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Les orphelins de Duplessis indemnisés par Québec

Mise en ligne le 7 nov. 2011  les victimes les survivant du Génocide perpétrée par nos deux Gouvernements menteur .


Les orphelins de Duplessis indemnisés par Québec.  Le 30 juin 2001, le Comité des orphelins de Duplessis accepte l’offre d’indemnisation du gouvernement Landry. Cette offre, nommée « Programme national de réconciliation », accorde en moyenne une somme de 25 000 $ par personne en dédommagement et met un terme au combat mené pendant plus de dix ans par les orphelins pour obtenir justice et réparation.
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La division et la tricherie et la complicité de plusieurs acteurs dans ce dossier qui trainait de long en large depuis dix ans.
Il a mit fin a cette saga. Mais sans aucune aide morale et vraie compensation n’ont pas donné justice et dignité aux victimes.
Fait en toute en vitesse décret le septième décret improviser du gouvernement en plus exclure les autres responsables du massacre des orphelins.
Pour fermer le dossier d’ailleurs Bruno Roy un des acteur principale avant de mourir dit: L’association des Orphelins de Duplessis
n’a plus sa raison d’être car les victimes orphelins (es) ont eu leur cheque ils sont été payé, alors fermons et tournons la page.
Et nous les orphelins nous continuerons a faire valoir nos droit qui non pas été respecter.

Le drame des religieuses

La Sauvegarde de l’enfance na rie fait pour ces petit érigé par des complice de la situation

La Sauvegarde de l’enfance n’est pas née subitement en 1943. Elle est issue d’un contexte social particulier, elle est le fruit d’efforts antérieurs, d’essais et d’erreurs. Comme ses consœurs de Montréal et de Trois-Rivières, elle est issue d’un service associé à la Crèche de la ville qui constitue son principal bassin de clients. Son incorporation lui permet de jouer un rôle certain dans le soutien de l’aide à l’enfance dans la ville de Québec pendant près de trente ans, alors qu’elle est le seul organisme à s’occuper de l’adoption des enfants «illégitimes». Elle n’hésitera pas, au cours de son mandat, à diversifier ses activités notamment en incorporant le Service de protection en 1948. La participation de l’abbé Germain à cette oeuvre est significative et prend son importance autant dans la structuration de la Sauvegarde de l’enfance que dans le développement de la propagande effectuée des années 1930 jusqu’aux années 1960, à des degrés toutefois variables. La Société d’adoption est à l’image de ses consœurs du Québec, seule sa promotion pour l’adoption semble teintée d’originalité, d’unicité. Cette originalité lui vient, sans contredit, de l’homme qui la façonna si longtemps, l’abbé Germain. L’homme et son «œuvre» se confondent et en viennent, la plupart du temps, à ne former qu’une seule voix. La Sauvegarde de l’enfance s’est donc donnée, au cours des années, une structure solide, des procédés et des méthodes de travail qui lui permirent d’affronter les problèmes qu’entraîne l’illégitimité. Elle s’est très tôt proposée, dès le début de son existence, d’attaquer le problème des naissances hors mariage à la base et d’éduquer la population afin d’éradiquer les comportements bafouant les codes moraux établis.

La prédominassions de la religion Catholique du diocèse de Montréal et de Québec.
Les valeurs Québécoise ont voler des milliers de vies aux enfants
nées hors mariages Sans le consentement de l’église catholique.
gouvernement du Québec dans le même lit depuis belle Lurette.

Le débordement des crèches sur le dos des mères qui n’ont pas eu la permission de l’église catholique du diocèse de Montréal et de Québec il y avait dans le Québec qu,ont ne trouve pas aujourd’hui des crèches Une dans des différente ville les plus grosse ville en avait plusieurs Montréal    Notre-Dame-de-Liesse et la crèche d’Youville

Érigé à une époque où le chemin de la Côte-de-Liesse n’était qu’un chemin de campagne et non l’autoroute que nous connaissons désormais, l’immeuble situé au 5935 de cette voie rapide n’est reconnu aujourd’hui que par une infime partie des montréalais. Évoquant de mauvais souvenirs pour certains, il est toutefois pour la majorité d’entre nous, un simple édifice en stucco se dressant au fond d’un vaste terrain de stationnement inutilisé.
À la suite de la découverte du corps d’un nourrisson mort gelé au bord de la rivière Saint-Pierre (aujourd’hui canalisée sous le Vieux-Montréal), Marguerite d’Youville, la fondatrice de la Congrégation des sœurs grises, décida de fonder, en 1754, une crèche destinée à recueillir les enfants abandonnés dans la maison-mère de la communauté, alors située dans le Vieux-Montréal.
Ayant déménagé en 1871 dans le nouvel édifice de la rue Guy, les locaux de la crèche se révèleront malheureusement trop exigus quelques décennies plus tard. L’oeuvre déménagea donc à Ville St-Laurent e 1925 dans un édifice conçu par l’architecte Alphonse Piché et dont les travaux de construction qui auront débuté en 1913 auront toutefois été interrompus de 1915 à 1923.
Voisin immédiat de la crèche et œuvre du même architecte, l’édifice de l’orphelinat Notre-Dame-de-Liesse, que l’on aperçoit à gauche sur la photo ci-haut, avait quant à lui été érigé un peu auparavant, entre 1912 et 1914. Coiffé d’une toiture de tuile espagnole, l’édifice, également sous la direction des soeurs grises, accueillera entre ses murs les orphelins de six ans et plus, la crèche étant réservée aux plus jeunes.
Alors que les nouveaux-nés laissés à l’institution étaient si nombreux à la création de l’oeuvre que l’on devait parfois les faire dormir dans des baignoires par manque de place, leur nombre diminuera considérablement lors de la seconde moitié du 20e siècle. Ainsi 712 enfants furent accueillis à la crèche en 1949 et il n’y en aura plus que 450 deux décennies plus tard. Les Enfants du Péché du diables des bâtards de la société
En mai 1970, lors de la grève des hôpitaux privés, 380 enfants de la crèche furent alors envoyés dans des familles d’accueil. Ne devant d’abord être qu’un lieu de passage, ces foyers deviendront par la suite un lieu de résidence permanente pour ces enfants. En fait, seulement un bambin retournera à la crèche, avant d’être récupéré par sa mère biologique peu de temps après.
N’hébergeant plus qu’une centaine d’enfants en 1972, la communauté des sœurs grises ainsi que le ministère des Affaires sociales en vinrent à la conclusion que l’œuvre de plus de 200 ans d’histoire devait fermer.
Vendu par les religieuses en 1974, l’ensemble de deux immeubles, que l’on avait d’abord songé à transformer en immeuble à logements et en hôtel, restera toutefois vacant jusqu’à la fin des années 1980.
Exposé aux vandales et aux intempéries pendant de nombreuses années, l’orphelinat, dont on ne garda que la structure extérieure, fut transformé en édifice à bureaux en 1989 tandis que la crèche, endommagée lors d’un incendie en 1982, fut démolie entre 1992 et 1994.
Désormais encerclé d’édifices industriels, l’ancien orphelinat devenu édifice à bureaux de prestige est encore une fois inoccupé, et ce depuis 1996. Pour quelles raisons ? Nul ne le sait. Étant le sujet de diverses histoires farfelues depuis de nombreuses années, cet édifice, dont les fenêtres à effet miroir empêchent les curieux d’en voir l’intérieur, connaîtrait-il enfin le sort que tant d’orphelins lui auraient souhaité ?

Crèche Saint-Vincent de Paul [1901-1972]

En 1901, les Sœurs du Bon-Pasteur fondent une crèche sur la rue St-Amable, l’Hospice de Bethléem, destinée aux enfants illégitimes dont ceux qui sont nés à l’Hospice de la Miséricorde. L’année suivante, l’œuvre des religieuses déménage à la même adresse que l’Hôpital de la Miséricorde. Puis, en 1908, elle se fixe définitivement sur le chemin Ste-Foy dans la propriété qu’un insigne bienfaiteur, M. L.A. Robitaille, a acquis de la succession Hethrington et a cédé à la communauté du Bon-Pasteur. Le 6 juillet 1908, 6 religieuses, 26 bonnes et 125 bébés déménagent de la rue Ferland au chemin Ste-Foy. C’est le 8 août de la même année que son nom devient Hospice Saint-Vincent de Paul, et, en 1915, le nom change de nouveau pour devenir, jusqu’en 1972, la Crèche Saint-Vincent de Paul.
À compter de l’année 1905, le Dr René Fortier y exerce son art acquis outre-mer, principalement en pédiatrie. À son décès, en 1929, le Dr Albert Jobin assure sa succession. La crèche progresse et se développe au fil des ans grâce à des dons, fruits des campagnes publicitaires, et aux subventions du gouvernement provincial. En 1924, un cours régulier post-universitaire en puériculture est inauguré, c’est un cours pour les futurs hygiénistes de la province. Vingt-quatre ans plus tard, en 1948, l’École de Puériculture est inaugurée grâce au docteur Donat Lapointe, qui occupe la direction médicale depuis 1937.
Au début des années 1930, les religieuses de la crèche cherchent à intensifier les adoptions des enfants. C’est ainsi que l’abbé Victorin Germain est appelé à s’occuper de cette œuvre particulière et devient le directeur du Service des Adoptions. Dès lors, diverses publicités encourageant l’adoption voient le jour et portent fruit, puis, en 1943, l’œuvre de Mgr Germain est désignée sous le nom légal de La Sauvegarde de l’Enfance. L’œuvre déménagera en mars 1949 au 43 de la rue d’Auteuil.

Les orphelins

En périphérie des questions de fond relatives aux naissances nombreuses, Suzanne Marchand s’intéresse aussi aux coutumes liées à la procréation. Elle parle notamment du sachet de sel placé dans les poches de pantalon des jeunes maris afin d’éloigner l’impuissance. Elle examine aussi le rituel qui consiste à lancer du riz et des confettis à la sortie des mariages, gestes censés eux aussi favoriser les naissances, tout comme la quête, le jour du mariage, réalisée dans une chaussure volée.

Si par malheur, malgré toutes ces précautions, l’enfant n’arrive pas à la suite des premiers ébats du couple, il existe plusieurs avenues possibles, notamment des ceintures électriques brevetées qui, grâce à un harnachement des testicules, promettent au patient de retrouver une vigueur perdue. Du moins en théorie.

Pour les couples qui, malgré tout, ne réussissent pas à avoir d’enfant, l’adoption est une avenue encouragée. D’ailleurs, les crèches sont remplies à pleine capacité. Elles permettent une triste régulation du flux des naissances illégitimes aux yeux de l’Église. À Montréal, à Québec et ailleurs, les filles mères y abandonnent leurs poupons par milliers. À Québec, la seule crèche du Saint-Vincent-de-Paul accueille 38 672 orphelins entre 1901 et 1972, dont une majorité de garçons, semble-t-il. Sur une photo de crèche datée de 1932 et reproduite dans le livre, on distingue parmi quinze bambins une petite fille noire au regard lointain, comme ses camarades d’infortune.

Adopter permet d’espérer une descendance et de s’assurer d’un «bâton de vieillesse». Ce n’est pas une affaire strictement désintéressée, explique Suzanne Marchand. En témoigne une expression courante: «Ce que je donne à cet enfant, il me le rendra au centuple.»

Cacher ces bébés

Cependant, la sexualité est frappée d’interdit. Même les vêtements de maternité sont vendus à titre d’obscures «merveilles de camouflage charmant pour future maman», selon le libellé d’une publicité d’époque.

Dans les années 1930, les médecins ne s’opposent toujours pas à l’utilisation de gaines et de corsets, proposés par dizaines dans les grands magasins, pour tenter de «corriger» les silhouettes des femmes enceintes. Cachez mesdames cet enfant qu’on ne saurait voir! «Et lorsqu’il devenait de plus en plus difficile de ne rien laisser paraître», explique Suzanne Marchand, les femmes «ne sortaient plus, pour ne pas choquer ou offenser leur entourage».

La naissance elle-même pose problème. Comment parler de cet enfant qui doit naître bientôt? On utilise des expressions comme «partir en famille», «attendre du nouveau» ou «attendre les Sauvages».

Les autres enfants de la famille ignorent d’ordinaire tout d’une naissance prochaine. Le langage se couvre d’une pudeur extrême, même lorsque vient le temps d’annoncer une naissance prochaine. On peut alors lire des phrases de ce genre que rapporte Suzanne Marchand: «Nous avons commandé une belle grosse poupée chez Eaton pour le printemps.» Comprenne qui pourra!

Suzanne Marchand a fouillé différents fonds d’archives. Elle a compulsé patiemment des résultats d’enquêtes, puis disséqué des autobiographies et des documents privés afin d’essayer de mieux comprendre les rapports entretenus par toute une société à l’égard des naissances. De tout cela a résulté une thèse de laquelle est issu ce livre, qui sent encore un peu le travail universitaire, mais qui se révèle néanmoins une lecture passionnante.

 

Appuis de taille aux orphelins de Duplessis

Les enfants manipulé par nos deux Gouvernements pour $$$$$$$$$ et des votes promesse d’élection envoie les enfants sur les terres en esclavages Duplessis a fait cela.

Rapportage dossier des orphelins de Duplessis troublant sur le Génocide de ces enfants.

Les médias la presse américaines sont intéresser au dossier des orphelins (es) du péché.
Jacques Hébert sénateur a Ottawa, Carlos Tarrini Agence presse, Bruno Roy Président des orphelins (es).

ORPHELINS DE DUPLESSIS appuis de Taille

 1er novembre

Politique de confidentialité – Site du premier ministre du Québec  

Gouvernement du Québec

ANNONCE D’UN COMITÉ D’APPUI POUR LA JUSTICE AUX ORPHELINS DE DUPLESSIS

Ses membres critiquent les positions du Gouvernement, de l’église et du Collège des médecins

C’est aujourd’hui, lors d’une conférence de presse au Centre Saint-Pierre, qu’on a annoncé l’appui de plusieurs personnalités et témoins du temps à la cause des orphelins de Duplessis. Leur but : que les victimes d’internement illégal dans des asiles psychiatriques obtiennent justice. Regroupés, sous le nom du «Comité d’appui pour la justice aux orphelins de Duplessis», une initiative du Dr Denis Lazure, ils ont apporté des preuves historiques qui ont permis de démontrer la validité des demandes d’indemnisation. Les membres, à ce jour, sont :

DENIS LAZURE – Médecin et citoyen – Biographie-Québec – LIVRES – Renaud-Bray.com – Livres

Médecin et citoyen - DENIS LAZURE

Dr Denis Lazure, psychiatre à l’hôpital Louis-H. Lafontaine. Il fut ministre de la Santé au Gouvernement du Québec, co-auteur en 1962 du Rapport de la Commission d’étude des hôpitaux psychiatriques. Dr Lazure a dit «Je suis déçu que mes anciens compagnons d’armes péquistes aient oublié leurs revendications faites en 1991 et 1992 en faveur des orphelins de Duplessis au gouvernement. Alors dans l’opposition, nous réclamions des excuses pour les victimes, une enquête publique et des compensations. De plus, il a déclaré, A l’époque, les dirigeants de l’Eglise étaient bien au courant de la situation ainsi que les médecins et le ministère de la Santé.»

Honorable. Jacques Hébert, ancien sénateur, un membre fondateur et ancien président de la Ligue des droits de l’Homme, et auteur d’un livre sur un orphelin de Duplessis dans les années 50. Il a soutenu les affirmations du Dr Lazure, s’appuyant sur des articles publiés à l’époque, dont ceux du journaliste Gérard Pelletier ainsi d’Alice Parizeau (Poznanska), qui dénonçaient en 1964 dans Cité Libre la situation dans un texte intitulé : «La protection de l’enfance, un sujet interdit», M. Hébert a prouvé que la situation était déjà fort bien connue.

Denis Lazure – Assemblée nationale du Québec

. Psychiatre clinicien à l’Hôpital Louis-Hippolyte-Lafontaine à compter de 1999. Président du Comité d’appui aux orphelins de Duplessis de 1991 à 2001.

Gouvernement du Québec

Dominique Bédard, président de la Commission qui produit le Rapport de la Commission d’étude des hôpitaux psychiatriques en 1962 et directeur général de la Psychiatrie et Hygiène mentale au ministère de la Santé du Québec de 1962 à 1971. Le Dr Bédard a voulu manifesté son appui en déclarant : «Les enfants de Duplessis ont été victimes d’une grave injustice. Et aujourd’hui, à moins d’un changement majeur, ils seront victimes d’une autre injustice, plus grave à certains égards : le refus d’une reconnaissance `pleine et entière’ de la première.»

Dr Jean Gaudreau, psychologue et professeur titulaire à l’Université de Montréal, Faculté des Sciences de l’Education et auteur d’un document portant sur ses observations faites en 1961 au Mont-Providence a voulu répondre au président de l’Assemblée des Évêques du Québec, Mgr Morissette, qui en conférence de presse le 15 septembre dernier, à la question d’un journaliste : «Étiez-vous au courant de ces faux diagnostics ?» a déclaré : «Je n’étais pas là, je ne peux pas répondre à cela». Dr Gaudreau lui a rétorqué : «Moi, j’y étais et voici ce que j’ai vu…» A suivi la description de sa première rencontre avec un patient : un enfant de cinq ans, en camisole de force et attaché à un lavabo. De plus, il a expliqué qu’on rencontrait souvent des enfants qui, aux épreuves, obtenaient des quotients intellectuels de l’ordre de 105 ou de 110.

Léo-Paul Lauzon, professeur titulaire de la Chaire d’Études socio-économiques de l’U.Q.A.M, Coauteur d’une étude intitulée : «Aspects économiques liés à la problématique des Orphelins de Duplessis», étude qui démontre clairement la motivation financière du gouvernement et des communautés religieuses dans ce drame. Pauline Lefebvre, 81 ans, mère d’un orphelin de Duplessis, a apporté, en réponse aux affirmations des évêques, un touchant témoignage décrivant le sort des «filles-mères» à l’époque et les pressions sociales de l’église.

Était aussi présent, à titre de conférencier seulement, M. Guy Mac-Donald, directeur des Enquêtes au bureau du Protecteur du citoyen du Québec. Il est venu rappeler qu’une solution existe pour régler ce dossier telle qu’exprimée clairement depuis plus de deux ans dans le rapport du Protecteur du citoyen. Rapport qui fut approuvé unanimement par la Commission des institutions. Rien n’a été fais tout du bla bla.

Class Action Recours Collectif

En Anglais Recours Collectif

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Fédéral gouvernement veut faire une étude sur les pensionnats Canadiens les abus fait dans tout ces établissements
sur sont territoire avec la Commission du droit du Canada Titre: Histoire vécues de violence en établissement
Voir la Dignité retrouvée la réparation des sévices infligés aux enfants dans des établissements Canadien et Québécois.

Duplessis Orphen.MTS

Dossier médical Paul St-Aubin par Rod Vienneau tragédie des Orphelins de Duplessis
Clarina Duguay elle était a Hôpital St-Julien deux Saint ont protéger nos enfants sur le territoire Canadien et Québécois ont se souviens
Des enfants abusées dans ces institutions, ou la religions catholique à pointer les filles mères qu’elles n’avait pas eu la permission du diocèse de Montréal
et de Québec .
La Commission des citoyens pour les droits de l’homme et la Commission pour les victimes des crimes contre l’humanité vous invitent à une conférence de presse spéciale sur les « psychiatres derrière les scandale des Orphelins de Duplessis. » Derrière la décision du Gouvernement du Québec de dédommager un nouveau groupe d’Orphelins qui, jusqu’à présent, n’avait rien reçu, se cache une nouvelle tentative d’en finir avec ce dossier et de mettre sous le tapis les faux diagnostics toujours présents dans les dossiers des Orphelins et les expérimentations psychiatriques inhumaines et dégradantes perpétrées par des figures de proue de la psychiatrie au Québec.
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Des orphelines de l’hôpital St Julien ont subit des atrocités dans cette institution à St Ferdinand ou GILL, Pauline, Les enfants de Duplessis : L’histoire vraie d’Alice Quinton, orpheline enfermée dans un asile à l’âge de 7 ans , Montréal, Libre Expression, 1991, 271
Et aussi Mme Clarina Duguay, Mme Mariam Kelly, et bien autres filles qui se bat aujourd’hui
A gagné leur dignité Humaine et avoir des vraie excuses des quatre responsables du massacres des enfants née hors mariage

Les Crèches les Hôpitaux Débordement.

Batiste des Sœurs de la Charité de la Providence.

Une des première manifestation ou les orphelins (es) devant la maison mère ou ont nous attendais
fermement avec des gardiens près a intervenir en cas de bouleversement.

Les Berceaux des Anges = Les berceaux des bâtards ou les Enfants du Pêchées  2015-avril diffusion a la TV.

TV Hebdo – Sur le plateau de la série «Le berceau des

Télévision / Plateaux

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Sur le plateau de la série «Le berceau des anges»

Victoria Sanchez, Sébastien Delorme, Isabelle Blais, Ève Duranceau, Marianne Fortier et Marie-Ève Milot. © Frédéric Auclair

Sur le plateau de la série «Le berceau des anges»

Scandale dans le Québec des années 50

Marie-Hélène Goulet / TV Hebdo – 2014-06-04 16:25:20

Sous la lumière du printemps, Ricardo Trogi arpente le mont Royal afin de tourner un sombre pan de notre histoire pour le compte de Séries+. Le berceau des anges, qui met en vedette Marianne Fortier, Sébastien Delorme et Isabelle Blais, dévoile un honteux trafic de bébés qui a existé au Québec il y a 60 ans.

L’histoire

C’est le scandale qui a convaincu le coloré Ricardo Trogi de réaliser la nouvelle émission originale de Séries+, qui sera à l’antenne en 2015. Cette série de cinq épisodes, née des recherches de la productrice Sylvie Roy, raconte comment, au cours des années 50, les dirigeants de plusieurs cliniques privées québécoises ont recruté des filles-mères reniées par leur famille et les ont convaincues de leur céder leur bébé, qui était ensuite vendu au prix fort à un couple new-yorkais stérile.

Alors que leur rejeton pouvait valoir jusqu’à 10 000 $ sur le marché, les pauvres mamans recevaient, en échange de leur bébé, des bas de nylon, du chocolat et, parfois, la somme de 50 $. «À cette époque, l’assurance maladie n’existait pas, et un accouchement coûtait une cin­quantaine de dollars. Si une jeune fille tombait enceinte, qu’elle était sans moyens et qu’elle ne voulait pas que sa famille soit au courant de sa grossesse, elle se rendait à Montréal, lisait les petites annonces et allait dans une clinique où l’accouchement était gratuit.

En échange, on gardait son bébé et on lui assurait qu’il serait adopté», raconte Sylvie Roy. Selon les chiffres officiels, un millier de bébés ont traversé la frontière avec de faux papiers dans leur berceau.

Enceinte du fils d’un notaire

Le berceau des anges illustre les faits sur lesquels Jacques Savoie s’est appuyé pour écrire la série en racontant l’histoire fictive de Gabrielle Hébert (Marianne Fortier), une adolescente de 17 ans de Tadoussac qui a la malchance de tomber enceinte hors des liens sacrés du mariage.

Cette fille de cultivateurs amoureuse du fils d’un notaire espère naïvement garder son enfant lorsqu’elle arrive dans la métropole, mais son amoureux et elle n’appartiennent pas à la même classe sociale. «Toutes les filles-mères avaient de telles pensées. Elles se disaient: “Celui que j’aime viendra me chercher, et je garderai le bébé”, mais l’homme ne venait jamais. C’était la réalité de cette époque-là», affirme l’auteur du Berceau des anges, Jacques Savoie, qui a aussi écrit la minisérie Les orphelins de Duplessis.

Gabrielle croise la route de l’enquêteur Edgar McCoy (Sébastien Delorme), qui est chargé de faire la lumière sur ce trafic d’enfants. L’homme de loi est impliqué émotivement dans l’affaire, puisque sa femme, Alice (Isabelle Blais), et lui n’arrivent pas à fonder une famille. «En plus, comme mon personnage est un Irlandais protestant marié à une catholique, l’Église lui refuse le droit d’adopter», raconte Sébastien Delorme.

Désespérant d’avoir un enfant, Alice est attirée par les petites annonces des cliniques. «C’est une femme au foyer qui a beaucoup de temps libre. Mon défi, en tant que femme moderne, est de ne pas la juger: elle est de son époque», affirme Isabelle Blais.

Un drame poignant

Dans les années 50, avoir un enfant sans être marié était plus honteux que se livrer au trafic d’êtres humains. «Ça n’a pas d’allure de vendre des gens! dit Ricardo Trogi, scandalisé. Lorsqu’on m’a parlé de cette histoire, je n’ai pas voulu y croire. J’ai tout de suite demandé qui était impliqué dans ce trafic, quand, comment et où…» Le réalisateur a misé sur le personnage de Gabrielle pour offrir des réponses à ces questions. «La série décrit une enquête policière, mais elle raconte d’abord le drame que vit cette jeune fille enceinte.»

Le réalisateur a eu un coup de cœur pour l’interprète de Gabrielle, Marianne Fortier. Il a été renversé lorsqu’il a assisté à son audition. «Marianne fait partie du Top 5 des comédiennes avec qui j’ai travaillé depuis le début de ma carrière, souligne-t-il. Je le dis sans hésitation. Quelque chose se produit lorsqu’elle passe du réel à la caméra. Elle est vraiment touchante!»

Gildor Roy (dans le rôle d’un chef de police), Gaston Lepage (dans celui d’un prêtre) et Ève Duranceau et Victoria Sanchez (dans ceux d’enquêteuses) complètent la distribution du Berceau des anges.

Le trafic d’enfants: la vraie histoire

Avant que la série Le berceau des anges soit diffusée à Séries+, la chaîne Historia présentera un documentaire traitant de l’enquête sur le trafic d’enfants à Montréal. L’œuvre a été réalisée grâce aux recherches impressionnantes que Sylvie Roy a menées pour produire la série. Cette productrice a rencontré des mères célibataires de l’époque, des religieuses et même un des enfants vendus.

Ces derniers n’ayant aucun moyen de retracer leur origine, certains d’entre eux ont fondé une association qui les aide à retrouver leurs parents biologiques. Peu de gens connais­sent leur histoire parce que, à l’époque où le scandale a éclaté, le gouvernement de Duplessis, qui venait d’être entaché par l’histoire des orphelins, l’a habilement étouffée.


Une garde-robe des années 50

Habiller plus de 350 acteurs et figurants de vêtements des années 50 représente tout un défi. Dans Le berceau des anges, c’est la créatrice de costumes Francesca Chamberland qui l’a relevé.

Francesca, depuis quand crées-tu des costumes?

Depuis 1976. J’étais alors habilleuse pour les cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux olympiques de Montréal. Au début, je ne voulais pas suivre les traces de ma mère (Nicoletta Massone, une créatrice de costumes connue qui a reçu le Grand prix de l’Académie au Gala des prix Gémeaux en 2012). Je travaillais pour payer mes études, mais mon destin m’a rattrapée.

Comment fais-tu pour habiller autant de gens dans le style des années 50?

Au fil des années, je me suis constitué une véritable caverne d’Ali Baba qui renferme des vêtements de toutes les époques. J’ai donc habillé la majorité des acteurs avec mes propres costumes. Toutefois, j’ai dû concevoir des habits pour les personnages masculins principaux, puisqu’il est difficile de trouver d’authentiques vestons des années 50 qui ne soient pas abîmés.

À cette époque, les hommes portaient leur veston longtemps. La mode féminine étant plus changeante, il est plus facile de dénicher de beaux articles féminins quasiment intacts, d’autant plus que la qualité des vêtements de ces années-là est mille fois supérieure à celle des nôtres. Les coutures, par exemple, sont à toute épreuve.

Où avez-vous trouvé vos trésors?

Dans des ventes débarras, des friperies et des magasins de vêtements usagés. Il est possible d’y trouver encore quelques pièces des années 50, mais elles se font de plus en plus rares. Il m’arrive aussi d’acheter des vêtements de particuliers, mais mes collègues de travail me chicanent chaque fois, car mon atelier déborde!

Y a-t-il d’autres morceaux que vous avez dû créer?

Mon équipe et moi avons créé plusieurs vêtements de maternité pour les filles-mères à partir de patrons authentiques. (Elle nous montre une jupe trouée au niveau du ventre, la façon de faire de l’époque en «mode maternité».) Nous avons aussi conçu des dizaines de fausses bedaines afin de représenter tous les stades d’une grossesse. Au cours des scènes qui se passent à l’Hôpital de la Rédemption, chaque fille porte un soutien-gorge plus ou moins rembourré, selon le stade de sa grossesse.

Il y a plusieurs personnages de religieuses dans la série. Possédez-vous des costumes authentiques venant des communautés religieuses?

Non. Nous avons élaboré les tenues et les coiffes des sœurs en nous inspirant des vêtements de plusieurs communautés afin qu’aucune d’entre elles ne se sente visée, sinon nous pourrions avoir des problèmes juridiques. À cause de certains films et de certaines séries, plusieurs communautés, particulièrement à Montréal, se méfient de l’industrie du cinéma et de la télévision. Il y a quelques années, j’ai d’ailleurs dû me rendre à une congrégation de Québec pour apprendre comment bien enfiler la coiffe des sœurs.

Avez-vous aimé habiller Marianne Fortier, Isabelle Blais et Sébastien Delorme?

C’est avec grand bonheur que j’ai retrouvé Marianne, que j’avais habillée dans Aurore, alors qu’elle n’était qu’une enfant. Elle a bien grandi, mais elle demeure la fille gentille et polie qu’elle était. Pour ce qui est d’Isabelle, l’essayage a été assez simple, puisque tout lui va. Son personnage représente la femme au foyer de l’époque, alors je lui ai choisi de belles robes d’intérieur. Enfin, j’ai fait faire sur mesure les habits de Sébastien. Dans les années 50, les hommes étaient plus petits que ceux d’aujourd’hui, et j’aime que mes costumes siéent parfaitement.

Sur le plateau de la série «Le berceau des anges»

Isabelle Blais et Sébastien Delorme se reposent entre deux prises. © Frédéric Auclair

La magouille et collusion avec Maurice Duplessis des religieuses pour faire des dollars. Faire un Génocide avec ses enfants bat

Le signe de croix est un signe $ aujourd’hui  ont ne dit plus les sœurs de la Charité car elle sont riches. Elles ont menti pour obéir a la supérieure qui leur disait ou faire tel action bonne ou pas bonne. Les religieuses la plupart elles était bonne mais il en a des pommes pourries .

Un reportage a doucie enlève les fait réelle pour ne pas frustré les religieuses car si elle sont frustré elle vont se plaindre devant les tribunaux car elle ont pas le signe de crois plutôt le signe de $

c’est faux les anges les religieuses nous appelais les diable dans l’eau bénite

Second Regard | Émission | Télévision | Les Archives de Radio-Canada

Les œuvres du cardinal Léger

Date de diffusion : 12 septembre 1989

De retour d’Afrique en août 1979, Paul-Émile Léger ne chôme pas. Il crée la Fondation Jules et Paul-Émile Léger en décembre 1981. Cette fondation, instituée par une loi du Parlement canadien, regroupe l’ensemble des œuvres du cardinal Léger. Ces dernières aident divers organismes qui oeuvrent auprès des « laissés-pour-compte »  au Canada et ailleurs dans le monde.

« J’ai toujours cru que mes oeuvres avaient été créées pour rendre le monde meilleur et pour donner à ceux qui n’ont plus de voix (handicapés, enfants abandonnés, aînés délaissés…) un petit filet de voix. » (Paul-Émile Léger)

Les œuvres du cardinal Léger comptent deux volets. Les œuvres locales versent de l’argent à des organismes qui luttent contre la pauvreté, la violence, la faim. Elles viennent également en aide aux personnes âgées isolées ou délaissées ainsi qu’aux sans-abri.

Quant aux œuvres internationales, leurs actions se situent en Afrique, en Amérique latine et en Asie. Elles permettent à plusieurs communautés de se développer et d’atteindre un maximum d’autonomie sur le plan de l’agriculture. Les œuvres internationales s’impliquent également dans l’alphabétisation, auprès des sidéens et dans la défense des droits de la personne.

La première œuvre de Paul-Émile Léger est créée en 1948. La Croix d’or s’occupe des enfants victimes de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, cette organisation s’occupe des enfants du tiers-monde.

En 1962, le cardinal crée Fame Pereo. Cette organisation vient en aide aux lépreux et vise à soigner les victimes des pandémies de tuberculose et de malaria, entre autres. Fame Pareo est aujourd’hui connu sous le nom Institut Cardinal Léger. Plusieurs autres organismes chapeautés par le cardinal Léger voient le jour au fil des années.

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Les oeuvres du cardinal Léger

• En 2002, la campagne locale de financement des œuvres du cardinal Léger permet d’amasser plus de 2 millions de dollars pour chacun des projets suivants: Partenaires contre la violence et la faim et Secours aux aînés, et plus de 3 millions de dollars pour le projet Recours des sans-abri.

• L’argent qui finance les œuvres du cardinal Léger provient de diverses sources, notamment des dons et des activités comme des tournois de golf.

• En plus de ses nombreux projets de développement et d’aide à long terme, la Fondation Jules et Paul-Émile Léger offre une aide d’urgence. Par exemple, lors de l’ouragan Mitch qui ravage l’Amérique centrale en 1998, la Fondation recueille des fonds pour venir en aide aux sinistrés.

• En 1999, la Fondation Jules et Paul-Émile Léger, une organisation catholique romaine, nomme un juif comme président de son conseil d’administration. Un geste qui reflète, selon le nouveau président Victor Goldbloom, l’ouverture et le mandat inter-religieux de la Fondation.

• En 2004, plusieurs artistes québécois s’impliquent dans les œouvres du cardinal Léger. Parmi eux on retrouve la comédienne Angèle Coutu, qui est porte-parole des œouvres internationales du cardinal Léger. L’œouvre Recours des sans-abri a comme président et porte-parole le comédien Michel Forget.

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Les oeuvres du cardinal Léger

Média : Télévision

Émission : Second Regard

Date de diffusion : 12 septembre 1989

Invité(s) : René Lacoste

Ressource(s) : Jacques Houde

Durée : 2 min 47 s

Dernière modification :
21 décembre 2004

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HISTOIRE   

L’HISTOIRE CENSURÉE DES ORPHELINS DE DUPLESSIS

https://violencealhopital.over-blog.com/article-l-histoire-censuree-des-orphelins-de-duplessis-canada-89590232.html

Des enfants étiquetés comme « débiles mentaux » et utilisés comme cobayes pour des expérimentations psychiatriques.

Dans les années ’40, ’50 et ’60 plusieurs dizaines de milliers de jeunes enfants Québécois, certains estiment qu’il y en aurait eu jusqu’à 100’000, furent placés dans des orphelinats avec la promesse qu’ils seraient bien traités et qu’ils recevraient une bonne éducation. Suite à diverses pressions de l’industrie de la santé mentale canadienne et québécoise, ces enfants tombèrent ensuite sous la coupe de psychiatres qui les déclarèrent « débiles mentaux » et leur imposèrent des conditions de vie carrément inhumaines.

Il a été rapporté que jusqu’à 50’000 d’entre eux, tous des enfants normaux et innocents, seraient morts ou auraient disparu dans des hôpitaux psychiatriques du Québec. Des dizaines de milliers de ces jeunes enfants furent maltraités et torturés et un pourcentage important d’entre eux devinrent des cobayes pour des expérimentations psychiatriques au moyen de drogues expérimentales, d’électrochocs et de lobotomies.

Selon Mme Christine Hahn, une journaliste d’investigation canadienne dont les recherches et les reportages sur le drame des Orphelins de Duplessis ont été publiés dans le Magazine Freedom, «…au cours des sept dernières années, j’ai pu découvrir une quantité scandaleuse d’actes criminels faits à ce groupe [les orphelins] et les révélations continuent. En plus des actes d’abus physiques bien documentés, j’ai été capable de documenter que ces enfants innocents furent utilisés au cours d’expériences illégales faites avec de la chlorpromazine, un médicament mieux connu sous le nom de Largactyl.» Mme Hahn trouve révoltant et inacceptable qu’aucun des psychiatres ayant « traité » ces orphelins n’ait jamais été blâmé, accusé ou discipliné par le Collège des médecins ou par les Associations canadienne ou québécoise de psychiatrie.

La conférence de presse tenue à la Librairie Atwater de Montréal, lundi le 5 février, a permis de comprendre davantage l’ampleur des crimes commis contre ces dizaines de milliers d’Orphelins. Pour ceux-ci, il ne s’agit de rien de moins que du crime du siècle commis en Amérique du Nord. Et ils veulent obtenir des réponses à des questions pressantes. Par exemple, ils veulent savoir comment il a pu être possible qu’une telle quantité d’enfants normaux et innocents aient pu tout à coup être plus maltraités que des animaux ? Combien d’enfants sont morts ou ont souffert des dommages irréparables dans chaque institution psychiatrique ? Quels « traitements » tels que l’utilisation de drogues débilitantes, d’électrochocs et de lobotomies ont été utilisés contre ces enfants, sur combien et par qui ? Quelles expérimentations ont été menées, par qui et qui exactement les finançait ? Qui était au courant de ces crimes et de ces violations des droits humains et qui a cherché à dissimuler l’affaire ou qui n’a rien fait ? Qui en a tiré profit ?

Selon M. Rod Vienneau de la Commission pour les victimes des crimes contre l’humanité, « Les orphelins demandent depuis 1992 que ces étiquettes de troubles mentaux soient effacés de leurs dossiers médicaux. Ils réclament également qu’une enquête publique indépendante soit mise sur pied avec le mandat de faire toute la lumière sur cette affaire et que des poursuites soient intentées contre les responsables. »

L’histoire se répète

La sombre histoire des Orphelins de Duplessis n’est pas sans rappeler toute la controverse actuelle qui entoure les diagnostics et les médicaments psychiatriques. Alors que la majorité des médecins, des médias et de la population ont jusqu’à récemment toujours fait confiance AVEUGLÉMENT aux affirmations de la psychiatrie et à ses médicaments psychiatriques, les 24 derniers mois ont vu un nombre sans précédent de mises en garde sérieuses contre les drogues psychiatriques s’abattre sur l’industrie pharmaco-psychiatrique.

Non seulement ces médicaments ne seraient pas plus efficaces qu’un simple placebo (petite pilule de farine) mais ils auraient énormément d’effets secondaires volontairement cachés ou minimisés par les compagnies pharmaceutiques et leurs représentants. Les psychiatres et les compagnies pharmaceutiques sont maintenant accusés de coucher dans le même lit, d’inventer des troubles mentaux et de médicaliser tous les aspects normaux de la vie dans un but de profit et au détriment de la santé physique et mentale de millions d’adultes et d’enfants.

Selon M. Denis Côté, Président de la Commission des citoyens pour les droits de l’homme de Québec, « l’horrible histoire des Orphelins de Duplessis se répète présentement au Québec dans ses nouveaux orphelinats, les foyers d’accueil et les Centres jeunesse. Selon des statistiques récentes, plus de 40% des enfants qui y sont hébergés seraient sur plus d’un médicament psychiatrique en même temps. Lorsque le premier psychotrope produit ses effets secondaires connus comme des hallucinations, de l’hostilité, des pensées suicidaires ou des problèmes cardiaques, le psychiatre va traîtreusement utiliser ces effets secondaires pour apposer sur l’enfant d’autres étiquettes de troubles mentaux et il va hausser la dose ou encore ajouter un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième psychotrope, chacun ayant ses propres effets secondaires importants. Ces enfants coupés de leur famille sont transformés en zombies sans que personne de l’extérieur ne s’en rende compte. Ils ne sont pas aidés, ils sont trahis. »

Le Magazine Freedom, Mme Hahn et la Commission des citoyens pour les droits de l’homme n’invitent toute personne ayant connaissance de crimes ou de violations de droits humains à communiquer avec eux. Leur travail d’investigation va se continuer jusqu’à ce que toute la lumière ait été faite.

Go To : www.orphelinsdeduplessis.com

Jean Paul Orphelin

Jean Paul Orphelins de Duplessis

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Un orphelins démontre son incapacité de devenir comme les autres de notre société Québécoise.
Maurice Duplessis en page 419 Le pouvoir dit il faut fabrique des faux diagnostic pour garder des enfants dans les institution et les faire travailler
sur le terres pour avoir du Chep labor sa prémédication a fait sauver des millions de dollars a la province de Québec.
Donc que ce fut le fruit de cette société Québécoise a fabriquer pour se sortir de la pauvreté par apport a sont voisin
L’Ontario qui est plus riche.