Ce n’est pas assez, disent les orphelins

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Clairina Duguay, elle aussi à l’hôpital Saint-Julien de 1947 à 1953, trouve «lamentables» les offres du premier ministre. «Après toutes les tortures et les souffrances que j’ai connues dans ma jeunesse, j’aurais souhaité un bon montant pour finir mes jours dans la dignité et la paix. C’est un coup de couteau dans le cur. Lucien Bouchard est un homme dur, froid et sans cu