Le berceau des faux Anges réduit le Génocide des Enfants née dans des berceaux maltraité pas la Politique et la Religion Catholique du Québec et du Canada.
Une mère qui cherche son enfants a la crèche ou les religieuses cache leur indemnité pour les vendent au marché des américains et européen elle doit rester a la crèche pour leur faire faire des sale besogne donc les sœurs ne veulent pas faire.
Les Sœurs du Bon-Pasteur de Québec et la Crèche Saint-Vincent-de-Paul — Le patrimoine immatériel religieux du Québec
La Crèche Saint-Vincent-de-Paul comptait quatre départements, partagés en autant de niveaux. Les enfants étaient gardés au premier étage de leur naissance à l’âge de trois ou quatre mois puis étaient transférés au deuxième étage, où logeaient les bébés de quatre à dix mois. Le troisième étage hébergeait les « grands », âgés de dix mois à deux ans. Les plus âgés habitaient le rez-de-chaussée, ce qui leur offrait la possibilité de sortir fréquemment et de profiter de la cour et du parc.
En avril 1953, au moment du départ de sœur Albertine Boucher de la Crèche, l’établissement logeait 810 bébés. D’abord considérable, compte tenu du nombre d’enfants sur qui veiller, la tâche des religieuses et des aides laïques a toutefois été allégée suite à la fondation, en 1948, de l’École de Puériculture. Dès lors, des étudiantes ou des graduées assistaient les religieuses et avaient des enfants à leur charge. Chaque étage étant séparé en dortoirs de treize lits, chaque religieuse et chaque puéricultrice avait à sa charge treize enfants. Au 2e étage, une graduée en puériculture s’occupait, quant à elle, d’une section de trois dortoirs. Ainsi, en plus des religieuses, le personnel de la crèche était composé d’étudiantes en puériculture, de puéricultrices diplômées, d’infirmières, de médecins et d’aides. Plusieurs services essentiels étaient aussi présents à la Crèche, notamment la cuisine, la buanderie, la lingerie, les ateliers et la biberonnerie.
Les bienfaiteurs et bienfaitrices venais comme les Kiwanis donner de la joie et des cadeaux la musique durant les fêtes dans l’année courante.
1953 Bienfaitrice Mme Fleurette GirardT D’autre bienfaiteur aussi sont venue dans les creches et les Orphelinats et Hôpital a fin des les réconforter les enfants de leur conditions physique ou mental .
Durant l’été un bienfaiteur anonyme