Le berceau des Faux Anges du Québec Enfants maltraiter pas la religion Catholique et la politique
Mise en ligne le 6 nov. 2011
l’enfance internée. MOV De la crèche à l’asile : l’enfance internée
Les personnes responsables et les orphelins se retrouvent dans un Hôtel de Montréal fêter 20 Anniversaire des Marronniers
Orphelins : Hervé Bertrand Ma femme Claire Galipeault, Guy Royal, Jacques Roger, Bernardin Rousseau, Vincent De Villiers, Lucien Landry, Claude Bertrand, Jean Claude Labonté, Responsables : L’abbé Roger Roy , Sœurs Gilberte Villeneuve,1954 17 mars b18 mars assimilé Orphelins débilité mental.
Les orphelinats et les écoles étaient sous la responsabilité du gouvernement provincial. Dans les années 1940, alors que le Premier ministre du Québec était Maurice Duplessis et jusque dans les années 1960, le gouvernement du Québec, en coopération avec l’Église catholique romaine qui gérait les orphelinats, a développé une stratégie pour obtenir des subventions fédérales pour des milliers d’enfants, dont la plupart étaient devenus orphelins en étant abandonnés de leurs mères célibataires. Dans certains cas, les orphelinats catholiques ont été reclassifiés comme des institutions de soins de santé ; dans d’autres, les enfants ont été déplacés vers des asiles existants. Parmi les institutions visées, mentionnons Mont-Providence (Hôpital Rivière-des-Prairies) 1, Baie-St-Paul 2, Huberdeau 3, St-Jean-de-Dieu (Hôpital Louis-H.-Lafontaine) 4, St-Michel-Archange (Centre hospitalier Robert-Giffard) 5, et St-Julien de Ferdinand d’Halifax 6,7.
De la crèche à l’asile : l’enfance internée
Date de diffusion : 9 mars 1980
Des milliers d’enfants grandissent dans les orphelinats administrés par les communautés religieuses. Personne ne veut s’occuper de ces enfants du péché dont se chargent les religieuses. Les orphelinats sont surpeuplés. Avec peu de moyens financiers, les religieuses tentent tant bien que mal d’élever et d’éduquer ces enfants. Ces derniers souffrent néanmoins de carences affectives causées par l’absence d’une présence parentale.
Tourné à l’occasion du 20e anniversaire des Compagnons des Marronniers, ce reportage retrace l’histoire du Mont-Providence.
Ouvert en 1950, le Mont-Providence (aujourd’hui l’hôpital Rivière-des-Prairies) est une école spécialisée dans l’éducation des enfants déficients intellectuels. Les méthodes pédagogiques que développent alors les religieuses pour instruire les enfants déficients, souvent confondus avec les malades mentaux, sont d’avant-garde. De nombreux orphelins ayant accumulé certains retards sont envoyés au Mont-Providence pour profiter de cet enseignement spécialisé. Or, en 1954, l’univers fragile des orphelins bascule. Pour des raisons budgétaires, ils font l’objet d’un faux diagnostic d’aliénation mentale.
En 1954, l’école est au bord de la faillite. Le Mont-Providence bénéficie des subventions du gouvernement fédéral, faussement informé qu’il s’agissait d’un hôpital. Or, en 1953, le fédéral, ayant constaté la vocation scolaire de l’institution, supprime ses subsides. Les religieuses se retrouvent dans une impasse et font appel au gouvernement provincial.
C’est alors qu’une manœuvre autorisée par Maurice Duplessis entraîne la transformation de l’école en asile. Le gouvernement de l’Union nationale, peu enclin à investir dans le domaine de l’assistance publique, conseille aux religieuses de modifier le statut du Mont-Providence afin de récupérer l’argent du fédéral. Ainsi, le 12 août 1954, les pensionnaires de l’école spécialisée se réveillent dans un hôpital psychiatrique.
1953 Bienfaitrice Mme Fleurette GirardT
P- 127 Santé Mental 09-914-05F
P- 67 Battu Violer au Mont-Providence par des préposer
Le Génocide des enfants née hors mariage sans la permission des deux diocèses de Montréal et Québec.
Le 18 mars 18 mars 1955 devenue (assimilation)soudainement une pathologie de débilité mental par un décret de Maurice Duplessis, complice Gouv Canadien par James Paul Martin ministre de la Santé Canadienne 2-Duplessis 3-Les révérendes Sœurs de la charmante charité de la providence pour finir 4-les psychiatres du Québec.