Le plus grand complot fait par la grosse pointure du faux pape Lucien Bouchard Avocat des religieuses lui même voulait devenir prêtre a sabote une commission d’enquête demander par les orphelins(es) de Duplessis quel collusion et corruption.
Le faux pape et le faux prêtre
Lucien Bouchard: un curé de campagne je vous Bénit ma Gange de malades non lucide.
Le plus gros magouilleur du Canada et du Québec
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Mise en ligne le 7 nov. 2011
06-excuses de Lucien Bouchard.
Date de diffusion : 4 mars 1999
Le 4 mars 1999, le premier ministre Lucien Bouchard présente des excuses officielles aux orphelins de Duplessis, assorties d’un fonds d’aide spécial de 3 millions. Le premier ministre refuse toutefois d’accorder des indemnités individuelles et de tenir une enquête publique sur cette question.
Après s’être entretenu avec Robert Perreault, ministre des Relations avec les citoyens, le journaliste Jacques Beauchamp recueille les réactions de Bruno Roy, président du Comité des orphelins de Duplessis. Ce dernier estime que le geste du premier ministre est insuffisant et manque de sincérité.
Dans sa déclaration ministérielle, le chef du gouvernement souligne parallèlement le dévouement et l’abnégation de milliers de religieuses et de religieux qui œuvraient dans ces institutions spécialisées.
L’offre de Québec est catégoriquement rejetée par le Comité des orphelins de Duplessis, qui la juge « humiliante» . Quant au protecteur du citoyen, Daniel Jacoby, il critique lui aussi sévèrement la décision du gouvernement Bouchard de ne pas accorder d’indemnisations individuelles aux orphelins. Il souligne que, ailleurs au Canada, des compensations individuelles pour des dommages similaires ont été versées.
Le retour de monsieur le curé
Aujourd’hui encore, Lucien Bouchard poursuit dans la même veine. Avec la même droiture, la même intégrité, il continue de dévoiler pour nous les formes et les exigences de la réalité. Comme il le dit en entrevue à La Presse,
« Des manifestants décrivent une société où il faudrait ceci ou cela, mais ils ne disent jamais où ils prendraient l’argent. Pour certains, la politique, c’est poser des exigences sans se soucier des moyens pour les réaliser. Mais entrer en politique, c’est assumer un mandat d’élu. Ça force à vivre avec le réalisme, ça demande du courage ».
On ose à peine imaginer ce que répliquerait Lucien Bouchard si de lâches païens osaient lui dire que l’argent se trouve dans la lutte à l’évasion fiscale ou dans les redevances de l’industrie qu’il défend. Une telle hérésie viendrait sans doute heurter sa généreuse conception de la démocratie.
« Le gouvernement doit savoir dire non à la rue. Je ne veux pas mépriser les gens qui marchent dans la rue, mais je ne trouve pas que c’est un instrument démocratique, je ne trouve pas que c’est une façon convenable de faire, de provoquer des décisions de l’État ». ( 04 )
Tout comme la prière, la démocratie revendique le calme et la tranquillité. C’est dans un lobby ou à l’intérieur des portes closes d’un cabinet que les droits de la nation se font entendre, et pas ailleurs.
es gens du gaz et du pétrole |
Liste non exhaustive des administrateurs et administratrices de compagnies de gaz et pétrole. Ceux et celles qui contribuèrent et/ou s’approprièrent la politique énergétique du Québec Pour l’histoire complète de leurs magouilles et les impacts sur nos ressources naturelles, ne pas manquer de lire «Gaz de schiste/shale et Pétrole au Québec: qui tire les ficelles?»
La Complice de Lucien Bouchard en matière de justice Elle ma dit: après la défaite comploté,Mr Bertrand ce que vous allez obtenir pas la vraie justice seulement une apparence,mais Dieu na pas d’apparence il va vous envoyer en enfer tous les deux. |
La liste est mise à jour selon les aléas de l’actualité politique. Un autre bouffon manipuler par Lucien Bouchard Serge MénardMembre de la Chambre des communes du Canada
Serge Ménard, né le 27 septembre 1941 à Montréal, est un avocat-criminaliste et un homme politique québécois. Après avoir mené une brillante carrière d’avocat-criminaliste, marquée par un mandat à titre de bâtonnier du Québec, Ménard a été élu député du Parti québécois à l’Assemblée nationale du Québec et ministre de la Sécurité publique et pendant 7 des 9 années des gouvernements péquistes de Jacques Parizeau, Lucien Bouchard et Bernard Landry. De 2004 à 2011, il siège en tant que député du Bloc québécois à la Chambre des communes du Canada et il devient porte-parole du parti en matière de Justice en 2009. Finalement, en 2013-2014, il a présidé la Commission Ménard.
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