Le berceau des faux anges pour diminuer les crime commit par nos deux Gouvernement les religieuses et les psychiatres du Québec.
Laisse a l’abandon pour le démolition.
Souvenir des filles abusés par des religieuses complicité du Gouvernement du Québec
qui ont fermer les yeux par une question d’argent.$$
13-Cimetière en Face de l’hôpital St-Julien .
Mémoire des filles qui vu des atrocités dans ce cimetière
https://www.youtube.com/watch?v=r96lM0gqE3A
Cimetière qui en a long a dire.
14-La psychiatrique et la charte des valeur ont fabriquer des malades mentaux au Québec qu’le société distincte.
Des orphelines de l’hôpital St Julien ont subit des atrocités dans cette institution à St Ferdinand ou Pauline GILL, a écrit sur Les enfants de Duplessis : L’histoire vraie d’Alice Quinton, orpheline enfermée dans un asile à l’âge de 7 ans , Montréal, Libre Expression, 1991, 271
Des enfants filles sans défense mener par des religieuses sans scrupule.
Horrible vie enlever par Les Valeur (Voleurs) de vie Québécoise dans la Charte.
15-Manifestation Attention de la Ministre Michelle Courchesne
Manifestation à Joliette attend La ministre Mme Michelle Courchesne
Et aussi Mme Clarina Duguay,Mme Myriam Kelly, et bien autres filles qui se battent aujourd’hui pour gagner leur dignité Humaine et avoir des vraie excuses des quatres responsables du massacre des enfants nés hors mariage.
Jean-François Dupuis Photographe
Pour beaucoup de gens, se reposer au bord de l’eau est une expérience de détente. Pour Clarina Duguay, cela inspire des souvenirs terrifiants de son enfance — des souvenirs si douloureux, que même plus de 50 ans plus tard, elle peut à peine trouver des mots pour les exprimer.
La douce et timide Mme Duguay, âgée de 65 ans, est l’une des infâmes Orphelins québécois de Duplessis, un groupe de plus de 5 000 enfants que les parents ont remis aux orphelinats catholiques pendant les années 40, 50 et 60, et à qui on avait promis une « bonne éducation pour leurs enfants ».
Au lieu de cela, les psychiatres les ont faussement déclarés mentalement malades ou sévèrement retardés et les ont entreposés dans des hôpitaux psychiatriques, permettant au gouvernement du Québec, dirigé par l’ancien Premier ministre Maurice Duplessis, de recevoir des primes du gouvernement fédéral pour leurs soins.
Jusqu’ici, les recherches sur les Orphelins de Duplessis se sont concentrées principalement sur les actions des représentants de l’Église Catholique qui ont administré les orphelinats et les hôpitaux psychiatriques
https://www.lafabriqueculturelle.tv/capsules/1051/hopital-saint-julien-asile-des-orphelins-duplessis
Québec (province). Orphelins de Duplessis. Scandale
- Orphelin de Duplessis désigne des personnes qui sont nés hors mariage et enlevés à leur mère et confiées à des institutions dans lesquelles on gardait les personnes abandonnées ; ces institutions étaient financées par le gouvernement du Québec, mais le gouvernement fédéral accordait des subventions plus élevées pour l’entretien des personnes déficientes mentales.
Afin de les rendre éligibles aux subventions fédérales plus élevées, le premier ministre Maurice Duplessis avait demandé aux médecins des orphelinats qui les hébergeaient d’émettre de faux diagnostics d’arriérés mentaux à leur endroit.
Voila pourquoi, on a appelé ces enfants les Orphelins de Duplessis.
En 1991, l’écrivain Bruno Roy découvre et révèle qu’il est l’un des «orphelins de Duplessis» ; monsieur Roy fonde l’Association des orphelins de Duplessis pour revendiquer des dédommagement pour cette fausseté et des compensations pour le mal que ces diagnostics leur ont causés. Cette association réussit à obtenir du gouvernement de Lucien Bouchard des excuses officielles pour les torts faits aux orphelins de Duplessis et une somme de 25 000 $ pour chacun d’eux. En échange de cette somme, les orphelins de Duplessis s’engageaient à ne pas poursuivre les communautés religieuses qui les avaient hébergés.
En 2012, 1 100 des victimes des faux diagnostics avaient reçu la compensation de 25 000 $ et 1 700 avaient reçu 15 000 $.
Dépôt d’un recours collectif par les «orphelins de Duplessis»
29 mai 1992
Un groupe d’hommes et de femmes inscrivent un recours collectif de 400 millions de dollars pour avoir été faussement étiquetés comme «débiles mentaux» au cours des années 40 et 50. Ces «orphelins de Duplessis» affirment également avoir subi des sévices psychologiques, physiques et sexuels pendant leur enfance dans des orphelinats du Québec.
L’expression «orphelins de Duplessis» vient du fait que, pour la plupart, ces gens ont fait leur séjour dans des orphelinats ou des crèches pendant que le Québec était gouverné par l’Union nationale de Maurice Duplessis (1936-39, 1944-1959). Leurs accusations s’adressent cependant également à l’endroit des communautés religieuses qui géraient les institutions dans lesquelles ils sont demeurés. La cause des «orphelins» défraiera les manchettes pendant encore plusieurs années avant que le gouvernement québécois ne leur offre une forme de compensation monétaire en 1999.