi des compagnies. Jean-Guy Labrosse, Noël Flavien et Jean Messier en étaient les premiers administrateurs.
Celle-ci, faut-il convenir, a été préparée, alimentée et précédée par une «Association des orphelins du Québec d’avant 1964» qui a bel et bien existé. Ses lettres patentes ont été enregistrées le 5 mars 1991 selon la Loi des compagnies. Jean-Guy Labrosse, Noël Flavien et Jean Messier en étaient les premiers administrateurs.
Toutefois, le 18 mai 1992, un nouveau regroupement d’orphelins sera connu sous le nom de Comité des orphelins et des orphelines institutionnalisé(es) de Duplessis (C.O.O.I.D). Depuis la parution du livre sur la vie d’Alice Quinton, témoignage écrit par la sociologue et écrivaine Pauline Gill, intitulé Les enfants de Duplessis (Libre expression, 1991) cette appellation «Enfants de Duplessis» donne aux membres de ce groupe une identité sociale qui les sortira de l’anonymat dans lequel ceux-ci étaient plongés depuis plus de trente ans. Voici la liste des membres fondateurs du premier conseil d’administration du C.O.O.I.D:
Président : Hervé Bertrand défenseur comme Mandela
Vice-président: Réjean Hinse
Secrétaire: Lucien Landry
Trésorier: Guy-Marc Royal
Conseillère: Yvette Gascon
Conseiller: André Hamois
Conseiller: Martin Hurtubise
Conseiller: Jean-Guy Labrosse
Conseiller: Etienne Lapointe
Conseiller : André Martelli
Conseiller: Jean Messier
Conseiller : Jean-Guy Miron
Après un mandat bien rempli, Hervé Bertrand se retire de la présidence et c’est Bruno Roy qui prend la relève. Ce dernier a été élu président en septembre 1995 et en est à son deuxième mandat. Malgré les difficultés rencontrées et à leur instar, il poursuit les objectifs établis par le président fondateur et les membres de sa première équipe.
Une chose est sûre, même si le problème général des Orphelins de Duplessis en est un d’accès normal à la justice, leur volonté de poursuivre notre lutte est indéfectible. Oui, ils lutteront avec rage s’il le faut, contre l’oubli qui avise le sens même du mot justice. C’est leur «devoir de mémoire» comme dirait Primo Levi. Que le gouvernement sache que ce devoir, ils l’accompliront jusqu’au bout de leurs forces.
1.Il a respectivement publiéMa chienne de vie(1964),L’orphelin, esclave de notre monde(1978) etL’holocauste des orphelins(1983).
P- 5 Photos information du Docteur Bernard Piché 1950 à 1960 Les psychiatres du Québec complote le dossier des enfants illégitimes au Québec, Quelle providence avec les sœurs de la Charité de la Providence.
Les psychiatres du Québec complice des Gouvernements dans le but amasser des millions de dollars mentionner au départ par Conrad Black dans le livre le pouvoir de Duplessis en page 419 Esclavages des orphelins et orphelines dans tout le Québec . Dans les hôpitaux,les presbytères,les édifices gouvernementaux, sur le terre annonçais des orphelins Bâtards vont travailler comme esclaves Gratis Duplessis en cadeau pour recevoir des votes pour sont partie . https://www.youtube.com/watch?v=KRRP5pZR4U0 , Éditions du Jour, 1964, 141 pages. 14 Dominique Bédard, Denis Lazure et Charles-A. Roberts, Rapport de la Commission d’étude des hôpitaux psychiatriques, Québec, 1962. 15 Lors des deux rencontres que nous avons eues avec le docteur Roch Bernier, alors président du Collège des médecins, ce dernier parlait d’excuses. Le docteur Yves Lamontagne, son successeur, préfère, quant à lui, utiliser l’expression de «regrets», et cela, «indépendamment de l’exactitude du diagnostic médical rendu» (lettre du 2 février 1999). Dans ce contexte, quel sens auront ces regrets s’il ne prend pas en compte cet élément central de notre dossier : la réalité des faux diagnostics. Santé Canada et Québec
• Certains enfants internés se retrouvent sous la protection d’une religieuse dévouée qui réussit à établir un climat sain dans son département. Toutefois, pour de nombreux orphelins, la vie dans l’asile se résume à des heures de travaux forcés. Plusieurs témoignages font état de sévices corporels et d’agressions sexuelles.
• Le rapport Bédard de 1962 révèle que, dans les hôpitaux psychiatriques, « l’évaluation de la déficience mentale du jeune malade laisse grandement à désirer avant et après son admission à l’hôpital ».
• Les auteurs du rapport estiment qu’au Mont-Providence environ 350 enfants, soit le tiers des patients de l’établissement, sont éducables et pourraient bénéficier d’une formation scolaire afin d’être réintégrés à la société. Or, l’hôpital ne compte que six professeurs, qui enseignent deux heures par jour.
• En 1960, le docteur Alphonse Couturier, ministre de la Santé dans le cabinet Lesage, annonce la création d’une commission d’enquête sur les hôpitaux psychiatriques. La commission est présidée par le docteur Dominique Bédard.
• Les deux autres membres sont le docteur Denis Lazure, directeur du département de pédopsychiatrie à l’hôpital Sainte-Justine, et le docteur Charles Roberts, directeur du Verdun Protestant Hospitalité et membre du comité d’experts de l’Organisation mondiale de la santé.
Mon criminel de mon dossier 1521 matricule Prisonnier Hervé Bertrand Institue Médicaux Pédagogique du Mont-Providence
Son doctorats ses infos sur se Bandit en cravate qui a signé plusieurs faux diagnostics C’est ma salle St-Gérard Majella avant 1954 le 2 ime étage coté des garçons ou se se préparait en habit de L’institution pour aller chanté l’hymne National du Mont Providence l’habit réglementaire un pantalon gris, le haut de l’habit bleu et ne pas oublié le creste de l’institution inscrit M P pour Mont-Providence sa démontre que ce n,est pas des fous.
Début de l’émission radiophonique le «Chapelet en famille»
Le cardinal Paul-Émile Léger
1 octobre 1950
C’est à l’instigation de l’archevêque de Montréal, Mgr Paul-Émile Léger , que Ferdinand Biondi, directeur des programmes à la station de radio CKAC, accepte de créer l’émission quotidienne le «Chapelet en famille».
La réponse des citoyens est inespérée. Chaque soir, des familles complètes s’agenouillent devant le «transistor» afin de réciter le chapelet. L’émission connaîtra un succès énorme et demeurera en ondes pendant de nombreuses années. Le 9 décembre 1950, «Le Devoir» révèle que 154 487 familles, soit 65 % de la population totale du diocèse, se sont engagées à réciter quotidiennement le chapelet. En l’espace de deux mois, la station reçoit plus de 1 000 lettres de félicitations, dont une centaine par semaine adressées à l’archevêque. Lors de la célébration du premier anniversaire de la récitation du chapelet en ondes, plus de 10 000 personnes se rendent à la place d’Armes pour la cérémonie.
C’est à l’instigation de l’archevêque de Montréal, Mgr Paul-Émile Léger , que Ferdinand Biondi, directeur des programmes à la station de radio CKAC, accepte de créer l’émission quotidienne le «Chapelet en famille».
La réponse des citoyens est inespérée. Chaque soir, des familles complètes s’agenouillent devant le «transistor» afin de réciter le chapelet. L’émission connaîtra un succès énorme et demeurera en ondes pendant de nombreuses années. Le 9 décembre 1950, «Le Devoir» révèle que 154 487 familles, soit 65 % de la population totale du diocèse, se sont engagées à réciter quotidiennement le chapelet. En l’espace de deux mois, la station reçoit plus de 1 000 lettres de félicitations, dont une centaine par semaine adressées à l’archevêque. Lors de la célébration du premier anniversaire de la récitation du chapelet en ondes, plus de 10 000 personnes se rendent à la place d’Armes pour la cérémonie.
En complément: Micheline Lachance, Paul-Émile Léger: Le prince de l’Église, Montréal, Les éditions de l’homme, 2000, p.137-139. Crédits pour la photo: Année: 1957. Auteur: Inconnu. Référence: Le Mémorial du Québec, Tome V, 1918-1938, Montréal, Société des Éditions du Mémorial, 1980.
Bienvenue chers Bourdeau! Sur ce site, la parenté de Julia et Médard pourra partager photos, documents et témoignages à propos de moments qui ont marqués la famille Bourdeau. Je vous encourage à publier tout ce que vous avez dans vos fonds de tiroirs et à commenter et partager avec nous vos anecdotes du temps passé Merci à tous ceux et celles qui ont contribué! Questions, commentaires: poufboum@hotmail.com
LE CHAPELET EN FAMILLE
Au début des années 1950, la radio de CKAC diffuse une nouvelle émission hebdomadaire:
LE CHAPELET EN FAMILLE.
Lorsque Paul-Émile Léger est nommé archevêque, c’est tous les soirs, qu’il récite le rosaire.
Et il n’est pas seul, les Canadiens français catholiques l’accompagnent…dont Linda!
Je me rappelle des étés que je passais avec les grands-
parents. Peu importe ce que l’on faisait, à 19h00 c’était l’heure du chapelet. Nous rentrions en silence et nous agenouillions sur les chaises de bois. Une fois, j’ai décidé de m’asseoir à la deuxième dizaine, comme grand-maman le faisait. Au moment que j’ai bougé, voilà la main de grand-papa qui soulève mon « petit cul » en entier et me replace à genoux sur ma chaise. Il m’informe que la journée que je serai aussi vieille et sage que grand-maman, je pourrai réciter le rosaire assise, pas avant. Je n’ai jamais répéter cette gaffe.
Linda King
fille de Thérèse
Pour réciter un rosaire, il faut savoir égréner le chapelet.
On enchaîne le Notre Père, les Je vous salue Marie et le Gloire au Père selon un rituel précis.Le chapelet instauré des Catholiques de Rome par tout dans le monde.
Chaque grain du chapelet équivaut à une prière récitée.
Voici un exemple de ce que récitaient
les catholiques tous les soirs à 19h.
L’émission, qui durait
15 minutes chaque jour,
a été retirée des ondes en 1970.
Cette photo prise a L’île Pereault le camp des Marronniers ou se rassemblé les orphelins affin de pratiqué des sport la pêche et se reposer a faire de la rame et autres sport Je suis assise avec Mme Sylvain Laflèche et son mari au soleil le vent .
La photo en noir et blanc en 1960 toute la famille Laflèche ses enfants et des orphelins comme moi qui se réunis durant les fête de Noel.
Le Berceau des anges filme sans sensationnaliste faux Histoire une partie est vraie . Du Génocide des enfants nées hors mariage sans la permission de la religion Catholique du Québec sous le règne du Prince Cardinal Léger Montréal.
Dépôt d’un recours collectif par les «orphelins de Duplessis»
Nul ne doit ignoré le massacres des Orphelins de Duplessis
[29 mai 1992]
Un groupe d’hommes et de femmes inscrivent un recours collectif de 400 millions de dollars pour avoir été faussement étiquetés comme «débiles mentaux» au cours des années 40 et 50. Ces «orphelins de Duplessis» affirment également avoir subi des sévices psychologiques, physiques et sexuels pendant leur enfance dans des orphelinats du Québec.
L’expression «orphelins de Duplessis» vient du fait que, pour la plupart, ces gens ont fait leur séjour dans des orphelinats ou des crèches pendant que le Québec était gouverné par l’Union nationale deMaurice Duplessis(1936-39, 1944-1959). Leurs accusations s’adressent cependant également à l’endroit des communautés religieuses qui géraient les institutions dans lesquelles ils sont demeurés. La cause des «orphelins» défraiera les manchettes pendant encore plusieurs années avant que le gouvernement québécois ne leur offre une forme de compensation monétaire en 1999.
Période : 1948 – 2001
Orphelins de Duplessis, enfants d’asiles
Sous le règne de Duplessis, des enfants illégitimes sont étiquetés comme malades mentaux et internés dans des asiles. Ces « enfants du péché » sont victimes d’une manœuvre du gouvernement Duplessis afin d’obtenir des subventions fédérales. Au début des années 1990, les orphelins se mobilisent et réclament justice et réparation. Ils mènent un combat inégal pour sortir de l’amnésie collective qu’a longtemps entretenu la société québécoise à leur égard. Ils veulent enfin sortir de l’anonymat, de la honte…
Les orphelins se mobilisent
Date de diffusion : 24 janvier 1993
En 1993, le Comité des orphelins et orphelines institutionnalisés de Duplessis (COOID) engage un recours collectif afin d’obtenir réparation de la part du gouvernement du Québec et des communautés religieuses responsables des hôpitaux psychiatriques. Créée en 1992, cette association est chargée de « revendiquer pour des milliers d’orphelins sans voix leur dignité et leurs droits et d’exiger que justice leur soit rendue ». Le juge André Denis de la Cour supérieure rejette ce premier recours collectif des orphelins.
Les enfants illégitimes internés au Mont-Providence après 1955 grandissent dans un asile. Les contacts avec le monde extérieur sont presque inexistants : les grillages aux fenêtres et les clôtures qui entourent l’édifice attestent de cet enfermement.
Les enfants y côtoient arriérés mentaux et malades de tous acabits. Les orphelins travaillent régulièrement dans l’institution. Plusieurs enfants sont soumis à des traitements destinés aux malades mentaux : électrochocs, injections, camisole de force, cachot. Deux heures de classe par jour sont données par les religieuses aux enfants « éducables ».
En 1962, une commission d’enquête connue sous le nom de commission Bédard se penche sur la situation des hôpitaux psychiatriques dans la province de Québec. Le rapport révèle que les asiles sont surpeuplés et que la classification des « malades mentaux » est effectuée sans fondement scientifique. Les psychiatres responsables du rapport, dont le docteur Denis Lazure, critiquent âprement le système asilaire.
Peu après le dépôt du rapport, un mouvement de désinstitutionnalisation est amorcé : les orphelins internés, devenus des adultes, retrouvent leur liberté. D’autres n’ont pas attendu et se sont évadés des hôpitaux psychiatriques pour tenter de s’intégrer à une société qui leur est inconnue.
La Corruption, magouille,tricherie, complot etc je me souviens Hervé Bertrand défenseur des survivants victimes du Génocide cachée du Canada et du Québec les deux complices .
Mise à jour le dimanche 21 juillet 2002, 18 h 31 .
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Rendez-vous à Toronto
« Chers amis, le pape âgé, comptant de nombreuses années derrière lui mais toujours jeune de coeur, répond à votre demande de bonheur avec des mots qui ne sont pas les siens. Ce sont des mots vieux de 2000 ans. […]. Vous découvrirez la voie du pardon et de la réconciliation dans un monde où règnent souvent la violence et la terreur. »
Jean-Paul II, lors de l’ouverture officielle de la JMJ, le 25 juillet 2002,
devant une foule de quelque 400 000 personnes
Le rendez-vous était lancé : la Ville reine attendait Jean-Paul II; il est arrivé le 23 juillet, pour son troisième périple au Canada, afin de présider la XVIIe Journée mondiale de la jeunesse, à laquelle étaient inscrites quelque 200 000 personnes, un nombre inférieur aux prévisions. C’est dans la ville la plus cosmopolite du Canada, dans une Amérique du Nord moins pieuse que les autres continents, que se tenait la première rencontre du genre dans un contexte « post 11 septembre » et après l’éclatement au grand jour de scandales sexuels qui ont secoué l’Église.
« Toronto, métropole à vocation cosmopolite, est prête à devenir pour une semaine la capitale mondiale de la jeunesse, le futur et l’espoir de l’Église et de l’humanité. »
Jean-Paul II (21 juillet 2002)
« Nous anticipons vivement le plaisir de dérouler le tapis rouge pour la visite de centaines de milliers de jeunes de toutes les régions du monde. Nous sommes sincèrement reconnaissants à l’égard de Sa Sainteté le pape Jean-Paul II, qui a bien voulu accorder cet honneur prestigieux à Toronto. »
Mike Harris, alors premier ministre de l’Ontario (août 2000)
Lors de ses voyages précédents en sol canadien, Jean-Paul II débordait de vitalité et avait le regard pétillant. Nombreux étaient ceux qui se demandaient quel contact nouerait ce pape, aujourd’hui fragile et fatigué, avec les jeunes. À en croire la réaction des jeunes devant leur aîné, il n’a pas déçu leurs attentes.
« Les jeunes, avec leur don d’intelligence et de cœur, sont l’avenir du monde. Ils portent aussi les marques d’une humanité qui, trop souvent, ne connaît ni
la paix ni la justice. »
Jean-Paul II, à son arrivée au Canada, le 23 juillet 2002
« Jean-Paul II, nous t’aimons », ont scandé plusieurs pèlerins lors de l’ouverture officielle de la JMJ.
Le pape, qui a démontré une vigueur surprenante malgré son état de santé, était présent lors de l’ouverture officielle de la JMJ, le 25 juillet, puis a également participé à la veillée de prières du samedi, qui a réuni un demi-million de pèlerins, au parc Downsview, situé à une dizaine de kilomètres du centre-ville de Toronto. Jean-Paul II a aussi célébré la messe devant 800 000 personnes lors de la dernière journée de ce rendez-vous, qui se préparait depuis plusieurs mois. Pour la première fois devant une foule, Jean-Paul II a exprimé un « sentiment de tristesse et de honte » devant les actes de pédophilie commis par des prêtres. Mais son message a surtout porté sur l’engagement et la foi de ces « apôtres du troisième millénaire ».
« Vous êtes jeunes, le pape est âgé et un peu fatigué, mais le pape fait totalement siennes vos attentes et vos espérances. »
Jean-Paul II, lors de la messe de clôture, le 28 juillet 2002
« Le monde dont vous héritez est un monde qui a besoin d’être touché et guéri par la richesse de l’amour de Dieu. Le monde actuel a besoin de cet amour. Il a besoin que vous soyez le sel de la terre et la lumière du monde. »
Jean-Paul II, lors de la messe de clôture, le 28 juillet 2002
L’expérience des familles d’accueil
« De voir ces jeunes a été comme un souffle nouveau », confie Suzanne Fiset, qui fait partie des milliers de familles québécoises à avoir accueilli des pèlerins pendant quelques jours. Cette mère de famille se considère privilégiée d’avoir vécu une telle expérience. Accueillir deux jeunes Français « a été riche au niveau spirituel, bien sûr, mais aussi au niveau culturel et surtout humain ».
« Ils ont démontré une grande capacité d’amour, de partage, de respect, de curiosité sur notre pays, nos habitudes, notre peuple », enchaîne-t-elle. Ils ne sont pas des spécimens en voie de disparition, mais des jeunes déterminés à montrer leur foi, à le crier haut et fort et ils en sont très fiers. Ils sont vraiment beaux à voir! Un bel exemple pour nos enfants, un bel espoir pour un avenir meilleur », affirme cette croyante convaincue.
Un moment qui l’a marquée ? « Le rassemblement au stade olympique, où 35 000 jeunes étaient réunis, a été une belle façon de se sentir unis avec des gens de différents pays dans une même foi », se remémore-t-elle.« C’était magique ! Voir tous ces jeunes qui sont si croyants a été la preuve que Dieu est bien vivant parmi nous. » Réitérerait-elle l’expérience ? « Nous le referions n’importe quand ! », assure cette Lavalloise, qui entend bien rester en contact avec ses hôtes.
Une tradition annuelle
Thème cher à Jean-Paul II, la jeunesse a toujours été au centre de ses préoccupations, comme en témoignent de nombreux écrits et discours. Cet ancien enseignant qui aime le contact avec les jeunes a d’ailleurs multiplié les occasions de les rencontrer. En 1984, ils sont 350 000 à participer au Jubilé des jeunes, célébré à Rome dans le cadre de l’Année sainte de la rédemption. Un an plus tard, 250 000 jeunes se rassemblent à Rome à l’occasion de l’Année internationale de la jeunesse proclamée par l’ONU. Dans la foulée de ces deux événements, le pape lance l’idée d’une Journée mondiale de la jeunesse, qui réunit chaque année des catholiques de 18 à 35 ans, originaires de tous les continents, dans une grande célébration de la foi catholique.
« Ce sera une rencontre de prière, de partage, de dialogue, de joie. En un mot, une rencontre de vérité et de vie qui obtienne pour chacun et pour tous une paix agissante. Une rencontre qui vous rende constructeurs de formes de vie nouvelle plus expressives de l’homme de demain qui est déjà préfiguré sur vos visages. »
Jean-Paul II
En 1995, la Journée mondiale de la jeunesse a réuni trois millions de jeunes, la plus grande foule du pontificat de Jean-Paul II.
La tenue des JMJ a pour but de valoriser les jeunes, d’offrir une mondialisation au visage humain et de valoriser la solidarité et l’accueil des autres cultures. Célébrées le jour de la fête des Rameaux, elles sont célébrées chaque année dans les diocèses, le pape célébrant alors les Journées mondiales de la Jeunesse à Rome. Une fois par deux ans, cependant, l’événement prend une envergure internationale, se déroulant sur un autre continent que la fois précédente. L’événement s’articule autour d’un thème de réflexion proposé par le pape. À chacune de ces rencontres, le pape livre un message qui valorise l’amour, la solidarité, la jeunesse et le dynamisme.
Le prochain rendez-vous des jeunes catholiques se déroulera à Cologne, en Allemagne, en 2005, rompant ainsi avec la coutume de tenir un événement d’envergure internationale tous les deux ans.
Je n’avais jamais vu autant de jeunes répondre avec autant de joie et de dynamisme ! », se rappelle Marie-Christianne Hubert, qui n’en est pas à sa première Journée mondiale de la jeunesse.
Aujourd’hui coordonnatrice pour la région centre du diocèse de Montréal, elle était à Rome, au grand rassemblement du Jubilé de l’an 2000, en tant que participante. « Même s’il y avait des différences culturelles avec les jeunes des autres pays, j’ai découvert que la foi est universelle, que les vécus et les valeurs se ressemblent »,
a-t-elle constaté.
« Ça a renforcé mon engagement chrétien », dit celle qui a manifestement été changée par cet événement. Au point d’abandonner sa carrière dans une institution bancaire.
Plusieurs doutaient de la venue de Jean-Paul II à Toronto. Pas elle. Elle admire cet homme qui souffre, atteint entre autres de la maladie de Parkinson. « C’est un homme fatigué, malade, mais exemplaire. On se sent souvent à terre pour une migraine. Lui continue de travailler et d’assumer ses lourdes responsabilités. Il est fort et faible à la fois. C’est un tough ! », conclut-elle.
Jean-Paul II lors de la Journée
mondiale de la jeunesse de 2001
Villes hôtes des Journées
mondiales de la jeunesse :
1986 : Rome (Italie)
1987 : Buenos Aires (Argentine)
1988 : Rome (Italie) et autres villes
1989 : Saint-Jacques-de-Compostelle (Espagne)
1990 : Rome (Italie) et autres villes
1991 : Czestochowa (Pologne)
1992 : Rome (Italie) et autres villes
1993 : Denver (États-Unis)
1994 : Rome (Italie) et autres villes
1995 : Manille (Philippines)
1996 : Rome (Italie) et autres villes
1997 : Paris (France)
1998 : Rome (Italie) et autres villes
1999 : Rome (Italie) et autres villes
2000 : Rome (Italie)
2001 : Rome (Italie) et autres villes
2002 : Toronto (Canada)
2018 Vatican Rome (Italie) Justin Trudeau Demande des Excuses pour les autochtones
Une vingtaine de membres du regroupement des Orphelins de Duplessis ont profité de la Grande Messe des nations, au parc du Mont-Royal, à Montréal, pour sensibiliser à leur cause les jeunes qui vont participer à la Journée mondiale de la jeunesse.
Les manifestants distribuaient notamment de la documentation décrivant ce qu’ils ont vécu et dénonçant le clergé et le gouvernement du Québec.
Les Orphelins de Duplessis affirment avoir subi des abus sexuels et physiques de la part du clergé au cours des années 1940 et 1950. Ils réclament toujours des excuses de l’Église catholique. Ils se joindront à d’autres manifestants, à Toronto, pour faire passer leur message à Jean-Paul II, même si leur demande pour le rencontrer personnellement a été refusée.
JMJ : plus de 30 000 jeunes pèlerins au spectacle de Montréal
Mise à jour le lundi 22 juillet 2002, 17 h 27 .
L’atmosphère dans le stade était à la fête.
Plus de 30 000 jeunes pèlerins se sont rassemblés dimanche soir au Stade olympique de Montréal pour le grand spectacle qui marquait la fin des festivités montréalaises de la Journée mondiale de la jeunesse et le grand départ vers Toronto.
Le spectacle, qui mettait en vedette plusieurs artistes, dont Dubmatique, Mario Pelchat, Mélanie Renaud et Florent Volant, avait un caractère plus spirituel que religieux.
À Québec
Environ 23 000 personnes ont assisté samedi au spectacle «Toutes les voix du monde» à Québec, dont quelque 8000 jeunes pèlerins venus de divers pays du monde pour la Journée mondiale de la jeunesse de Toronto. Parmi les artistes qui se sont produits, on compte Luck Mervil, Richard Small, Nathalie Byrns ainsi que des chanteurs et des groupes originaires d’Afrique, d’Amérique latine et de Chine. Grégory Charles et ses Petits chanteurs de Laval ont offert une formidable prestation au public avec un gospel inspiré.
Différentes cultures étaient représentées.
À l’origine, on attendait 60 000 personnes, mais depuis le début des festivités autour des JMJ, les organisateurs ont dû constater que l’affluence est moindre que ce qui était prévu. Alors que 1,5 million de personnes avaient participé à ce rassemblement à Rome en 2000, on attend environ 350 000 à 500 000 pèlerins à Toronto.
Jean-Paul II confirme son arrivée mardi
De Castel Gandolfo, en Italie, le pape Jean-Paul II a salué les pèlerins qui convergent vers le Canada pour la JMJ dont les principales activités se dérouleront entre le 23 et 28 juillet. Le Saint-Père, 82 ans, a assuré qu’il arriverait à Toronto ce mardi, alors que sa santé chancelante fait toujours craindre le pire aux autorités catholiques. Le pape est d’ailleurs apparu le visage marqué par la douleur et le dos très voûté.
Hymne National des révérende Sœurs de la Charité de la Providence.
Hymne des Sœurs de la Charité de la Providence Parole
Hymne National des révérende Sœurs de la Charité de la Providence enbanner
En novembre 1997, l’honorable A. Anne McLellan, ministre de la justice, a chargé la Commission du droit du Canada de produire un rapport sur les moyens de réparer les sévices physiques et sexuels infligés à des enfants placés dans des établissements dirigés, financés ou parrainés par l’État, qu’il s’agisse d’internats pour enfants
, d’écoles pour aveugles et sourds, de centre de formation ou d’établissements de soins de santé mentale à long terme.–
Ottawa versera 800 millions à des autochtones lésés durant la «rafle des années 1960»
Des milliers d’enfants enlevés à leur famille ont été donnés à des familles non autochtones
Le gouvernement fédéral annoncera ce vendredi une entente avec des autochtones victimes de la « rafle des années 1960 ». Il confirmera alors le versement de compensations totalisant plusieurs centaines de millions de dollars, a appris Le Devoir.
L’entente, qui sera dévoilée par la ministre des Relations Couronne-Autochtones et des Affaires du Nord, Carolyn Bennett, toucherait environ 20 000 victimes.
Durant les années 1960, des milliers d’enfants autochtones à travers tout le pays ont été enlevés à leur famille pour être placés dans des familles adoptives ou d’accueil non autochtones, en vertu d’une politique gouvernementale. Certains jeunes avaient même été « vendus » à des familles à l’étranger.
La Presse canadienne a rapporté jeudi que l’entente vise à régler 18 poursuites intentées pour les torts subis par ces jeunes. Elle inclurait un paiement allant de 25 000 $ à 50 000 $ pour chaque plaignant, pour une somme maximale totale de 750 millions.
La cause la plus connue — la seule à avoir été autorisée pour une action collective — est celle intentée par Marcia Brown Martel en Ontario. En février dernier, un juge avait donné raison au recours de Mme Brown Martel, dans un jugement sans précédent. Le juge Edward Belobaba soulignait que le Canada avait « manqué à son obligation de diligence » envers ces enfants.
Jeffery Wilson, l’un des avocats de Mme Brown Martel, avait affirmé que l’action collective, qui réclamait 1,3 milliard au nom de 16 000 plaignants, était la première à reconnaître l’importance de l’héritage culturel d’une personne et des séquelles durables de sa perte.
Une source a affirmé à La Presse canadienne que certains aspects des multiples poursuites pourraient ne pas être résolus par l’entente, mais a qualifié l’annonce prévue vendredi de « pas significatif » vers la résolution de l’enjeu de la « rafle des années 1960 », qui s’inscrit dans la promesse du gouvernement libéral de Justin Trudeau de faire de la réconciliation avec les autochtones une priorité.
L’entente dévoilée vendredi prévoirait cependant 50 millions de plus pour créer une fondation vouée au processus de guérison des autochtones, une demande clé de Mme Brown Martel.
Jeudi, des porte-parole de la ministre Bennett et les plaignants ont seulement voulu confirmer qu’une annonce était prévue vendredi.
« Étant donné que les négociations sont en cours et confidentielles, nous ne pouvons fournir d’autres informations en ce moment », a indiqué par voie de communiqué le bureau de la ministre Bennett, ajoutant que les parties avaient convenu de travailler dans l’objectif d’une résolution globale et que les discussions se poursuivaient.
Le chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, Ghislain Picard, estime que cette compensation est nécessaire dans le processus de réconciliation.
« L’entente qui sera annoncée, c’est une compensation, c’est sans doute très peu d’argent lorsqu’on réalise tous les torts que ces rafles ont causés. L’argent ne remplacera pas le lien qu’on a coupé à ces milliers d’enfants », souligne M. Picard.
Le chef rappelle que deux ans se sont écoulés depuis que le Manitoba est devenu la première province à offrir des excuses officielles aux victimes de ces enlèvements massifs, en juin 2015.
« Ce sont des milliers d’enfants qui ont été touchés par ces rafles-là. Ils ont été retirés de leur famille et privés de leur identité culturelle pendant des années. C’était draconien. Le but, c’était de couper le lien de l’enfant avec sa communauté d’origine », mentionne-t-il.
Hervé Bertrand Yvette Gascon André Martelli Gaston Séguin
Alfred Malette Bernardin Rousseau Kurt Macdonal
Henri Barnabé Claude Bertrand Léo Éric
Martin Hurtubiese Joseph louis Hébert Nicole Johanette
Lionel Lambert Sylvio Albert Day Denis Lecoq
Pierre Bélanger Joseph martin Alice Quinton
Francine Deslongchamps Vincent Devilliers Myriam Kelly
Yvette Gascon Jacques Roger
Lucien G Landry William Gould Paul St Aubin
Henri Barnabé Émile Quenville
Description Photos de chacun des Orphelins et Orphelines de Duplessis, se sont encore aujourd’hui flouer par le Gouvernement du Québec qui a effacer les trois autres responsables des crimes commit dans les institutions Canadienne et Québécoise.