Pédophiles des Prêtres

Le pape Lulu a donné raison à  l’assemblée nationale du Québec  des demis excuses pour les orphelins (es) de Duplessis des compliments pour les religieuses car ce sont ses clientes depuis belle lurette .

Allez travailler bande de paresseux !

Allez travailler bande de paresseux !

LES PRÊTRES PÉDOPHILES
Recopilation d’articles de presse de diverses sources

Les scandales de prêtres pédophiles accusés par leurs victimes d’abus sexuels se suivent et ne se ressemblent pas. De plus en plus fréquents, ils éclatent au grand jour. Semaine après semaine, de nouveaux cas arrivent devant les tribunaux, et ce n’est pas fini…
Les publications dans les quotidiens et sur internet ne sont que la partie émergée de l’iceberg.
Mais non moins scandaleux est l’acharnement de l’Église pour étouffer ces affaires, cacher et protéger ses ministres déviants. La bête, n’arrivant plus à cacher ses vices immondes, a choisi de les exhiber au grand jour en les dénonçant elle-même. Instinct de survie?

> Les directives secrètes du Vatican pour protéger les prêtres pédophiles

Scandale après scandale, l’Eglise catholique s’enfonce à chaque fois un peu plus dans le mensonge et l’ignominie. Les affaires de pédophilie ont révélé depuis quelques années les travers d’une institution qui impose le célibat et la chasteté à ses membres en vertu d’un ordre moral castrateur. Début août 2003, la chaîne de télévision états-unienne CBS a révélé l’existence d’un rapport daté de 1962 destiné à protéger les prêtres pédophiles. Rédigé par le cardinal Alfredo Ottaviani, le document promettait l’excommunication aux personnes qui dévoileraient ces affaires. La responsabilité de ce rapport incombe aux plus hautes sphères du Vatican comme il y a été conservé dans ses archives et qu’il fut probablement approuvé par Jean XXIII.
La pédophilie des prêtres est qualifiée de «pire des crimes» et on mesure mieux le sordide de leur existence quand sont spécifiés avec précision les actes à dissimuler : «l’agression sexuelle commise par un prêtre» ainsi que «la tentative d’agression à l’encontre de jeunes des deux sexes ou avec des animaux». Quelle autorité morale accorder à cette institution quand ses représentants en sont réduits à de telles monstruosités ?
Le secret est imposé aussi bien au coupable comme à la victime, l’un comme l’autre devant «promettre solennellement d’observer sans faute le secret sous peine d’excommunication», le silence étant tenu au nom du Saint Office. Ordre est intimé aux évêques de mener leur enquête «avec le plus grand secret» et «dans un silence perpétuel». […]
Le rapport a été utilisé jusqu’en 2002, date à laquelle d’autres directives ont été données par une Eglise catholique apparaissant de plus en plus comme une mafia qui protège l’ignoble au détriment de la justice et des centaines de victimes.
Mais l’affaire ne s’est pas limitée aux Etats Unis d’Amérique en vertu de l’étendue planétaire des ingérences papales. Quelques jours après la révélation de CBS, les médias anglais se sont fait, eux aussi, l’écho d’un scandale similaire au sein du royaume anglican. Le document diffusé par le Vatican en 1962 avait, en fait, été transmis à tous les evêques de la planète. Il n’est donc pas douteux qu’une traduction française puisse être exhumée d’un des multiples évêchés de notre pays…

Rappelons que le crucifix jugé patrimonial par le gouvernement québécois, n’a fait son apparition au Parlement qu’en 1936, pour souligner l’alliance étroite entre l’Église et l’État. Comme l’a si justement souligné Mme Martineau «L’Assemblée nationale a été fondée en 1792 par le parlement du Bas-Canada, mais le crucifix est arrivé avec Maurice Duplessis et on a appelé ça la période de la grande noirceur».

crucifix 1887

En 1887 il n’y avait aucun crucifix à l’assemblée Nationale du Québec 

De la grande noirceur à la grande obscurité

Pour éviter que le Québec ne passe de la grande noirceur à la grande obscurité, le gouvernement a le devoir de s’assurer que l’État est vraiment laïque en retirant cet objet religieux de l’assemblée Nationale pour le rentrer là où il doit être, c’est à dire au musée !

Pierre Allard, le blogue: août 2013

Assez, c’est assez !

Quand j’étais petit, à l’école qui était alors catholique,

On nous faisait réciter des prières, on écrivait JMJ (Jésus-Marie-Joseph) dans les marges de nos cahiers, l’image d’un petit ange
Ornait nos bons devoirs, un prêtre venait nous sermonner régulièrement, on nous emmenait à l’église paroissiale pour la confession ou la messe, et on nous embrigadait dans toutes sortes d’organisations à caractère religieux.
Voir la médaille fabriqué par les religieuses pour les filles et garçon que le diable ne rentre pas dans leur corps.