Le berceau des faux anges manipulé par nos gouvernements
La vrais vérité donc le créateur va s’occuper de ces hommes sans cœur qui a fermer les yeux sur ces enfants sur le territoire Canadien et Québécoise.
Apprenez l’histoire du Canada de 1950 à 1960 Santé Canada.
Paul James Martin est le premier qui a participé au massacre des enfants née hors mariage sans le consentement de l’église catholique du diocèse de Montréal et de Québec
Les révérendes Sœurs de la Charité de la Providence avait évidement compter des mensonges pour avoir des subventions, pour comblé idéologie de la révérende Sœurs
Émilie Gamelin la fondatrice de la Providence mais c’tait toute une providence pour ces enfants les envoyer à la battoire pour une question d’argent encore aujourd’hui les victimes se sont fait avoir avec les quatre criminel de notre société qui eu sont des décideurs des victimes aux parlement et en justice ont le dernier mot a dire comme celle des victimes ont reçu un gifle en plein visage (Ont ne porteras pas les 221 plaintes des orphelins de Duplessis devant les tribunaux ,même si l’enquêtes n’est pas finit la magouille c’est installer un autres fois faite un autres commissions Charbonneau au plut vite.)
pour les écraser comme des coquerelles .Elles sont riches elle ont sortie le mot charité de l’enregistrent au départ a Rome .Elles ont un patrimoine enviables a n’importe quel industrie nord américaines .
Durant les années 50 le Canada participait dans les décisions des provinces a ce qui attrais a la Santé sous forme de subvention elle même donnait l’approbation des médicaments sur le marché Canadien. Joseph James Paul Martin
Joseph James Guillaume Paul Martin, (June 23, 1903 – September 14, 1992), often referred to as Paul Martin, Sr, was a noted Canadian politician. He was the father of Paul Martin (Jr.), who served as Prime Minister of Canada from 2003 – 2006. je vous dit que Le Ministre de la Santé Canada a l’occurrence Joseph Paul Martin Ministre Santé Canada à envoyez a la battoire comme Hitler a fait avec les allemand dans les années 1940 à 1944 et aucune excuses des ces éventement tout passe dans beurre sans personnes soit punis quel pays démocratique et ont veux donner des leçon a d’autres pays.
Le premier criminel dans notre dossier qui occupe les orphelins (es) Il a en voyer des enfants née hors mariage (Bâtard) A la Battoirs le 18 mars 1954 au Mont Providence
Paul martin suit les trace de sont père au même ministère de Santé Canada
je vous envoie une preuve pour ma demande de ma destruction final de mon dosser médical erroné signé de bonne fois par Bernard Piché psychiatre. Dans la belle province de Québec et au Canada , ont laisser maltraiter des enfants née hors mariage sans le consentement des deux diocèse de Montréal et de Québec sans que personnes soit punis pour les fautes commissent.
A cause du criminel en cravate licencié du Santé Canada un des responsables
des faux diagnostics des enfants née hors mariage sur sont territoire Canadienne
Le financement fédéral de la de la santé : faits saillants
1957 – La Loi sur l’assurance-hospitalisation et les services diagnostiques, adoptée par le gouvernement fédéral (Paul Martin père). Le gouvernement fédéral proposait de partager les coûts des services hospitaliers et diagnostiques avec les provinces, de manière à peu près égale.
1966 – Le gouvernement fédéral de Lester B. Pearson met sur pied le Régime d’assistance publique du Canada (RAPC) sur partage des coûts des services d’assistance sociale, mais aussi sur les coûts de certains services de santé dont ont besoin les assistés sociaux (médicaments d’ordonnance, soins dentaires et ophtalmologiques).
La Loi sur les soins médicaux du gouvernement fédéral est adoptée; le gouvernement s’engage à assumer 50 % des coûts des régimes d’assurance-maladie provinciaux et territoriaux. Quatre conditions : administration publique, transportabilité, universalité et intégralité.
1977 – Le gouvernement libéral de Pierre Elliott Trudeau se retire de l’entente 50/50 du partage des frais et la remplace par un financement global (FPE) qui combine les transferts fédéraux destinés aux services hospitaliers et aux soins médicaux et les transferts destinés à l’éducation post secondaire.
1984 – Adoption de la Loi canadienne sur la santé, combinant les lois sur l’assurance-maladie et l’assurance-hospitalisation, établissant les conditions et les critères de paiement des transferts fédéraux au respect des principes de transportabilité, d’accessibilité, d’universalité, d’intégralité et de gestion publique et interdisant les frais modérateurs et la surfacturation.
1983-1984 et 1984-1985 – Modification du facteur de progression du FPE en vue de réduire le déficit fédéral.
1986 – Baisse du taux de croissance des paiements de transfert fédéraux.
De 1986-1987 à 1989-1990 – Réduction de 2 % du facteur de progression utilisé pour calculer les droits totaux au titre du FPE.
De 1989 à 1994 – Baisses des paiements de transfert fédéraux.
L’ONU jamais intervenir dans le Génocide, le massacre , la corruption des Gouvernements du canada et du Québec quel injustices pour les victimes.
our se sortir du pétrin, les soeurs ont accepté, sous les conseils du cardinal Léger, de dire qu’il s’agissait d’un hôpital. Ce transfert est une erreur. Le cardinal Léger a été mêlé à ça. Il a eu des pressions du gouvernement et il a convaincu les soeurs de régler.»Cardinal Jean-Claude Turcotte, Mgr Turcotte défend les soeurs, La Presse, 20 février 1999, p.A-6
«On les a forcées. C’était le ministre Paquette, à l’époque, qui a pris la décision contre l’avis des religieuses. A ce moment-là, il s’en allait vers la faillite». Cardinal Jean-Claude Turcotte, Maisonneuve à l’écoute, RDI, 15 septembre 1999 |
«Nous vous sommes très reconnaissantes, Eminence, de la part active que vous avez apportée à l’obtention précieuse qui assurera la survie de notre oeuvre de la Rivière-des-Prairies.»
Lettre de l’Assistante générale au Cardinal Léger, 24 mai 1954, Archives des Soeurs de la Providence
«Dans une lettre circulaire adressée à toutes les religieuses, la Supérieure générale écrit que «sur l’avis de l’autorité ecclésiastique, il fut décidé, quoique avec un profond regret, de céder aux exigences des autorités gouvernementales». Les religieuses n’ont donc pas abdiqué devant les pressions gouvernementales; elles ont consenti aux volontés épiscopales.»
Sous la direction de Marie-Paule Malouin, L’Univers des enfants en difficulté, Montréal, Bellarmin, 1996, p.363.
«Un autre facteur, et non le moindre, est que les congrégations avaient le capital financier et humain nécessaire pour investir dans ces domaines. Elles avaient à leur disposition un personnel dévoué, obéissant et non némunéré. En tant que propriétaires du système, les congrégations avaient tous les pouvoirs de gestion sans devoir rendre des comptes à personne».
Paul Joseph James Martin comploteur.
Françoise Boudreau, De l’asile à la santé mentale, Editions Saint-Martin, 1984, p.54